Classicisme Romantique

règles prosodiques et dramaturgiques établies : « J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin » Hugo. Contexte Historique Le romantisme est lié à la politique française : il se développe sous la Restauration et la Monarchie de Juillet. Les premiers romantiques sont des aristocrates qui ont assisté à l’effondrement des valeurs napoléoniennes et révolutionnaires. Ils souffrent de vivre dans un monde qui leur semble en ruines. Cette jeunesse désenchantée éprouve alors ce qu’on a appelé « le mal du siècle

prédilections que sont la cosmologie, la médecine, l’astronomie ou la géographie. Après cela, jusqu’en 1660, la tendance est plutôt baroque même si les deux poètes qui dominent le début du 17ème siècle Malherbe et Régnier préfigurent en partie le Classicisme. A partir de 1620 un nouveau climat s’installe et Théophile de Viau occupe le devant de la scène. La génération de 1625 est particulièrement riche et diverse : gaité baroque (St-Amant), courant burlesque (Paul Scarron), mélancolie maniériste (Tristan)

Le classicisme est un mouvement littéraire[->0] qui se développe en France[->1], et plus largement en Europe[->2], à la frontière entre le XVIIe siècle[->3] et le XVIIIe siècle[->4], de 1660[->5] à 1715[->6]. Il se définit par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal s'incarnant dans l’« honnête homme » et qui développent une esthétique[->7] fondée sur une recherche de la perfection. La centralisation monarchique, qui s'affirme dès 1630[->8] sous l'autorité de Richelieu[->9]

l’influence du romantisme qui fait la contradiction des codes du classicisme. Le romantisme est un mouvement culturel, où l’auteur fait l’affiche de ses sentiments personnels, qui apparaît au début du XIXe siècle. Il a grandement influencé les œuvres théâtrales avec de grands écrivains comme Victor Hugo ou Musset. I L’influence du Romantisme sur le Théâtre Comme nous l’avons dit dans l’introduction, les règles du théâtre romantique reposent sur une contradiction avec les anciens codes du théâtre

Cet exposé traite du baroque et du classicisme. Ce devoir (3pages et demi) est constitué de 2 grandes parties comprenant chacune 5 sous parties sur respectivement définition principale (1), caractéristiques (2), origine (3), littérature(4), art(5). Ce travail se terminera par une courte conclusion sur le rapport Baroque-Classicisme. LE BAROQUE 1. Le baroque est un style qui naquît en Italie et/ou au Portugal. L’ambiguïté est de mise car si le style née la désignation du mot et du concept du

XVIII : surtout une esthétique de la grâce. Mais grâce = rupture avec les règles. C'est un siècle qui cependant ne renonce pas au concept de « belle nature » dans laquelle il faut prendre le meilleur. Hugo, dans sa préface de Cromwell, : manifeste romantique, revalorise pour la première fois la laideur. Il s'agit toujours de plaire et non de dégouter (comme au Xxe). Il établit une correspondance entre la forme de la poésie et la société qui l'a fait naître. Il en distingue 3 : société primitive =>

est due à la modernité du recueil, à son caractère prophétique. Or, si Baudelaire est considéré comme le premier des modernes, il est aussi le dernier des classiques. Les Fleurs du Mal, si originales soient-elles, doivent en effet beaucoup au classicisme, qui se lit d'abord dans le choix de l'alexandrin et du sonnet. Baudelaire est donc un auteur charnière, partagé entre passé et avenir ; cette ambivalence est perceptible dans l'usage qu'il fait des figures mythologiques et littéraires mais aussi

Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un romancier, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé, considéré comme l’un des plus importants écrivains romantiques en France. C’est le dernier enfant d’une famille de trois garçons. Son père est un général de l’Empire napoléonien qui est donc souvent absent, c'est surtout sa mere qui les élève Alors qu'il est au lycée Louis-le-Grand, Victor Hugo semble déjà avoir une idée très

certaines règles du théâtre classique avait attiré les représentants du mouvement romantique dont Honoré de Balzac, Alexandre Dumas, Gerard de Nerval, Hector Berlioz, Petrus Borel et Théophile Gautier affublé d’un gilet vermillon provocant qui restera dans l’histoire. «L’école classique» était venue défendre leurs lois en la présence de nombreux crânes chauves. La tension était palpable. J’entendis d’ailleurs un jeune romantique s’écrier au milieu d’un tumulte : « A la guillotine, les genoux !». Les spectateurs

historique Depuis quelques siècles, le terme « romantique » ne cesse de changer de signification : Au XVII ème siècle, on ne parlait de romantisme que pour désigner des sentiments et des aventures propres au roman. A la fin du XVIII ème siècle, cette notion évolue et correspond aux paysages mélancoliques et envoûtants. Ce n'est qu'en 1820 que le romantisme est considéré comme un mouvement littéraire à part entière (il met donc fin au classicisme, au siècle des Lumières et au mouvement libertin