Clisthene L Isonomie

le pouvoir décisionnel. A partir du 3éme siécle, Sparte qui était un modèle discipliné, va se transformer en ploutocratie. * La rép romaine : régime aristocratique. * * C) Le gouvernement du plus grand nombre * * Hérodote : isonomie : dans le sens d’égalité dans l’accés au droit, aux charges publiques mais on a un terme qui va apparaître au milieu du 5éme siécle qui va décrire ce gouvernement du plus grand nombre : démocratie : démos : le peuple , kratein : exercer souverainement

Ces différentes catégories coexistent dans les cités, cette coexistence montre l'absence d'égalité sociale. Lorsque les Grecs parlent du "To Isson" L'égalité est réservée aux citoyens, s'exprime par l'isocratie : égale participation au pouvoir, Isonomie : régime d'égalité de citoyens devant la loi. Organisation commune pour toutes les cités grecques, mais n'empêche pas que chaque cité reste souveraine, elle organise sa politique comme elle l'entend elle a son autonomie. Cette indépendance sera

devant la loi -Egale participation (plus un devoir qu’un droit =>démocratie direct . de nos jours Référendum ) -Liberté d’opinions Ces 3 points ne valent que pour les citoyens (donc pas les femmes, les esclaves, les étrangers) Isonomie (politique est l’œuvre essentielle de Clisthène qui la met en place par les réformes en 508 et 507 av. J.-C-régime qui garantit la non domination=> donne la domination au peuple) les opposants (Aristocratie=> Elites gouvernent car peuples trop cons) à l’Isonomie vont l’appeler

exigé de l’être également dans le partage du pouvoir. Dates-clés > – 451 Réforme de Périclès limitant la citoyenneté aux enfants de père et de mère athéniens. Personnages-clés Périclès (495-429 avant J.-C.) Stratège athénien descendant de Clisthène, il est l’auteur de grandes réformes consolidant la démocratie, (le misthos). Il choisit par contre de durcir l’accès à la citoyenneté. La population athénienne Chapitre 2 • L’invention de la citoyenneté dans le monde antique 53 Documents

groupes sociaux qui composent la cité. Dans les cités fondées sur l'eunomie, tous les citoyens n'ont pas un accès égal aux magistratures. L'inégalité en faveur d'un groupe se justifie car elle est compensée par une autres inégalité. Isotès ou isonomie (isonomia) On défend un principe d'égalité absolue c'est à dire d'une égalité de type arithmétique, c'est une conception de l'égalité dans laquelle règne une équivalence parfaite entre les individus. Les citoyens sont isoi, c'est à dire égaux,

présent. Le chef de ce complot aristocratique met sur pied un régime strictement oligarchique. Il semble aussi que l'assemblé du peuple si pas supprimé elle fut marginalisé. Aristocrate maintenu que 3 ans au pouvoir. §2 Réformes de Clisthène Clisthène qui va poser les bases du régime démocratique : prit le pouvoir par la force des eupatrides d'une très grande famille qui a eut à souffrir beaucoup et a cause des tyrannies et par le régime aristocratique Ce coup de force populaire se traduit

n’a plus la haine du riche, au contraire il voit en lui quelqu’un d’utile à la Cité. Le système équilibré instauré par Solon ne va pas être stable. Ce n’est qu’une étape vers une démocratie de plus en plus radicale. Clisthène représente l’étape suivante. Clisthène l’Isonomia. Isonomia = norme égale. On passe à la justice égalitaire, arithmétique. Tout le monde va être évalué de la même façon. L’intermède tyrannique. Athènes nous donne un exemple que l’on retrouve dans beaucoup

riches familles aristocratiques, l’établissement de l’égalité politique s’est accompli progressivement. Depuis la réforme de Solon• (549 avant J.-C.), les lois sont écrites, protégeant le citoyen de toute décision arbitraire. En 508-507 avant J.-C., Clisthène• crée l’assemblée de tous les citoyens, l’Ecclésia, et l’activité politique s’inscrit dorénavant dans le cadre de dix tribus* qui mêlent des citoyens d’origine géographique différente : une tribu regroupe une trittye* de la côte, une de la ville

sociale qui a été conclu par un régime tyrannique. Ces crises opposaient l’aristocratie et la bourgeoisie naissante. Les tyrans ont accédé au pouvoir grâce à un coup de force : Lycurge pour Sparte, Dracon (621 avant JC), Solon (594-591 avant JC) et Clisthèn (507 avant JC) pour Athènes. A l’origine du concept de « nomos » : mise en forme d’un ordre supérieur qui doit permettre la répartition pour chacun de ses droits et de ses devoirs. Elles représentent des lois fondamentales qui s’imposent aux législateurs

crises opposaient l’aristocratie et la bourgeoisie naissante. Remarque : tyrannie ne veut pas dire despotisme. Les tyrans ont accédé au pouvoir grâce à un coup de force : Lycurge pour Sparte, Dracon (621 avant JC), Solon (594-591 avant JC) et Clisthèn (507 avant JC) pour Athènes. A l’origine du concept de « nomos » : mise en forme d’un ordre supérieur qui doit permettre la répartition pour chacun de ses droits et de ses devoirs. Elles représentent des lois fondamentales qui s’imposent aux législateurs