Civilisation Précolombienne

Le progrès évolue de manière différente dans chacune des cultures. Ainsi on a découvert que la poterie pouvait apparaitre à l’époque de la pierre taillée alors qu’on l’attribuait à l’époque la pierre polie. La poterie est apparu avant dans une civilisation qui utilisait la pierre taillée alors qu’elle est apparue plus tard dans une société qui avait déjà la pierre polie à l’époque ou les autre n’étaient qu’à la pierre taillée. Les progrès co-existent et se complètent. Ainsi marche les races, homme

Tenochtitlan : une cité précolombienne confrontée à la conquête et à la colonisation européenne Introduction: L'époque moderne (XIV—XV-XVI° s) est marquée par une ouverture des européens au reste de monde. En effet, ils peuvent désormais grâce aux progrès techniques dans la navigation qui permettent de se déplacer sur de plus longues distances : invention du gouvernail d'étambot, caravelles (bateaux spécialement conçus pour l'exposition), l'astrolabe permettant de calculer précisément la position

découvertes, les nouvelles terres sont conquises par les différentes nations pour pouvoir librement les explorées. Quant aux nouvelles civilisations découvertes (Indiens, Incas...) elles sont persécutées et menacées par les colons qui leurs demandent de ce convertir à leur religion c'est «l’Évangélisation». Pendant la Conquête de ces nouvelles terres, ces différentes civilisations ont été décimées par différents facteurs. Ils aboutirent non seulement à la conquête, mais aussi à la destruction du monde amérindien

dans un nuage de fumées polluantes = critique par Frida Khalo de la pollution. De plus on y retrouve des grattes ciels et des usines (Ford) = force des Etats Unis. Ce monde est dominé par la technique. Crâne = sacrifice et restes de la civilisation précolombienne. De plus symbole de la fête des morts=très populaire au Mexique. Premier plan : fleurs enracinées = symbole de vie. Premier plan : nombreux appareils électriques : mégaphone (vie bruyante)… = symbole de pollution. Éléments naturels Éléments

tout en feignant de la reconnaître pleinement. » C’est une façon masquée de nier leur diversité. De fait, il existe plusieurs cultures possédant des modes de développement différents. La découverte du nouveau monde nous montre ainsi que la civilisation précolombienne mêlait d’étonnantes réussites technologiques à des lacunes. Elle était extrêmement avancée en matière d’agriculture tandis que sa maîtrise de la domestication restait faible, se distinguant de la période néolithique européenne durant laquelle

Tenochtitlan la capitale de la Nouvelle-Espagne, sous le nom de Mexico. Il admire la civilisation de Tenochtitlan. Il encourage le métissage et s’appuie sur les autres tributs pour gouverner. Cependant, il justifie la conquête par son dégoût des sacrifices humains. Les missionnaires détruisent ainsi la culture indigène, même si les nouveaux convertis en conservent des bribes. Le quasi disparition des civilisations précolombiennes est dû à plusieurs causes : * L’évangélisation consiste à la conversion

et sauvage. * Il est à noter que le mythe du bon sauvage s’inspire de l’exemple de populations très peu nombreuses. Le " bon sauvage " est caraïbe ou tahitien, éventuellement huron ou iroquois. Le mythe ne concerne pas les grands empires précolombiens, aztèque et inca. Surtout il ne concerne pas le continent africain. Les Européens connaissent suffisamment l’Afrique pour savoir qu’il y existe des religions et des pouvoirs très oppressifs. Il s’agit essentiellement pour les philosophes européens

artificielle, dont le développement devrait s’accompagner d’une meilleure cons­cience du passé, donc d’une plus grande capacité à organiser le présent et l’avenir. Après avoir éliminé tous les critères proposés pour distinguer la barbarie de la civilisation, on aime­rait au moins retenir celui-là : peuples avec ou sans écriture, les uns capables de cumuler les acquisitions anciennes et pro­gressant de plus en plus vite vers le but qu’ils se sont assigné, tandis que les autres, impuissants à retenir

sociologiques, et non à des aptitudes distinctes…l’humanité ne se développe pas dans une uniforme monotonie, mais dans la diversité des sociétés et des civilisations…il ya plus de culture que de race (même entre 2 culture d’une même race), et la diversité entre les cultures est forte. P12 : Ce qui explique la différence de « progrès » entre la civilisation de l’homme blanc et les autres. P13 : Les cultures humaines ne diffèrent pas entre elles ni de la même façon, ni sur le même plan. P14 : La diversité

préjugés à leur sujet. Enfin, il conclue son raisonnement avec une portée plus générale en s'interrogeant à la manière d'un philosophe sur la place de la civilisation occidentale et en dévoilant certains faits sociologiques qu'il présente, et nous y reviendrons en deuxième partie, comme universels (comme la place du hasard dans la civilisation ou l'importance de la collaboration entre les cultures dans leur évolution). On peut donc voir la progression que Lévi-Strauss s'applique à suivre: d'abord