Civ 1ère 3 Juillet 1996

désunion du couple marié (Titre 3). Titre I La formation du couple marié Mis à part quelques exceptions, chaque couple doit avoir le droit de se marier. En effet, le mariage doit rester une liberté pour l’homme (Chap. 1). Pour autant, lorsque deux personnes décident de s’unir par le mariage, elles doivent obligatoirement respecter toute une série de conditions prévues par la loi (Chap. 2). A défaut, différentes sanctions pourront être prises à leur égard (Chap. 3). Chapitre 1 Le

initialement la convention. La théorie de la cause permet de prendre en compte l’imprévision de deux manières. L’élément déterminant peut d’une part n’avoir jamais existé. Ainsi, la première chambre civile de la Cour de cassation dans un arrêt du 3 juillet 1996 permet l’annulation d’un contrat dans la mesure où la contrepartie convenue est illusoire. En l’espèce, pour une des parties au contrat, la cause résidait dans la possibilité d’exploiter un vidéo-club, chose impossible. Il peut également ne pas

diffuser l'image (l'apparence extérieure[1]) d'une personne sans son autorisation, lorsque la reproduction qui est faite de la personne permet son identification[2]. On dit traditionnellement que le droit à l'image relève des droits de la personnalité[3] (le droit à l'image s'éteint donc au décès de la personne concernée)[4]. Le droit à l'image n'est expressément prévu par aucun texte de Droit civil (à l'heure actuelle, les seuls textes qui en parlent figurent dans le Code pénal). Il a été dégagé

de formalités. C’est le cas de la vente d’immeubles. 2. Les règles de preuves du contrat : Art 1341 Code Civil. Principe : il faut apporter une preuve pour tous les actes juridiques dont l’objet a une valeur supérieure a 1500€. SECTION 3 : LA FORCE OBLIGATOIRE DU CONTRAT §1. PRINCIPE Art 1134 Code Civil : Les termes utilisés montre la force de ce principe. Mais il faut nuancer. Si la convention n’est pas légalement formée, elle n’a pas force obligatoire. La force obligatoire

ce qui a été versé (art. 1235 al. 2 C. civ.) Ø L’obligation naturelle peut être transformée en obligation civile (Civ. 1ère, 10 octobre 1995) Section 3. La classification des obligations A. Les classifications des obligations en fonction de leur objet 1. La distinction entre les obligations de donner, de faire ou de ne pas faire (art. 1101 C. civ.) a. L’obligation de donner Ø Donner signifie transférer la propriété d’un bien (art. 1136 à 1141 C. civ.) Ø Donner un corps certain ou choses

part contractuelle non négligeable. Cette évolution s’est réalisée, sans aucun doute, dans le sens d’un alignement du pacs sur le mariage, notamment dans les droits des partenaires, au point que d’aucuns considèrent le pacs comme un « mariage light »[3]. L’alignement évoqué a été pensé comme la suppression des différences de traitement entre les deux formes d’union. A cet égard, la décision du Conseil d’Etat du 28 juin 2002 est assez caractéristique : « il appartient au pouvoir réglementaire, afin

1 Droit des contrats Responsable de cours : Sébastien Ranc Chargée de TD : Mme Laisa Ferreira Séance de TD n°2 : Les négociations et les phases précontractuelles Commentaire d’arrêt : Civ., 3ème, 17 janvier 2007, n° 06-10.442, Bull. civ. III, n° 5. Objectif de la séance : Vous commenterez un arrêt classique du droit des contrats. Utilisez et appliquez bien sur la méthodologie du commentaire d’arrêt disponible sur l’ENT. Par ailleurs, essayez de trouver et de vous appuyer

15 du Code civil sont tombés en désuétude ; or il n’en est rien et ils sont encore largement employés par la Cour de Cassation qui n’hésite pas à faire valoir leur application lorsque s’y prête le cas d’espèce (cf. Cass., civ.1ère, 3 Juillet 1996 ou plus récemment Cass., civ.1ère, 30 Septembre 2009. On peut dès lors s’interroger sur la pertinence des articles 14 et 15 du code civil dans le droit international privé contemporain. Si ceux-ci semble faire l’objet d’un certain déclin (I), on constate

que l’article 65-1 de la loi du 29 juillet 1881 instaurait un délai de prescription trimestrielle interruptif et suspensif similaire au délai de droit commun et différent de celui prévu par l’article 65 de la même loi. Selon le pourvoi, l’article 65-1 instaure à l’instar de l’article 65 un délai de prescription interruptif, mais non suspensif, dérogatoire aux règles de droit commun, de sorte qu’il impose au demandeur non seulement d’introduire l’instance dans les 3 mois de la publication des propos

problématique générale 3 B) Les problèmes spécifiques 4 Paragraphe 2 L’imputabilité ou élément subjectif 6 A) La conception classique 6 B) La loi du 3 janvier 1968 ou la responsabilité civile des personnes privées de discernement 7 Section 2 La responsabilité du fait des choses 1 Paragraphe 1 Les régimes particuliers de responsabilité du fait des choses 1 A) Les animaux (art. 1385) 1 B) Article 1386 du code civil 2 C) L’article 1384 du code Civil : l’incendie 3 Paragraphe 2