Civ 2e 4 Mai 2000

et de nouvelles destinations ont été desservies. Mais, très rapidement, les compagnies se sont désintéressées des lignes les moins rentables. C’est la conséquence de la disparition du service public. Enfin, le secteur du ferroviaire a été marqué par 4 vagues de libéralisation ; la dernière datant de 2012 et concernant la libéralisation du transport national de voyageurs. 2 La diversification des sources est particulièrement marquée en Droit du transport en raison de la nature même de l’activité

et parfois culturellement mal préparé pour apporter une réponse rapide, lisible, au coût réduit, aux demandes de justice des citoyens 3 . L’image de l’institution judiciaire auprès de l’opinion publique se trouve, corrélativement, nettement dégradée 4 . Face à ce phénomène sans cesse croissant, une régulation s’imposait afin d’éviter que le traitement privé des conflits ne se fasse en marge du droit. C’est ainsi que dans plusieurs branches du droit, des procédés de règlement conventionnel ont été

étaient considérés co fautifs s’ils faisaient grève. Subissaient 1rupture de leur Ct de W et étaient rendu coupable du délit de coalit° (= faute civ. et pén.). Interdict° de se syndiquer. En 1884 : loi Waldeck Rousseau instaurant la lbté syndicale. En 1864 : /s Napoléon, loi abrogeant le délit de coalit° lorsqu’il y ait pratiqué la grève, + qu’1faute civ. En 1874 : loi encadrant le W des fe/enfants. Intervent° de l’Eg. catho, en 1891 : Pape Léon XIII « rerum novarum » : encyclique affirmant lintervent°

par rapport à la jurisprudence étrangère, ni par rapport à la doctrine. Il y a eu en France une controverse sur laquelle le Doyen Vedel avait 1 Voir en particulier C. Jamin, RDC 2000, n°4 (« Le vieux rêve d’Edouard Lambert et Raymond Saleilles revisité »). Droit privé comparé – Cours de Mme Robin-Olivier 4 pris position avec une très grande réticence (certains avaient voulu faire référence à la constitution indienne) : « le droit comparé ne doit pas être invoqué pour ébranler les convictions

différentes aussi. Par conséquent, il semble intéressant de mettre en évidence ces règles, procédures et liens. C’Est-ce que ce propose de faire le droit processuel. • 1er objectif: conforter, perpétuer ce qui rapproche ces procédures • 2e: tenter d’effacer, de gommer les différences qui paraissent les moins insurmontables ou tenter de mieux les expliquer ou de mieux les fonder En définitive, il s’agit de faire du droit comparé interne (qu’au droit Français) appliqué à la matière procédurale

quand elles sont indemnisées par leurs sociétés d’assurance pour une perte financière dûe à la sentence. On peut penser qu’elles craignent une mauvaise publicité dans un secteur où la concurrence est rude. La sentence arbitrale est res judicata[4], cependant si elle n’est pas exécutée volontairement la partie qui a obtenu gain de cause est obligée de s’adresser au juge étatique pour obtenir l’exequatur[5] de la sentence. Il est important que la sentence soit susceptible d’exécution forcée, à

gréviste causait des dommages à leur employeur leur responsabilité civile ne pouvait être engagée. Le CC a censuré cette loi sur le fondement du principe cité pré dessus. Pour fonder ce principe de responsabilité le CC a trouvé un fondement dans l’article 4 de la Déclaration des droits de l’homme qui est le principe d’égalité des citoyens devant la loi. Une fois envisagé la constitution, on s’intéresse aux normes internationales et européennes. Quant est-il du droit européen ? Quant au droit de l’Union

Il s'agit évidemment d'une décision unilatérale, prise par la personne qui deviendra associé unique. L'E.U.R.L. se distingue par là des autres sociétés, qui résultent d'un contrat entre 2 plusieurs personnes, comme l'indique l'art. 1832 du C. civ.. Pour permettre l'E.U.R.L., la loi de 1985 a ajouté un alinéa à l'article 1832 : « Elle ( la société) peut être instituée, dans les cas prévus par la loi, par l'acte de volonté d'une seule personne ». *. La décision de créer une E.U.R.L. peut être

L'Ancien droit français n'était pas plus précis et JOUSSE définissait le faux comme « toute action faite pour détruire, altérer ou obscurcir la vérité au préjudice de quelqu'un, et dans le dessein de le tromper » (Traité de la justice criminelle en France, 4 t., 1771, éd. Debure père, t. III, p. 341, http://www.bnf.fr). Le faux en écriture sera incriminé de manière spécifique par le code de 1791 puis par le code pénal de 1810. Ce dernier code distinguait en effet le faux en écriture publique ou authentique

la possession, 1978, LGDJ. - E. GARÇON, Code pénal annoté, 2e éd. par Rousselet, Patin et Ancel, sous art. 379. - GARRAUD, Traité de droit pénal français, t. I, 1913, Sirey, no 2371 et s. - W. JEANDIDIER, Droit pénal des affaires, 5e éd., 2003, Précis Dalloz. - L. LAMBERT, Traité de droit pénal spécial, 1908. - J. LARGUIER, Droit pénal des affaires, 11e éd., 2004, A. Colin. - J. PRADEL et M. DANTI-JUAN, Manuel de droit pénal spécial, 2e éd., 2001, Cujas. - M.-L. RASSAT, Droit pénal spécial : infractions