Classe moyenne

L’appartenance sociale comme déterminant du vote : le vote de classe A) Élargissement du corps électoral et vote de classe marqué (ouvriers/patronat) Du vote censitaire au suffrage universel Les orientations politiques à l’époque sont stables et conformes aux normes des milieux familial, social et culturel : Modèle de Columbia Clivage ouvriers/patronat (classe modeste/classe dominante) avec une classe modeste qui vote pour la gauche et une classe dominante qui vote pour la droite Électeurs peu informés

Economie cyclique = Croissance de longue durée derrière laquelle se trouve une croissance irrégulière. Crise = Rupture du cercle vertueux (production > consommation). Productivité = Rapport de la production de biens ou de services à la quantité de moyens (le capital et le travail) utilisés pour produire ces biens ou services. Organisation Scientifique du Travail / Taylorisation = Travail à la chaîne. Organisation rationnelle du travail cadencé divisé en tâches simples, répétitives afin qu'il soit

difference s'explique par les contraintes professionnelles mais aussi des facteurs culturels et économiques.3. Le 1er critere est avant tout de classer la population active parrapport aux métiers . C'est pourquoi les taxinomistes ont créés 6 grandes catégories regroupant en 1954 plus de 5000 métiers . En 1982 la création de la nouvelle grille amène à classer deux fois plus de professions avec les nouvelles techniques informatiques + deux catégories d'inactifs. Les critères cles sont indépendants

intérêts divergents. C'est la place qu'occupent les individus dans le monde économique qui permet de déterminer leur appartenance à une classe sociale. Certains sont propriétaires des moyens de production et peuvent embaucher des salariés qui, eux, n'ont que leur force de travail à vendre pour subvenir à leurs besoins. Les capitalistes, propriétaires des moyens de production exercent de ce fait une domination sur les salariés et les exploitent. Les intérêts des deux groupes sont divergents puisque

héréditaires (caste, ordre) ont disparu mais ils ont été remplacés par des classes sociales hiérarchisées et inégalitaires. Il faut donc s’interroger sur ce qu’on nomme une inégalité ? Toute différence dans l’espace des positions sociales estelle inégalitaire ? Comment peut-on mesurer ces inégalités ? Sont-elles seulement économiques ? Comment-ont-elles évoluées ? Leur réduction a-t-elle abouti à la fin des antagonismes de classe et à une moyennisation de la société ? 2. Les sociétés démocratiques

qu’occupe une classe sociale. Il y a les propriétaires des moyens de production & les salaries qui n’ont que leurs force de travail. Les capitaliste ( propriétaire) exercent une domination sur les employés et les exploitent. Leurs intérêts sont divergents car quand il y a une augmentation de salaire il y a donc une baisse du salaire du patron , c’est odnc un rapport de force économique. => rapports sociaux conflictuels entre les 2 groupes. * en effet , les menbres des classes ont un sentiment

absence de classe moyenne. Cependant, une moyennisation de la société aurait eu lieu au cours de la seconde moitié du XXe siècle. La moyennisation d’une société peut être définie comme le processus de constitution d’une vaste classe moyenne réduisant les positions extrêmes dans la stratification sociale et rapprochant les modes et les niveaux de vie. La société française a-t-elle été « moyennisée » entre 1950 et 2000 ? Nous analyserons tout d’abord l’apparition d’une large classe moyenne de 1950 à

vision du monde peut différer selon les groupes d'appartenance. ILes différences culturelles restent marquées AL'uniformisation des pratiques culturelles La moyennisation, qui désigne l'émergence d'une vaste classe moyenne ayant pour conséquence l'effacement progressif des classes sociales, s'est aussi traduite par une certaine uniformisation des pratiques culturelles, comme : Le cinéma Une partie de la littérature Les grands évènements sportifs comme les coupes du monde

sociale. Mobilité sociale totale : 100 - 22 + 100 - 21 + 100 - 52 + 100 - 33 + 100 - 17 + 100 - 46 = 409 409/6 = environ 68 La mobilité sociale totale est de 68 %, c’est à dire que plus de 2 enfants sur 3 ne se situera pas dans la même classe sociale que son père. Les agriculteurs ont une forte mobilité sociale. Celle-ci a plusieurs causes. Tout d’abord, il y a eut beaucoup de progrès techniques dans le domaines de l’agriculture. En effet, les OGM, l’automatisation pour les récoltes

et à tous les lecteurs qui s'intéressent au sujet et éventuellement à ses collègues. La révolution industrielle, très touchée par la mécanisation entraîne un développement des usines et donc l'apparition de nouvelles classes et l'essor de classes déjà existante tel que la classe ouvrière. En effet les paysans vont ce déplacer pour venir travailler en ville dans les usines pour travailler plus et gagner plus. Ils auront effectivement davantage de travail et surtout des tâches différents de celles