Clitandre

Les femmes savantes S'en prenant aux “femmes savantes”, Molière visait de nouveau les précieuses qu'il avait attaquées treize ans plus tôt, lors de son installation définitive à Paris avec “Les Précieuses Ridicules”. Résumé de la pièce: Clitandre et Henriette sont amants, mais pour se marier, ils vont devoir obtenir le soutien de la famille de la jeune fille. Le père (Chrysale) et l'oncle (Ariste) sont favorables au mariage. Malheureusement la mère (Philaminte), soutenue par la tante (Bélise)

• Philoctète, René. « Le Spiralisme, une nouvelle école littéraire ». Le Nouveau monde (29 mai 1972). • Laferrière, Dany et Clitandre. « D'Univocal à la peinture, une certaine continuité ». Le Petit Samedi Soir 77 (1974): 6-8. • Fleishchmann, U. « Entrevue avec Frankétienne sur son roman Dézafi ». Dérives 7 (1977): 17-25. • Clitandre, Pierre. « Franck Étienne n'écrit plus en français ». Le Petit Samedi Soir 294 (1979): 25-26. • Fanon, J. « Frankétienne: la

Commentaire de texte : Molière, Le Misanthrope, Acte V Dans la dernière scène tout les personnages sont présents : Acaste, Clitandre, Arsinoé, Philinte, Éliante, Oronte, Célimène et Alceste. Alceste a perdu son procès, il souhaite quitter la société mais avant souhaite voir Célimène. Celui ci doit partir, il propose donc à Célimène de venir avec lui. Sachant que tout le monde est au courant que Célimène est une hypocrite, il pense la persuadé facilement « je veux bien, oublier vos forfaits »

écrite et jouée par Molière en 1668, expose les déboires sentimentaux d’un riche paysan marié à une noble sans fortune. Au début de l’acte II scène 2, George Dandin fait une leçon à Angélique mais elle est perturbée par les passages incessants de Clitandre qui la salue sans que George Dandin s’en rende compte. Ici on assiste à un vif échange entre les époux, chacun exposant son point de vue sur le mariage. D’abord, nous ferons le portrait de George Dandin, époux possessif et autoritaire puis celui

d’Alceste sur un poème qu’il vient d’écrire. Alceste lui dira que son poème est médiocre et Oronte s’en va, furieux. Acte 2 : Alceste réussit à demander un rendez-vous à Célimène mais il est interrompu par l’arrivée de deux marquis : Acaste et Clitandre. A la fin, il apprend qu’Oronte l’attaque en justice pour le faire changer d’avis, mais il refuse. Acte 3 : Arsinoé, qui est aussi amoureuse d’Alceste, se dispute avec Célimène. Comme elle est jalouse, elle donne à Alceste une lettre d’amour écrite

cruelle. Ses relations amoureuses ne sont qu'un jeu. 2 - L'amour : 2 hommes qui sont amoureux de la même et qui en quelque se défient pour prouver que chacun mérite plus Célimène que son rival. 3 - La vie à la cour : Représentée par Acaste et Clitandre. Ils ont une personnalité peu marquée et sont souvent ridicules. Ce sont deux marquis s'intéressent à la mode, à leur apparence physique, et se qui soucient de la façon dont le roi les voient.Ils s'occupent généralement des intrigues amoureuses

La Bruyère, Les Caractères, « De la cour » (19, 5) « Ne croirait-on pas de Cimon et de Clitandre qu’ils sont seuls chargés des détails de tout l’État, et que seuls aussi ils en doivent répondre ? L’un a du moins les affaires de terre, et l’autre les maritimes. Qui pourrait les représenter exprimerait l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité, saurait peindre le mouvement. On ne les a jamais vus assis, jamais fixes et arrêtés : qui même les a vus marcher ? On les voit courir, parler

« Ne croirait-on pas de Cimon et de Clitandre qu’ils sont seuls chargés des détails de tout l’État, et que seuls aussi ils en doivent répondre ? L’un a du moins les affaires de terre, et l’autre les maritimes. Qui pourrait les représenter exprimerait l’empressement, l’inquiétude, la curiosité, l’activité, saurait peindre le mouvement. On ne les a jamais vus assis, jamais fixes et arrêtés : qui même les a vus marcher ? On les voit courir, parler en courant, et vous interroger sans attendre de

bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 1634-35 une tragédie mythologique ("Médée"), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie historique — il fut le dernier des poètes dramatiques de sa génération à le faire —, donnant ainsi

l'oubli .Il s'est malgré tout inscrit dans son art par la grandeur des thèmes qu'il traite , par le réalisme des personnages qu'il met en scène et par la simplicité et la rigueur de son style poétique . Œuvres -Mélite en 1629 -Clitandre ou l'Innocence persécutée en 1631 -La Veuve en 1632 -Médée en 1634 -L ' Illusion comique en 1635 -Cid en 1637 -Horace 1640 -Cinna en 1641 -Rodogune en 1644 -Tite et Bérénice en 1670 -Suréna en 1674 Mots clés et citations >