Civilisation Britannique

and farther back still seemed condensed into a mournful gloom, brooding motionless over the biggest, and greatest town on Earth." Conrad relève l’image que les Britanniques se considèraient comme supérieurs à ceux qui occupaient le pays avant eux. L’image de leur arrogance est décrite par l’obscurité. Durant cette époque, les Britanniques pensaient qu’ils possédaient le droit de civiliser les “sauvages” de l'Afrique. Paradoxalement, ils étaient encore beaucoup plus barbares que les Africains, qu’ils

l’humanité est confrontée à de nouveaux périls, sans équivalents dans l’Histoire, et qui exigent des solutions globales inédites ; si celles-ci n’étaient pas trouvées dans un proche avenir, rien de ce qui fait la grandeur et la beauté de notre civilisation ne pourra être préservé ; or, jusqu’à ce jour, peu d’indices permettent d’espérer que les hommes sauront surmonter leurs divergences, élaborer des solutions imaginatives, puis s’unir et se mobiliser pour les mettre en œuvre ; bien des signes

Empire britannique et missions chrétiennes Jean Comby, Deux mille ans d’évangélisation, Desclée, 1992 Claude Prudhomme, Mission et colonisation, Cerf, 2004 Norman Etherington (éd.) Missions and empire, Oxford, Oxford University Press, 2005, 332 p. Introduction Les missions extérieures, par opposition aux missions intérieures destinées à la rechristianisation, connaissent au XIXe s. leur deuxième grand essor, après celui du XVIe s. en Amérique. Longtemps sacrifiée dans l’historiographie

reporteur de New York Times), John Mills (le vice-roi), Candice Bergen (Margaret Bourke-White), John Gielgud (Lord Irwin), Trevor Howard (juge Broomfield) et Ian Charleston (le révérend Charlie Andrews). Il s’agit d’une production historique indi-britannique à gros budget : 22 000 000 $ avec un nombre important de figurants (300 000 dans la scène de l’assassinat de Gandhi). Il a rencontré un énorme succès : 8 oscars, le British Academy Film Award du meilleur film, 3 Golden Globe. Descriptions de l’affiche

(uniquement des liens commerciaux) → Elle aggrave les rivalités. Le partage de l’Afrique et de l’Asie est terminé en 1914. 1914-1939 : Apogée de la colonisation → atteint ça plus grande expansion. B. Les empires divers 1er Empire : Empire britannique (Empire de peuplement)  : Le plus grand et plus ancien → il s'étend sur tous les continents. Cherche la maîtrise des mer et de protégé la route des indes. En Afrique cherche a relié le Caire au Cap. Elle possède l'Inde et va chercher a la protégé

a bas prix. - cherche des débouchés (marchés) pour vendre leur produits. - on colonise pour le prestige, la volonté de puissance. > concurrence entre les métropoles (+de colonies = puissante) Idée de Jules ferry : amener les indigène a la civilisation européenne. Processus long donc besoin d'une longue colonisation. Colonies d'exploitation car importation et exportation. Étape de la colonisation : - explorateurs : voyage dans le but d'explorer un continent inconnu (anglais : Stanley livingstone)

Charlotte Cordier LEMD1 Etude de la Grammaire des Civilisations Fernand Braudel 1- Répondre aux questions suivantes : -Que signifie le concept de civilisation à l’origine et comment a évolué cette notion ? Le sens du concept de civilisation a beaucoup changé de sa création jusqu'à aujourd'hui, ce mot à engendré de nombreux débats universels sur sa signification et ce qui en découle. En 1732, le mot « civilisation » désignait un acte juridique, il rend civil un procès criminel

d'intérêt pour l'Orient avec notamment le développement du philellénisme (mouvement culturel s'inscrivant dans le cadre du néo-classicisme et fortement influencé par la diaspora grecque) et induit l'intervention d'un contingent militaire franco-russo-britannique en 1827 -bataille de Navarin et destruction de la flotte ottomane. Cette intervention armée cristallise l'intérêt occidental pour l'Orient déjà perceptible avec l'expédition d'Égypte menée par Bonaparte en 1798 (cf. les scientifiques qui se déplacent

géographique/historique et enjeux géostratégiques L’inde se définit comme le pays de la diversité par exemple. Ces nombreuses appellations en témoigne : « Sindhu » en Sanskrit, « Bhârat » (ancien roi hindou) ; « Hindustan » en Persan. * Civilisation * Civilisation bimillénaire de 1.2 Milliard d’habitants * 23 langues officielles et plus de 1000 dialectes. * Economie * Taux de croissance annuel de 6-7%/an suite en 2008. Taux avoisinant les 9%/an hors crise. * Géographie - Territoire

populaire binaire » pour définir les sociétés premières. Il critique les analyses ethnocentristes des cultures premières : une séparation simpliste Maitrise de l’écrit = Civilisation = Nous / Oralité = Sauvage = Eux Dès le premier chapitre , l’auteur effectue une analyse critique des différentes études menées sur les civilisations par d’autres auteurs tels qu’E. Durkheim, M. Weber ou A. Comte, analyses qu’il réfute car trop binaires. « […] les anthropologues et les sociologues […] ont […] préféré