Clitandre

qu’il rend alors ridicules. Intro après lecture: Ce texte est extrait d’une pièce de théâtre en alexandrin ayant pour thème les choix d’existences pour la femme et plus précisément le mariage. Henriette annonce qu’elle va se marier avec Clitandre , qui a été éconduit par Armande, l’ainée, auparavant. La jalousie d’Armande -qui semble honteuse à l’idée de devenir l’ainée non mariée- rend son discours ridicule car dicté par la jalousie et la colère. Elle devient donc un personnage de comédie

véritable moyen de communication. La strophe 4 érige les mains en un moyen de communication d’autant plus puissant qu’il est...   544 Mots | 3 Pages   Le misanthrope première apparition de Célimène. La jalousie d’Alceste s’exerce d’abord contre Clitandre ; justification de Célimène : elle doit le ménager pour son procès. Axe de l’explication : l’intérêt psychologique et scénique de l’expression de la jalousie. I La jalousie : moteur des réactions d’Alceste. Dès...   1998 Mots | 8 Pages   La rencontre

compréhension dans les discussions. Arsinoé : Amie de Célimène, mais rejoint la façon de penser d’Alceste, dont elle est amoureuse. Acaste : Marquis, prétendant de Célimène. Cherche sans cesse à prouver qu’il est le favoris de Célimène. Clitandre : Marquis, prétendant de Célimène. Cherche sans cesse à prouver qu’il est le favoris de Célimène. Basque : Valet de Célimène, il a un rôle informatif. Du bois : Valet d’Alceste, il a un rôle informatif. 4) Dans cette pièce, les personnages

esquissée par les Fêtes galantes est celle d'un paysage à la Watteau - parcs nocturnes hantés de statues, lieux de rendez-vous galants -, tandis que les noms des amants évoquent directement ceux des romans pastoraux du XVIIe siècle (Tircis, Aminte, Clitandre, Dorimène) ou ceux de la commedia dell'arte (Arlequin, Colombine, Pierrot, Scaramouche, Pulcinella). S'ouvrant sur des évocations joyeusement libertines, mettant en scène des abbés galants, des amants désespérés et des marquises cruelles («!trompeurs

rencontres |crème | | |impromptues entre personnages de romans pastoraux du XVIIè (Tircis, |Courbature | |Et l'Amour comblant tout, hormis |Aminte, Clitandre) ou de la Commedia dell'arte (Arlequin, Colombine, |Douleur musculaire due| |La faim, sorbets et confitures |Pierrot), dans un paysage clair-obscur. Même si le pavillon à claire |à un effort prolongé | |Nous préservent des

autre personnage, en général un parent. Cela se retrouve dans L'Avare (où l'idylle de Valère et Elise et celle entre Cléante et Mariane sont confrontées à l'avarice d'Harpagon) et dans Les Femmes Savantes, où le mariage prévu entre Henriette et Clitandre a pour obstacle Philaminte, qui a trouvé un époux ridicule pour Henriette). Le dénouement des comédies est généralement heureux pour les personnages, truffé de réconciliations ou de mariages, comme dans L'Ecole des Femmes où Agnès et Horace ont finalement

ou les fausses lettres, en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 par le célèbre acteur Mondory, fondateur du Théâtre du Marais, auquel Corneille confie toutes ses pièces jusqu'en 1647. Après ce premier succès Corneille donne, entre 1630 et 1633, Clitandre ou l'Innocence délivrée, puis La Veuve ou le Traître trahi, La Galerie du Palais ou l'Amie rivale, La Suivante, La Place Royale ou l'Amour extravagant. Tragi-comédies, ou comédies à l'espagnole, son succès le plus franc restera celui du " Cid ".

sont choqués par bien peu de choses. Dans Les Femmes savantes, comédie de mœurs notamment sur l'éducation des filles, les mariages de l’époque et les mœurs sont critiqués. Trissotin, faux savant est apprécié par les femmes de la famille alors que, Clitandre, amant d’Henriette est reconnu par les hommes. Le fait que la pièce soit une comédie délimite la fin heureuse de l’histoire. Dans Les Caractères, La Bruyère fait la satyre de la cour, de la noblesse, du clergé et même du Roi. Le conflit dans le

maison ne veulent d’autres loisirs qu’intellectuels, et le mari, Chrysale, essaie de faire valoir les besoins du corps. Mais la pièce permet là encore de nuancer cette opposition trop frontale, et propose à travers le couple central d’Henriette et Clitandre un modèle d’équilibre entre besoins du corps et besoins de l’esprit. Ainsi le dialogue permet de confronter des points de vue opposés ou divergents tandis que l’apologue n’illustre qu’une vérité statique. Le traité et l’essai ont quant à eux pour

jeune homme fleuri, vif, enjoué, spirituel.” D / “De la cour” - Satire de la cour de Louis XIV, société superficielle et impitoyable où les destinées sont soumises aux hasards et où le destin d’un favori peut être brisé soudainement • Cimon et Clitandre les politiciens : “Ils ne viennent d’aucun endroit, ils ne vont nulle part. […] Leur profession est d’être vu et revus.” • Ménophile le dissimulateur : “Il parait à la cour, à la ville, ailleurs.” - déguisé • Timante l’ancien favori : “Sans rien