Cléanthe

amants est de faire du frère, Cléante, un allié. L’entendant arriver, Valère se retire (ce qui lie la scène 1 à la scène 2).   Scène 2. Cléante, Élise. Dans cette seconde scène d’exposition, on apprend en même temps qu’Élise que son frère Cléanthe veut épouser Mariane, une jeune fille pauvre qui vit avec sa mère souvent malade, dont il est amoureux. Il prévient en les débitant les arguments qui font de l’obéissance au père en ce domaine le maître. Cléante se révolte surtout contre l’avarice

instable. On distingue trois périodes, le stoïcisme ancien, le stoïcisme moyen (rencontre entre les grecs et Rome) et le stoïcisme récent (fait par des romains). Le stoïcisme ancien Les trois principaux scholarques sont Zénon de Citium (335-264), Cléanthe, scholarque de 264 à 232 et Chrysippe, scholarque de 232 à 204. C'est une pensée que l'on connaît de manière fragmentaire car nous n'avons pas beaucoup d'écrits. Cicéron a gardé quelques citations de la doctrine. Il n'est pas stoïcien mais il s'est

ACTE II. Scène 1. Cléanthe, La Flèche. Cléante cherche à emprunter quinze mille francs. Son valet lui a trouvé un préteur représenté par Maître Simon, un courtier. L’énoncé des premières conditions semblent honnêtes à Valère. Mais lorsqu’il comprend que le prêteur réclame au final un taux exorbitant de 25% et y ajoute comme condition l’obligation d’y inclure un amas de vieilleries hétéroclites évaluées à un prix extravagant pour une partie de la somme, Cléante est indigné des conditions tyranniques

questions morales encore plus qu’ailleurs, Hume conclut en faveur du juste milieu, d’un équilibre intérieur à l’individu qui se trouve être bénéfique aussi bien pour lui que pour les autres. - Vous êtes bien heureux [...] d’avoir donné votre fille à Cléanthe. Voilà un homme honorable et humain. Quiconque est en relation avec lui est assuré d’être traité avec équité et gentillesse. [qualités utiles à autrui] - Je vous félicite aussi, dit un autre, des perspectives prometteuses de ce gendre dont l’application

projet des amants est de faire du frère, Cléante, un allié. L’entendant arriver, Valère se retire (ce qui lie la scène 1 à la scène 2). Scène 2. Cléante, Élise. Dans cette seconde scène d’exposition, on apprend en même temps qu’Élise que son frère Cléanthe veut épouser Mariane, une jeune fille pauvre qui vit avec sa mère souvent malade, dont il est amoureux. Il prévient en les débitant les arguments qui font de l’obéissance au père en ce domaine le maître. Cléante se révolte surtout contre l’avarice

à l’idée qu’on peut se fier à quelqu’un ou à quelque chose. Certes, les autres peuvent avoir confiance en nous, même si on leur ment, à condition qu’il ne découvre pas la vérité. Tu va sans doute me dire : Devons-nous absolument choisir entre Cléanthe, l’« honnête homme » qui tolère d’arranger la vérité pour ménager le « monde », et Alceste, le « misanthrope » décrit par Molière qui ignore les règles du savoir-vivre pour servir à chacun ses « quatre vérités » ? Mais n’est-il pas possible de faire

* 13 Annexes * 13.1 Articles connexes * 13.2 Liens externes | ------------------------------------------------- Avant-propos[modifier] En effet, il ne nous reste que des fragments des premiers stoïciens (Zénon de Citium (344 - 262), Cléanthe), et les seules œuvres complètes que nous possédons sont celles de Sénèque, Épictète etMarc Aurèle. Cicéron nous a transmis des débats de l'époque hellénistique qui nous renseignent sur l'ancien stoïcisme. Les adversaires des stoïciens (Plutarque

vite à ses spectateurs que Tartuffe est un faux dévot et on assiste à toute la famille qui essaye de convaincre Orgon d’ouvrir les yeux. La dispute entre ce dernier et Cléanthe dans la scène 5 du premier acte témoigne bien de cette volonté de mettre en valeur l’irrationalité dont Orgon fait preuve dans sa vénération de Tartuffe. Cléanthe tient des propos réfléchit et argumenté face à Orgon qui se laisse prendre dans la passion et la démesure. Il fait aussi la satire des faux dévots et du problème de

très au sérieux l’inversion des rôles: là où Arlequin est ludique, Cléanthis est sérieuse (Scène 10). Elle n’est pas le symétrique féminin d’Arlequin, elle incarne même l’opposé d’Arlequin. Elle incarne une figure de l’intransigeance. Dans la pièce, Cléanthe a trois fonctions: -dramatique: son personnage contribue à la variété des situations -comique -argumentative: elle porte un discours politique, elle est l’antithèse de la société. =>Iphicrate: incapacité à se fondre dans le rôle qui leur est

extravagant pour une partie de la somme, Cléante est indigné des conditions tyranniques de l’usurier qu’il injurie (« quel Juif, quel Arabe » p.42). Il maudit l’avarice de son père dont il souhaite implicitement la mort. Scène 2. Maître Simon, Harpagon, Cléanthe, La Flèche. Arrivent le courtier Maître Simon et Harpagon. Cléante et son valet sont surpris. Cléante découvre que le mystérieux usurier n’est autre que son père. Père et fils s’opposent violemment. Ils se reprochent mutuellement l’immoralité