Civ 2ème 9 Décembre 1999

par l’acte authentique, à l’exclusion du testament, lorsqu’elle n’a pas été faite dans l’acte de naissance. » 8 Art 328al2 :« la reconnaissance peut être faite au profit d’un enfant conçu ou d’un enfant décédé, si ce dernier a laissé une postérité. » 9 Voir les Articles 312à314 du code civil concernant « la filiation, de l’établissement de la filiation maternelle ». 8 B. Reconnaissance paternelle (art 319 à321c.civ10) Couple marié = Simplicité – Le mari devient le père de l’enfant automatiquement

familles avec mineurs « familles monoparentales » : parent seul avec enfants.  Ces familles peuvent devenir des « familles recomposées ». La famille prend un autre visage : fait cohabiter un couple et des enfants issus d’une même union. Représentent 9% des familles « famille fondée sur l’adoption » « couple homosexuel élève des enfants » : adoption, PMA, GPA Immense diversité : lien objectif avec lien subjectif (lien d’éducation ou d’affection) Au sein de l’Europe, il y a une grande différence

qu’ils forment un tout »[8]. Les définitions juridiques du collectif renvoient effectivement à ces divers caractères. Ainsi « le collectif concerne un ensemble de personnes unies par une communauté d’intérêts ou impliquées dans une action commune »[9] . On trouve des emplois du terme collectif en droit, par exemple concernant le préjudice collectif c’est à dire l’atteinte aux intérêts inhérents au but que poursuit une association et dont celle-ci à qualité pour demander à ce titre réparation.

constant dans le CMF promulgué en décembre 2000. CMF : organise un statut de droit commun auquel sont soumis les banques. 7 livres : la monnaie, les produits, les services, les marchés, les prestataires de services, les autorités bancaires, les autorités financières et le régime de l’outre-mer (les effets de commerce restent régis par le code commerce). Il a été modifié sous l’influence de directives européennes ou de nouvelles lois : Loi « mursef » du 11 décembre 2001 (apporte de nouvelles restrictions

la belle mère) L’obligation qui nous intéresse c’est seul du droit, donc on retient pas ce 2ème sens. -Troisième sens (sens technique), il nous est fourni par Gaius qui est un jurisconsulte du III siècles après JC, “l’obligation c’est le lien droit qui nous conduit à faire quelque chose selon le droit de notre cité”. Deux éléments apparaissent, il y a un lien (1er élèment) et un lien de droit ( 2ème élèment), l’obligation c’est un lien et donc c’est une relation entre au moins 2 personnes

aliné2, déjà posé depuis un arrêt de la cour de cassation, indiquait que le consentement de la personne est nécessaire. Cet article indique également que nul ne peut être contraint de subir une intervention chirurgicale (arrêt du19 Mars 1997 de la 2ème Chambre Civile de la cour de cassation) hors les cas prévu par la loi. Il y a ici deux cas problématiques, deux cas qui s’opposent : - Le premier cas problématique est un cas de jurisprudence. Un témoin de Jéhovah, par conviction, refusait de recevoir

III intitulé de la société. Ce titre IX se divise en trois chapitres depuis une révision : 1er chapitre : Dispositions générales applicables à toutes les sociétés civiles ou commerciale, 1832 et suivants jusqu’à 1844-17 = droit commun des sociétés 2ème chapitre : Dispositions propres aux sociétés civiles, ces sociétés sont définies négativement par l’article 1845. 3ème chapitre : Dispositions relatives aux sociétés en participation ce ne sont pas des sociétés immatriculées et n’ont pas la personnalité

Guy Coquille, auteur de : institution au droit français ( 17ème), présente une vision ordonnée des coutumes existantes (...) Loysel, rédigea un ouvrage : Institutes coutumières : entreprend de répertorier tous les principaux adages coutumiers. 2ème étape : Jean Domat A la fin du 17ème siècle, il s'est proposé, dans son célèbre traité : Les lois civiles dans leur ordre naturel, d'organiser le différentes lois civiles ( droit romain ) dans un ordre simple et naturel qui en forme un corps. 1690

principe général de loyauté des débats. Le principe du contradictoire est le principe le plus proche de cette notion. Section 1 – La distinction entre la procédure écrite et la procédure orale Le décret du 1er octobre 2010 entré en vigueur au 1er décembre 1010 a notamment pour objet de modifier la procédure orale. Le décret ajoute dans la procédure orale la possibilité pour le juge d’organiser une communication écrite. La procédure écrite recouvre principalement le TGI (avec le système d’échange

défendeur doit prêter serment… ». 7 Joël MOLINIER, « Le premier volet de la réforme des procédures fiscales et douanières », R.F.F.P., 1987, n°18, p.156. 8 Henri LEVY-BRUHL, « La preuve judiciaire », Paris, Edition Marcel Rivière et Cie. 1965, p. 15. ‫9 " ﺜﺒـﺕ ﺍﻟﺸـﻲﺀ ﻴﻌﻨﻲ ﺘﺄﻜﺩ ﻭﺘﺤﻘﻕ ﻭﺼﺢ، ﻭﻴﻘﺎل ﻻ ﺃﺤﻜﻡ ﺒﻜﺫﺍ ﺇﻻ ﺒﺜﺒﺕ ﺃﻱ ﺇﻻ ﺒﺤﺠﺔ ﻭﻋﻠﻰ ﻫﺫﺍ ﺍﻷﺴﺎﺱ ﻓﺈﻥ ﻜﻠﻤﺔ ﺇﺜﺒﺎﺕ ﺘﻌﻨﻲ ﺍﻟﺤﺠﺔ"، ﻋﺒﺩ ﺍﷲ‬ .42 ‫ﺍﻷﺤﻤﺩﻱ، "ﺍﻟﻘﺎﻀﻲ ﻭﺍﻹﺜﺒﺎﺕ ﻓﻲ ﺍﻟﻨﺯﺍﻉ ﺍﻟﻤﺩﻨﻲ"، ﺘﻭﻨﺱ 1991، ﺹ‬ 10 Guide juridique Dalloz, p. 405-1. 11 Bruno PETIT, « Introduction