Civ Ii 8 Juillet 2004

Monsieur Cabrillac (2004-2005) Thème n°8 : L’application de la loi dans le temps Commentaire d’arrêt : Civ., 1, 29 avr. 1960, D1960, 294, note HOLLEAUX, Grands arrêts, n°5. I ANALYSE A les faits 1 les faits matériels 10 juillet 1950 : décès de sa première femme 29 novembre 1950 : naissance naturelle de mlle m Date inconnue : A reconnaît la fille naturelle de mlle m 13 août 1953 : Mariage de a avec mlle m Légitimation de la fille de mlle m par le mariage 5 juillet 1956 : loi qui autorise

1 DROIT INTERNATIONAL PRIVE MASTER RECHERCHE DROIT INTERNATIONAL PRIVE ET DROIT DU COMMERCE INTERNATIONAL COURS DROIT DE INTERNATIONAL PRIVE 2005-2006 UNIVERSITE PANTHEON-ASSAS (PARIS II) Bertrand Ancel 2005/2006 2 DROIT INTERNATIONAL PRIVE ANALYSE ANALYSE CRITIQUE DE L'EROSION CRITIQUE DE L'EROSION DU PARADIGME CONFLICTUEL DU PARADIGME CONFLICTUEL 1. Si un bon titre parle de lui-même et n'a donc pas besoin d'explication, alors il faut concéder que

un acte de disposition qui nécessite le consentement des deux époux lorsqu'il porte sur le logement familial. Ccass civ 1 16 mai 2000: la séparation de fait n'exclut pas l'application de l'article 215al3. CassCiv1 22 Octobre 1974: la protection du logement familial s'éteint au moment de la dissolution du mariage. Le testament prime donc sur le régime matrimonial. Section II- L'entretien de la famille Obligation forte envers chacun des époux C'est aux époux qu'il convient de couvrir les besoins

applicable aux obligations contractuelles ; deux conventions de Bruxelles sur la compétence judiciaire et l’effet des jugements : les Conventions dites de La Haye) - règlements communautaires (Bruxelles I et II bis sur la reconnaissance et l’efficacité des jugements étrangers ; Rome I et Rome II, v. document distribué) - jurisprudence de la Cour de justice de l’Union Européenne. 3) Autres sources internationales CESDH et CEDH, usages et coutumes (Lex mercatoria). C. Organisation des sources

après le contrat, et sanctionnée à ce titre comme une faute délictuelle ? Aussi bien convient-il de mettre en perspective le développement nuancé de l’exigence d’exécution de bonne foi (I) et l’émergence avérée d’un devoir de contracter de bonne foi (II) I. Le développement nuancé de l’exigence d’exécution de bonne foi Sur le fondement de l’article 1134 alinéa 3 du Code civil, la jurisprudence a multiplié les applications de l’exigence d’exécution de bonne foi en sanctionnant les parties de

contractuelle et en particulier à la prévision des parties. C'est pourquoi la jurisprudence a posé le principe du non cumul ( civile, 11 janvier 1922, doc 8 fiche 1 ). a) Les conditions - L'existence d'une relation contractuelle entre les intéressés. En principe, le non cumul ne reçoit application que dans les rapports entre contractants (commerciale, 9 juillet 2202 ) - Le manquement à une obligation contractuelle. La responsabilité doit venir sanctionner l'inexécution de l'une des obligations au contrat

qu’elle soulève, son programme pourrait sans inconvénient être traité sur un an : on ne manquera d’ailleurs pas d’observer que les nombreux manuels qui lui sont consacrés atteignent souvent un volume identique à ceux traitant de matières annuelles. II - Questions terminologiques Aujourd'hui encore, les ouvrages relatifs à la discipline tentent généralement d’établir une distinction entre les notions de libertés publiques (ou fondamentales) et de droits de l’homme. Les explications reposent

lors il ne s'agit pas d'un cautionnement et, le droit de poursuite du créancier reste limité à la réalisation du bien hypothéqué. Il est alors jugé que la sûreté est nécessairement proportionnée aux facultés contributives de son souscripteur. (1ère Civ. - 7 mai 2008, BICC n°688 du 1er octobre 2008). La sûreté réelle consentie pour garantir la dette d'un tiers n'impliquant aucun engagement personnel à satisfaire l'obligation d'autrui n'est pas un cautionnement et que, s'agissant d'une hypothèque sur

les gouvernent. D’abord, la jurisprudence en droit du travail est régie par le principe de l’application immédiate du revirement de jurisprudence (I), ensuite un autre principe la gouverne, celui de l’impossibilité d’opposer au juge les précédents (II). I- L’application immédiate du revirement de jurisprudence L’application immédiate ou rétroactivité est un grand principe inhérent à la notion même de jurisprudence. Mais ce principe a causé de nombreuses difficultés, notamment pour la sécurité

de se marier. En effet, le mariage reste une liberté pour l’individu (section I). Pour autant, lorsque deux personnes décident de s’unir par le mariage, elles doivent obligatoirement respecter toute une série de conditions fixées par la loi (section II). À défaut, différentes sanctions pourront être prises à leur égard (section III). SECTION I LE DROIT AU MARIAGE 13/ Proclamation. Le principe qui gouverne la formation du mariage est celui de la liberté matrimoniale. Il existe en effet un droit