Cléanthe

1. LES CARACTERISTIQUES DU STOICISME. Son nom vient de la Stoa, qui est le portique, l’allée couverte où l’on enseignait cette philosophie à Athènes. Le stoïcisme a été fondé par Zénon de Cittium (336-264 av.J.-C.). Ses successeurs sont Cléanthe (331-232) et Chrysippe (280-210). Il se développe sous l’Empire où il offre un moyen de résistance à la dégradation des mœurs publiques dans une époque troublée. Le « summum bonum » (le souverain bien), c’est-à-dire ce que l’on cherche à atteindre

sage. LES CARACTERISTIQUES DU STOICISME. Son nom vient de la Stoa, qui est le portique, l’allée couverte où l’on enseignait cette philosophie à Athènes. Le stoïcisme a été fondé par Zénon de Cittium (336-264 av.J.-C.). Ses successeurs sont Cléanthe (331-232) et Chrysippe (280-210). Il se développe sous l’Empire où il offre un moyen de résistance à la dégradation des mœurs publiques dans une époque troublée. Le « summum bonum » (le souverain bien), c’est-à-dire ce que l’on cherche à atteindre

vertueuse. Il a eu de nombreux disciples, dont Ariston de Chios, Denys, Zénon de Sidon, Aratos de Soles et Cléanthe, qui ont diffusé sa pensée Cléanthe 331 - 232 av. J.-C. Cléanthe (v.331av.J.-C.-v.232av.J.-C.), philosophe grec stoïcien. Né en Asie Mineure, Cléanthe se rend à Athènes vers 280av.J.-C. et y suit l'enseignement de Zénon de Citium. À la mort de celui-ci, en 263av.J.-C., Cléanthe prendra la direction du Portique, et la légende veut qu'il se soit laissé mourir de faim à quatre-vingt dix-neuf

problématise le rapport entre les maîtres et les valets en dénonçant leur violence. Un « gourdin » se matérialise et montre la violence et la perte du pouvoir (la scène se termine sur une poursuite avec une épée. La révolte d’Arlequin annonce celle de Cléanthe. Il y a dénonciation des abus, de l’hypocrisie du langage d’Iphicrate Absence de sincérité dans cette société et ses conventions. Iphicrate perd le langage du maître par la peur, au départ il n’y a pas de respect. 1) Entre comique et pathétique

(335-264 av. JC). Ce penseur grec vint à Athènes vers l’an 300 av. JC et enseigna sous le Portique (en grec, Stoa), d’où le nom de l’Ecole du Portique ou de Stoïcisme. Nous conservons seulement des fragments de cet ancien stoïcisme, développé par Zénon, Cléanthe (331-232 av. JC) et Chrysippe (280-206 av. JC). Mais c’est surtout le Stoïcisme – romain – de l’époque impériale qui est célèbre, avec les noms de Sénèque (4 av. JC – 65 ap. JC) (De la brièveté de la vie, De la tranquillité de l’âme, De la providence

atteindre la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie. Il s'agit d'une absence de passions, qui prend la forme d'une absence de souffrance. b) Quelques épicuriens : Amafinius, Lucrèce, Velleius Torquatus Quelques stoïciens : Zénon de Citium, Cléanthe , Sénèque, Marc-Aurèle, Epictète. c) Doctrine dont l'élément fondamental est la recherche du plaisir. Cette designation s’applique aux epicuriens. d) Ce courant entretiens des rapports avec le stoicisme. Libertin : Se disait aux XVIIe siècle

fait de l'avoir obtenue, alors que c'était/ ça paraissait impossible au premier abord. On peut dire que le désir est une sorte d'objectif, de but suprême, un idéal ; Cela pousse donc l'Homme -en général- à se surpasser pour obtenir ce qu'il désire. Cléanthe pensait « être riche, c'est être pauvre en désirs ». Cette phrase signifie qu'en ayant peu de désirs, on est sûr de pouvoir tous les satisfaire, et d'être absolument comblé. Le contentement est la vraie richesse. Si l'on désire seulement quelques

ne pas craindre la mort, ne pas craindre la douleur. c- La devise Carpedien (Horace) cueille le jour, apprécie le moment présent. 3- Les caractéristiques du Stoïcisme Stoïcisme fondé par Zenon de Citium de 336-264 avant JC, ses successeurs sont Cléanthe (331-232) et chysippre (280-210). Il se développe sous l’empire où il offre un moyen de résistance à la dégradation des mœurs publiques dans une époque troublée. a- Sa logique Une providence divine, un jeu qui assure l’harmonie et la rationalité

propose des preuves de l'existence de Dieu. Théologie : discours sur Dieu. Elles peuvent se déployer de multiples façons : soit on part de l’observation du monde, de la nature qui est parfaitement ordonné et on pose son existence (cf la position de Cléanthe : Dialogue sur la religion naturelle de David HUME : dialogue entre le croyant, le représentant de la théologie rationnelle et le sceptique). Ex : Descartes dans les Méditations métaphysique nous propose 3 démonstrations de l'existence de dieu

Hume, Dialogues sur la religion naturelle. Introduction Parution : 1779 (3 ans après la † de H.). Cléanthe est le héros : H. n’épouse pas ncsrt la cause de Philon. La religion répond à une inclination, mais il faut un argument « parfaitement formel et régulier » pour prouver que celle-ci diffère de notre inclination à l’anthropomorphisme. La religion naturelle accorde inclination et raison, croyance et argument ; elle satisfait la demande φQ.[1] L’examen φQ doit révéler l’évidence du dessein