Classiques Et Néoclassiques Point De Divergence

ceux des autres. L’individu est au centre de la société, il la constitue en recherchant ses intérêts personnels concrets (main du marché) et la société le forme en tant qu’être moral par interaction ac les autres individus. 2) La théorie néoclassique L’organisation est transparente. Ce qui se passe à l’intérieur de l’organisation est sans intérêt pour expliquer ce qui se passe sur le marché, les échanges se régularisent par des séries de contrats individuels librement établis. Un marché

L’économie politique classique peut être située de Smith à Stuart Mill. Elle couvre une période assez courte de 1776 à 1848 mais elle n’est pas unifiée, notamment sur le point de départ de la réflexion : la théorie de la valeur avec ses questions corollaires, qu’est-ce que la richesse, la valeur et qu’est-ce qui détermine et mesure la valeur ? En revanche, l’approche en termes d’économie réelle semble plutôt un point commun entre les auteurs qui les amène à considérer la monnaie comme voile et ne

acteurs économiques aient de nombreuses divergences et qu’il faille se méfier des comparaisons). La science économique devient donc bien plus large que la simple gestion des richesses et touche des problèmes également politiques et sociaux. 1.2– Les grands courants de la pensée économiques : Les conclusions auxquelles on parvient dépendent d’hypothèses de départ. De grandes tendances se sont faites jour en économie. 1.2.1– L’école classique : L’école classique regroupe des auteurs aussi divers que

la moitié. Le reste est le facteur résiduel, traduisant l'effet du progrès technique), DENISON (facteurs de production incluant des aspects quantitatifs et qualitatifs n'explique que 0,72 points des 5,15 points de croissance en RDA, 0,79 points des 2,15 points de croissance aux USA, et 1,13 points des 4,80 points de croissance en France), SOLOW inclut également le progrès technique dans une fonction de production de type COBB-DOUGLAS (progrès techniques exogène). Mais paradoxe de la productivité SOLOW:

mondialisation : Deux concepts : l’une unitaire et l’autre conflictuelle s’affrontent autour de l’explication de la mondialisation * Le concept Unitaire : repose sur la vision d’un monde uniforme, d’un village planétaire sans frontières. Le point de vue à la fois géographique, idéologique et économique est aujourd’hui soutenu par la quasi-totalité des organismes internationales comme la FMI, la BM, l’OMC et par les analystes favorables à la mondialisation et donc à l’économie du marché.

microéconomie = dure car trop formalisée Elle s’est mathématisée et coupée de ses racines historiques. Aujourd’hui c’est la théorie néoclassique qui est dominante en microéconomie (recherche, enseignement) Prix nobels d’économie = néoclassiques Classiques : Smith, Ricardo Ils démontrent l’avantage du libéralisme économique avec une démarche nouvelle (néo) Les classiques se concentraient sur les groupes sociaux, les néo sur l’individu (individualisme méthodique). Théorie de la main invisible : dans

le travail d'un autre. Smith fonde une théorie de la valeur travail qui sera accepté par tous les économistes au XIXème siècle. C'est un des éléments fondateurs du paradigme majoritairement accepté en économie au XIXème siècle qui est celui des classiques. Cette théorie est remise en cause dans les années 1870 par trois auteurs. (Jevons en 1871, Menger en 1871, Léon Walras 1874) Ils ont en commun de résoudre en même temps le paradoxe de l'eau et du diamant en mobilisant deux notions : la notion d'utilité

sécurisation de ses approvisionnements. Atouts de l’Inde Deuxième géant en émergence, l’Inde dispose aujourd’hui d’un grand potentiel de développement économique, lié notamment à la qualité de la formation de sa main d’œuvre. Elle se situe notamment en pointe dans des domaines comme l’informatique et les télécommunications, concentrés dans la désormais célèbre vallée de Bangalore (équivalent indien de la Silicon Valley), où les leaders du secteur comme Infosys ont leur siège. Cependant, le développement

dans la moitié des cas ces opérations sont un échec. - Les concentrations remettent en cause les principes de la concurrence pure et parfaite. Chez les néoclassiques est la condition nécessaire à l’obtention d’un équilibre général et à l’atteinte d’une situation optimale au sens de Pareto. Donc la concurrence pure et parfaite est chez les néoclassique sinéquanone à l’efficacité des marchés. De plus, en situation de monopole ou d’oligopole, les entreprises bénéficient d’un pouvoir de marché et d’une

LA THÉORIE DE LA RÉGULATION FACE A LA PROBLÉMATIQUE DES RÉGIMES INTERNATIONAUX Gérard Kébabdjian Résumé L'article fait le point sur les travaux d'"économie politique internationale" concernant les régimes internationaux, c'est-à-dire les institutions ayant pour finalité de stabiliser les conflits dans certains domaines des relations internationales (régimes monétaires, régimes commerciaux par exemple) ; ces travaux ont pour objet d'expliquer pourquoi et comment apparaissent, se transforment et peuvent