Clitandre

comédies, le genre, jugé secondaire, était alors en crise, et il contribua beaucoup à le réhabiliter. Il en écrivit six entre 1629 et 1636 (dont la Veuve en 1632 et l'Illusion comique en 1636). C'est à la même époque qu'il donna la tragi-comédie Clitandre (1631), ainsi que Médée (1635), sa première tragédie. Il revint plus tard à la comédie, notamment avec le Menteur (1643). Le triomphe du Cid (1637) fit date dans la carrière de Corneille: alors que le succès public le consacrait avec éclat dans

jeunes filles dans l’ignorance (L’École des Femmes ) ; non, ce qu’il critique ici, c’est l’excès et l’étalage de cette pseudo-science. Comme toujours, Molière se range du côté du bon sens et des gens raisonnables, représentés par Ariste et aussi Clitandre et Chrysale. Molière avait déjà abordé ce thème ( il faut croire qu’il lui tient à cœur !) en 1659 avec Les Précieuses Ridicules ; il y revient un an avant sa mort de façon plus approfondie et plus fine (Les Précieuses n’étaient qu’une farce en

négatives et dénigrantes ce qui donna lieu à un conflit. Ensuite Alceste en profita pour  blâmer Célimène de ses trop nombreux amants. Elle essaya de le rassurer mais en vain, il lui fit une crise de jalousie. Célimène en la compagnie d’Acaste et de Clitandre dressèrent des portraits cruels de plusieurs personnalités non-présente. Alceste quant à lui, après avoir reprochés aux deux marquis de flatter Célimène qui continua de plus belle ses railleries, disposa car il était convoquait au tribunal à cause

six enfants d'une famille aisée de magistrats rouennais, Pierre Corneille entame en 1628 une carrière d'avocat. En 1629, un chagrin amoureux le conduit à écrire ses premiers vers, puis sa première comédie, Mélite. Avec les pièces qui suivront : Clitandre, la Veuve, la Galerie du Palais, la Suivante, la Place Royale, Médée et l'Illusion comique, apparaît un nouveau style de théâtre, ou les sentiments tragiques sont mis en scène pour la première fois dans un univers plausible, celui de la société contemporaine

l’écoute de ce pédant ; ce qui dénonce le caractère des bourgeois de l’époque. De plus, il y est aussi posé une question, celle de la place des femmes dans la société. Enfin, la vision du mariage est aussi dénoncée par celui d’Henriette et de Clitandre. Les deux amants veulent se marier mais la majorité de la famille refuse car on lui a déjà choisi quelqu’un, le pédant Trissotin.

spectateur mais implique une certaine réflexion, les personnages sont caricaturés et c'est d'ailleurs là où réside la satyre de la scène : une palette de personnages qui caricatures la société de l'époque. Le premier personnage à être présenté est Clitandre qui est tout de suite rabaissé par Célimène : elle affirme qu'il commet des impaires impardonnables bien que son air extravagant nous fait penser le contraire. Le deuxième personnage n'est pas non plus gâté par les critiques de Célimène : cette-dernière

La Bruyère souhaite l’équilibre, la raison et la perpétuation des traditions. Figure de Roue de la Fortune qui fait et défait les destins à l’aveugle. Exemple : Champ lexical agitation dans Portrait de Cimon et Clitandre. L’argent -> Dénonciation de la supériorité de l’argent sur la vertu. Perturbation de l’ordre social et instrument de décadence. Exemple : Giton se donne tous les droits et Phédon est exclu de par

Mélite / renouvellement du genre comique par la mise en sc- de jeunes gens qui s’amusent déjà par des espèces de marivaudages. 1631 = La Veuve / 1632 = La Galerie du Palais / 1633 = La Suivante / 1634 = La Place Royale / échec d’une tragi-comédie, Clitandre en 1630 puis 1° tragédie = Médée et l’Illusion Comique en 1636. Devient un des dramaturges les + importants de l’époque, choisi par Richelieu pour participer à l’écriture d’une pièce qui sera donnée à la cour en 1635 ( La Comédie des Tuileries)

celui qui n;est ni un saint ni un dévot, et qui s'est borné à n'avoir que de la vertu. (http://www.mml.cam.ac.uk/aspects/assets/na229/public_html/projet2/auteurs.html) Les 3 personnages de Molière qui symbolise l’honnête homme : Cléante, Clitandre, Philinte Texte qui présente une critique de l’honnête homme : "Le neveu de Rameau" – Diderot « Histoire vraie » - Guy de Maupassant (http://lyc-debellepierre.ac-reunion.fr/LettresBellepierre/content/view/1063/178/) « Boule de suif » - Guy

études de droit, occupa des offices d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique ("Médée"), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie