Civ 1ère 12 Juillet 2006

humaine & personnalité juridique ; pourtant avec progrès de la médecine, besoin de recréer une dissos  (Définition du mot IVG : Interruption Volontaire de Grossesse Lorsque la femme se retrouve enceinte et ne peut/veut garder le bébé. Depuis juillet 2001, l’IVG ou avortement, est autorisé en France jusqu’à la 12e semaine de grossesse et se pratique soit par aspiration, soit avec la prise de la pilule RU 486 après avoir effectué les démarches obligatoires (visites médicales, entretien social pour

loi du 23 juin 2006 (entrée en vigueur le 1er janvier 2007) et les différents aménagements fiscaux prévus dans les années suivantes, ainsi que la réforme du divorce du 26 mai 2004 favorisant la simplification du divorce et du changement de régime matrimonial, de grands rapprochements avec le régime juridique de l'institution matrimoniale se sont amorcés. Cette évolution vers une « matrimonialisation » du Pacs3 a été d’autant plus accentuée par d’autres lois récentes : - la loi du 12 mai 2009 qui

2007-2008 Liste des abréviations BICC Bulletin d’information de la Cour de cassation CA Cour d’appel CCass Cour de cassation Civ Civile CNIL  Commission Nationale Informatique et Libertés Ed Edition IR Informations Rapides JCP Juris-Classeur Périodique JO Journal Officiel Op cit Opere citato P Page RTD civ Revue trimestrielle de droit civil UIHJ Union Internationale des Huissiers de Justice VTM Véhicule Terrestre à Moteur Sommaire Introduction

première et essentielle. Qui qualifie le contrat ? Les parties peuvent elles-mêmes qualifier le contrat, cependant la personne qui qualifie le contrat en cas de litige est le juge mais celui-ci n’est pas lié par la qualification des parties selon l’article 12 du code de procédure civile. Il qualifie le contrat au travers de l’intention des parties. Mais cette qualification rencontre des obstacles qui sont liés au type de contrat, la qualification est difficile pour les contrats complexes car ce sont des

un grand changement ( Le juge peut interpréter, et donner son jugement selon les particularités de la famille, selon l'intérêt de l'enfant. Ses textes consacrent une égalité entre les membres du couple ( Notamment dans le texte de la loi du 13 juillet 1965, qui constitue toujours le droit positif. La femme mariée bénéficie de droit dans la gestion patrimoniale du couple. Elle est mise sur un pied d'égalité avec son mari. On parle d'un aigle à deux têtes. Idem avec un texte de loi du 4 juin 1970

de régime conventionnel offert aux époux qui souhaite s'écarter du régime légale et souhaite contracter un contrat de mariage) - elle supplée quant les époux n'ont pas usé de leur liberté en leur suppléant le régime légale qui depuis la loi du 13 juillet 1965 est celui de la communauté réduite aux acquêts. - elle cantonne car elle énonce des règles impératives et générales applicables a tous les époux quelque soit le régime matrimonial. Elle constitue l'ordre public matrimonial, c'est le statut patrimonial

Cour EDH a conforté cette analyse dans un arrêt de 1986 (CEDH 17 oct. 1986) affirmant que l’article 12 de la Convention EDH qui vise le droit au mariage ne vise « que le mariage traditionnel entre deux époux de sexe biologique différent ». – La deuxième condition physiologique du mariage intéresse l'âge minimum. En revanche il n’y a pas d’âge maximum pour se marier. Depuis 2006 (Loi 4 avril 2006) l’article 144 du Code civil dispose que « l’homme et la femme ne peuvent contracter mariage avant

d’obligations : une obligation pour les Etats d’adopter une législation qui permette aux créanciers d’obtenir une exécution effective et rapide ; une obligation de prêter le concours de la force publique à l’exécution : L’article 16 de la loi du 9 juillet 1991 dispose que « l’Etat est tenu de prêter son concours à l’exécution des jugements et autres titres exécutoires ». Le concours de la force publique n’est requis que lorsqu’il y a des difficultés à l’occasion de l’exécution forcée. Le concours de

droit civil (responsabilité civile est faite pour réparer un préjudice), la jurisprudence admet que la mort d’un animal peut être source de responsabilité et peut donner lieu à des indemnisations du propriétaire de l’animal (arrêt de principe par 1ère civ 16/01/70 règle Lunus : un propriétaire qui avait un cheval décédé accidentellement et avait demandé une indemnisations pour préjudice matériel -atteinte au patrimoine-, mais aussi pour préjudice moral -une atteinte à un sentiment- on a admit que

le titre de propriété. Cela veut dire quoi que la propriété est imprescriptible : l’écoulement du temps ne peut pas faire perdre le droit de propriété. C’est d’abord jurisprudentiel. La propriété ne se perd pas par le non usage : arrêt du 12 juillet 1905, chambre des requêtes. Plus récemment en 1993, pour les actions en revendication mais surtout, cela a été consacré par le législateur : consécration à l’article 2227. On ne peut que constater que le jugement qui constate que le possesseur