Cligès

Enide (1170) = seul roman où il signe Chrétien de Troyes Cligès ou la fausse morte (1175) Yvain ou le chevalier au lion (1176-1180) Le Lancelot ou le chevalier de la charrette (1176-1180) = œuvre commandée par Marie de Champagne. Le Perceval ou le comte du Graal (œuvre inachevée ce qui a suscité une série de suites vers 1182-1190) Doute pour une 6e œuvre : Guillaume d’Angleterre. Il a écrit d’autres œuvres, preuve : le prologue de Cligès (énumération de séries d’œuvres qu’il aurait écrites dont

but. Il y a bien l’exception notable de Lancelot qui aime éperdument la dame. Chrétien de Troyes n’achève pas son œuvre qui est une commande de Marie de Champaigne. Chrétien de Troyes rejette du mythe tristanien et un rejet de l’amour courtois. Dans Cligès Fenice exclusion de la fine amor et du mythe tristanien il faut se marier avec celui qu’on aime. Et dans Yvain ou le chevalier au lion on part du mariage c'est-à-dire qu’on part de la fin. 04/04/14 LE ROMAN D’ANTIQUITE Le mot roman qualifie le substantif

devant le juge. Condamné à mort, il est mené au gibet puis décapité17. Cette substitution ont pour but d'être drôle ou didactique. Elles renversent les valeurs attribuées à la chasses ou à la fauconnerie. Elles ont souvent un contenu sexuel. Dans le Cligès de Chrétien de Troyes, les enluminures transforment un gibier particulier en chasseur, spécialement affecté à la symbolisation du sexe féminin17. Fonctions de la chasse[modifier | modifier le code] Un chasseur avec son cerf Fonction originelle

contradictoires entre eux.amour courtois.amour conjugal.honneur guerrier.morale chrétienne.Il les combine et les oppose. - Érec et Énide  : code guerrier + code de l'amour conjugal. - Cligès  : code de l'amour courtois + code de la morale chrétienne. - Lancelot ou le chevalier à la charrette  : code de l'amour courtois + code de l'honneur chevaleresque. -

LEROMANFRANÇAISAUMOYENÂGEETÀLARENAISSANCE 1 UNIVERSITÉGASTONBERGERDESAINT-LOUIS UFRLETTRESETSCIENCESHUMAINES DÉPARTEMENTFRANÇAIS MASTERI SEMESTREI COURSDEMODULELITTÉRATUREFRANÇAISE LEROMANAUMOYENÂGEETÀLARENAISSANCE DIOKELSARR LITTÉRATUREFRANÇAISE(MOYENAGE- RENAISSANCE) PLANDUCOURS LAMATIÈREANTIQUELEROMANFRANÇAISAUMOYENÂGEETÀLARENAISSANCE 2 LeromandeThèbes(1150) Leromand’Énéas(1160) LeromandeTroie(1165) Leromand’Alexandre LAMATIÈREDEBRETAGNE(Bretonouarthurien) Leromancourtois LeromandeTristan LAMATIÈREDEFRANCE

Flandre. Figure centrale de la littérature française médiévale, Chrétien de Troyes se signale par l'importance de sa production romanesque. On lui doit cinq récits, en octosyllabes à rimes plates, composés entre 1170 et environ 1185 : Érec et Énide, Cligès. S'inspirant des légendes bretonnes et celtes autour du roi Arthur et de la quête du Graal, Chrétien de Troyes produit Lancelot ou le Chevalier de la charrette (1177), Yvain ou le chevalier au lion (vers 1176), ou encore Perceval ou le Conte du Graal

Érec et Énide (vers 1164) , la quête de l'amour courtois se fait dans le cadre de l'amour conjugal. Il s'agit pour le chevalier de montrer à la dame que la grandeur héroïque n'est pas incompatible avec le mariage. De même, dans Cligès ou la Fausse Morte (vers 1176), dans laquelle l'opposition entre l'amour et l'interdit est dépassée : Fénice, se faisant passer pour morte, préserve son honneur et se consacre à un amour unique et idéal. L'amour demeure impossible dans Lancelot ou

Enide, dans le prologue, il parle de lui et se présente comme Chrétien de Troyes. Partout ailleurs, il signera Chrétien. Dans son deuxième roman, Cligès, il parle d'oeuvres dont on n'a plus de trace. Il a écrit 5 romans bretons courtois très importants pour l'histoire de la littérature médiévale. En 1170, il y a Erec et Enide. Il y a aussi Cligès (ou la fausse Morte) en 1175. En 1176 -1180, il y a Yvain (ou le chevalier au Lion). En 1176-1180, il y a Lancelot (ou le chevalier de la Charette)

esprovez te soies. De ce te lo que tu me croies, Et s'an leu viens, ja ne t'esmaies Que a ton oncle ne t'essaies, Mon seignor Gauvain, ce te pri, Que tu nel metes en obli. » Aprés cest amonestemant ne vesqui gaires longuemant. (Chrétien de Troyes, Cligès, v. 2572-2582) De rapides sondages dans des textes composés entre le 12e et le 15e siècle montrent que les constructions cele requeste, cil/cel blasme, etc. ne se rencontrent quasiment pas, que le SN soit prédicatif ou qu’il reprenne des informations

de la société. Sujet: l‘amour conjugal, non la fin’amor adultère: cf. Yvain. Cligès ou la fausse morte ± 1176 Dans le prologue Chrétien donne une liste de ses publications antérieures, e.a. Erec. Roman byzantin avec fin arthurienne. Deux romans? D‘abord les amours des parents de Cligès: Alexandre et Soredamor (soeur de Gauvain). Puis les amours de Cligès et Fénice. Fénice, femme d'Alis, est la tante de Cligès: cf. Tristan et Yseut. Mais Chrétien a-t-il voulu écrire un anti-Tristan? Fénice