Civ 2e 16 Octobre 2008

juridiction : Rattache au principe de la séparation des pouvoirs. Consécration à la période révolutionnaire car les révolutionnaires interdisent aux juridictions judiciaires de juger les actes administratifs. Cette interdiction se trouve dans la loi des 16 et 24 août 1790 qui dispose que « les fonctions judiciaires sont distinctes et demeureront toujours séparées des fonctions administratives. » Que se passe-t-il en cas de litige impliquant l’administration ? Les juridictions judiciaires devaient se déclarer

des parties au litige en vue d’en obtenir un accord. Des qu’il est signé l’accord va s’imposer aux parties et les parties n’ont plus en principe la faculté de saisir le juge administratif sauf s’il y a nullité pour un motif d’ordre public. CE 07 OCTOBRE 1981 SAHUC. Mais en pratique il existe peu de cas de conciliation car cette dernière pose des problèmes car elle risque l’aggravation de la situation des tribunaux administratifs. CE Assemblée 23 JUIN 1989 VERITER. Confié à l’administration ou à

acte de l’adm qui va se borner à conseiller, recommander, inviter un comportement (pas un ordre mis une suggestion), est un acte non-décisoire. Par ex : une recommandation de rouler à une certaine vitesse ds qq rues mais sans obligation. CE 7 aout 2008 – Fédération chrétienne des témoins de Jéhovah de France la publication d’une référence à un ouvrage sur le site d’une mission interministérielle (c’est un acte purement matériel) peut constituer un AAU décisoire par ce qu’il affecte la secte. On

judiciaires Ce principe est énoncé pour la première fois dans les loi des 16 et 24 aout 1790. Article 13 : "les fonctions judiciaires sont distinctes et demeureront toujours séparées des fonctions administratives", " les juges ne pourront à peine de forfaiture troubler de quelque manière que ce soit les opérations des corps administratifs, ni citer devant eux les administrateurs pour raison de leur fonction". Décret du 16 fructidor an III : "défenses itératives sont faites aux tribunaux de connaître

et la Cour de cassation en a déduit que la volonté des parties n’a aucune prise en la matière. « La nature immobilière ou mobilière d’un bien est défini par la loi et la convention des parties ne peut avoir aucune incidence à cet égard » (Cass. 3ème Civ. 26 juin 1991). Ce principe connaît une limite tirée du droit des sociétés. Une personne propriétaire d’un immeuble peut apporter en société l’immeuble et recevoir en contrepartie des parts sociales qui sont des biens meubles. Cette manipulation reçoit

élément de fond qui servira d’enchaînement à vos deux grandes parties. Soignez cette transition, elle est le complément nécessaire à votre problématique, et permet de suivre votre raisonnement. II. Voir chapeau et annonce de plan du I. A. 2E ASPECT DE LA DECISION Le II. A. est à peine moins important que le I. B. Ces deux parties constituent le « cœur » du devoir. Si l’arrêt comportait deux problèmes, vous aborderez le deuxième problème. Sinon, vous aborderez le second aspect que vous

Procédure pénale eau Prix de lancement En cad Prix de lancement jusqu’au 31 octobre 2013 jusqu’au 31 octobre 2013 49,80 € 49,80 € 98 € à partir du 1er novembre 2013. 94 € à partir du 1er novembre 2013. > Pack CRFPA « Option Procédure Civile » : Code civil 2014 + Code de procédure civile 2014 + en cadeau « Préparer le Grand oral du CRFPA* » Prix de lancement jusqu’au 31 octobre 2013 : 49,80 € (vendu à 98 € à partir du 1er novembre 2013). > Pack CRFPA « Option Procédure

contractuelle * intersection du droit français (droit adm / droit privé) / droit communautaire * le rapport public CE 07 est consacré au « Contrat ». * décisions CE : affaire du Vélib, juillet 2008 : la ville de Paris pouvait-elle étendre à la banlieue les services du Vélib ? / sec, 3 oct 2008, SNIRJOMES : quels sont les manquements qui peuvent être sanctionnés par le référé précontractuel ? ainsi, tout vice entraine-t-il l’annulation de la passation du contrat ? Le CE a considéré que les

des entreprises et de leur monopole d'exploitation de la propriété privée. Le CC a dégagé un principe constitutionnel qui se nomme la liberté d'entreprendre, ainsi que la liberté du commerce et de l'industrie qui vient de 1791. C'est une décision du 16 janvier 1982 du Conseil Constitutionnel qui a reconnu la valeur constitutionnelle de la liberté d'entreprendre, de la liberté du commerce et de l'industrie. Cette décision a été rendue dans un contexte particulier : en 1981 une alternance a eu lieu

statuts, ont la capacité d'ester en justice, dès lors qu'ils ont satisfait à l'obligation de dépôt de leurs statuts en mairie et ce, peu important qu'ils prennent la forme d'une association régie par la loi du 1er juillet 1901(Chambre sociale 13 octobre 2010, pourvoi n°09-14418, BICC n°735 du 1er février 2011 et Legifrance) En ce qui concerne le droit de la co-propriété immobilière, les copropriétaires d'un ensemble immobilier nomment parmi eux un Conseil syndical pour contrôler les opérations