Civilisations Précolombiennes Histoire

L iv re du profes s eu r Histoire 2 de Les Européens dans l’histoire du monde Directeurs d’ouvrage Jérôme Grondeux, Michaël Navarro, Jérôme Amichaud, Élodie Isoard, Christian Birebent, Sylvain Lancelot, Agrégé d’histoire, docteur en histoire Maître de conférences, Université Paris-IV Sorbonne et Sciences Po Paris Certifié d’histoire-géographie Lycée Jules-Uhry, Creil (60) Certifié d’histoire-géographie, docteur en histoire Lycée Couperin, Fontainebleau (77)

Factory, de Nick Love (2004), d’après le roman de John King. Dossier complémentaire : football et violence, l’exemple du Heysel. Mauvignier extrait de Dans la foule, édito de Jacques Julliard au lendemain du drame du Heysel, extrait de Sport et civilisation de Michel Caillat. Lecture cursive: Le chapitre « à Tottenham » dans Football Factory, de John King, qui forme une unité. Il raconte une très violente scène de bagarre entre deux bandes de Hooligans. Etape 2. Un couple, un match : Jouer juste de

utile pour apprendre enfin à dire nous. ~ Ce que cet « essai d'autobiographie ~ veut surtout montrer c'est le passage du « je ~ au « nous ~, ou encore, la façon dont un jeune homme qui se prend pour le centre du monde finit par insérer sa « petite histoire personnelle :. dans « la grande liistoire des hommes ~. Nous sommes conviés à accompagner le récitant dans la première étape de son voyage. av~rtit L'omoier et la postière D'abord, il y eut l'enfant. Pour Claude Roy, pas plus intéressant, sympathique

PARTIE 2 : L’HOMME ET LES ESPACES URBANISES L’urbanisation du monde est le résultat d’une histoire plurimillénaire mais elle a connu une brutale accélération depuis la Seconde Guerre mondiale. 30 % de la population mondiale, soit 750 millions de personnes, vivaient en ville en 1950 ; elles sont plus de 2,5 milliards en 2000, ce qui équivaut à 47 % de la population du globe, et la croissance urbaine se poursuit à un rythme soutenu qui ajoute quelque 100 millions de nouveaux citadins chaque année

d’objets cultes. Document 2 : Alain Rey, Dictionnaire historique de la langue française, 1993. CULTE, n.m. est emprunté (1532) au latin cultus, proprement « action de cultiver, de soigner », mais beaucoup plus employé au sens moral d’ « éducation, civilisation » d’où « manière d’être, de se vêtir », également en religion « hommage rendu à un dieu ». Le mot est dérivé de colere « habiter, » et « cultiver ». ◊ Culte est passé en français avec sa spécialisation religieuse, « hommage rendu à Dieu ou à un

| |1 Origine du nom | |2 Histoire | |2.1 Époque précolombienne | |2.2 Colonisation européenne | |2

mais elles permettent à des régions de conserver une agriculture qui entretient ses paysages tout en produisant des denrées intéressantes. Elles répondent aux besoins de certains consommateurs qui est de redécouvrir les aliments à travers leur histoire (conditions d’élevage, de culture et de transformation) et leur région d’origine. Le coût énergétique de l’agriculture biologique ne semble pourtant pas supérieur à l’agriculture intensive. Des études concluent que la production biologique utilise

HISTOIRE Seconde Livre du professeur Sous la direction de Jean-Michel LAMBIN agrégé d’histoire Julien DOCHEZ Agrégé d’histoire, professeur au lycée Wallon, Valenciennes Anne-Claire LEFEBVRE Certifiée d’histoire-géographie, professeur au lycée Watteau, Valenciennes Marcel SPISSER Agrégé d’histoire Jean-Luc VILLETTE Agrégé d’histoire, professeur en Première supérieure et Lettres supérieures au Lycée Gambetta, Arras José ZIEMNIAK Certifié d’histoire-géographie

rapports aux différents points de vue discursif et narratif à l’œuvre dans chaque texte. Le poème de Vigny place en position de supériorité l’homme « blanc » qui accueille l’Indienne rescapée des massacres perpétrés par les Hurons, « lui offrant sa civilisation » ; les textes de Giraudoux et Céline mettent en scène des personnages qui s’opposent à d’autres personnages dont les discours sont en faveur du colonialisme. La construction discursive de l’autre, esclave, colonisé est à l’œuvre dans le poème

S6Tableau Frida : Soleil et lune du côté mexicain donc les 2 astres vénérés par les civilisations mexicaines, premier plan parterre de fleurs tropicales exubérantes et colorées. Mais profondément enracinées dans le sol. 2ème plan des statues très colombiennes, idoles de la fécondité apparaissant comme les souvenirs vivants d’une histoire millénaire riche et qui atteste de l’attachement de Frida au passé et à la civilisation du Mexique et à son implication dans la préservation ou la continuité de l’identité