Clitandre

Corneille fait rire sans personnage comique ; c’est un nouveau genre dans lequel les spectateurs se reconnaissent, il plante un décor d’un Paris contemporain. Corneille cherche le naturel. Le XVIIème lie le naturel et les anciens. Tragi-comédie : Clitandre (adopte la règle des 24h) Tragédie : Médée 1635-1639 : les règles se mettent petits a petit en place en opposition a ce qui caractérise le théâtre baroque. Le Cid (tragédie) et l’Illusion Comique ont presque été écrites en même temps.

(Mots-clés). Exemple : La composition des Femmes savantes (1672), de Molière, résumée par rapport aux actions des personnages, est la suivante : I. Armande contre Henriette ; II. Philaminte contre Chrysale ; III. Trissotin contre Vadius ; IV. Clitandre contre Trissotin ; V. Déroute de Trissotin. Une scène : Partie d'un acte ou d'un tableau au cours de laquelle le plateau est occupé par les mêmes personnages. Un tableau : Partie d'un acte caractérisée par un changement de décor, donc de lieu.

de droit, occupa des offices d'avocat à Rouen tout en se tournant vers la littérature, comme bon nombre de diplômés en droit de son temps. Il écrivit d'abord des comédies comme Mélite, La Place royale, L'Illusion comique, et des tragi-comédies Clitandre (vers 1630) et en 1637, Le Cid, qui fut un triomphe, malgré les critiques de ses rivaux et des théoriciens. Il avait aussi donné dès 163435 une tragédie mythologique (Médée), mais ce n'est qu'en 1640 qu'il se lança dans la voie de la tragédie

sont solitaires. Cependant, il y a un lien entre ces quatres personnages. Tout d’abord, ce sont tous des acteurs de la commedia donc cela et normal qu’il y est un rapport qu’il l’est réunissent.Pierrot lui est triste, seul car il ‘n’a rien d’un Clitandre’ (vers 1) et donc ne peux pas arriver à charmer Colombine dont il est follement amoureux… C’est la relation qu’il y a entre ces des personnage là. Pierrot un triste homme timide ayant peur de charmer une jeune femme épanouie et qui rêve d’un grand

commodités de la conversation ; miroir > le conseiller des grâces). Dans la pièce, c’est Armande et sa mère (Philaminte) qui représentent les Précieuses. Henriette se situe à l’extrême opposé. Pièce repose sur le mariage contrarié d’Henriette, aimée de Clitandre mais promise à Trissotin qui se dit « bel esprit » et « précieux ». L’extrait prend place dans la scène d’exposition. 2) Lecture du texte + hypothèses de lecture 3) Lecture des pistes d’étude : Vous rédigerez le commentaire du texte de Molière

de Corneille. Avec les pièces suivantes jouées au théâtre du Marais , apparaît un nouveau style de théâtre où les sentiments sont mis en scène pour la première fois dans un univers plausible, celui de la société contemporaine. Comme par exemple Clitandre c'est la deuxième pièce de théâtre de Pierre Corneille écrite en 1630. La pièce est dédiée au duc de Longueville qui aida les débuts du jeune Corneille. En 1633, sur l'invitation de l'archevêque de Rouen François Harlay de Champvallon, il écrit

l’un  des  ingrédients  essentiels  du  comique  de  langage.  Le  quiproquo  est toujours fondé, au départ, sur une réplique équivoque, ambiguë. Le quiproquo peut être le fait d’un seul personnage (cf. Bélise face à la demande de Clitandre) ou de deux. L’art du dramaturge est de permettre au malentendu  initial de se prolonger  sur  plusieurs  répliques. Connaître  les  plus  célèbres  quiproquos  des pièces  de  Molière.  (cf.  Harpagon  et  Valère  dans  l’Avare

paraître, où les comportements frisent la parodie. d) Qui ? Alceste, amant de Célimène Philinte, ami d'Alceste Oronte, amant de Célimène Célimène, amante d'Alceste Éliante, cousine de Célimène Arsinoé, amie de Célimène Acaste, Clitandre, marquis Basque, valet de Célimène Un garde de la maréchaussée de France Du Bois, valet d'Alceste 5°) Protagoniste(s) a) Alceste, idéaliste, prétend se comporter sans hypocrisie. Il clame son intransigeance face au pouvoir et à ses

deux échec : « Surena » tragédie et « Pulchérie ». Pierre Corneille meurt le 1er octobre 1684 à Paris, il a écrit en tout 17 tragédie. Bibliographie de Pierre Corneille Ces œuvres et leur date de création: Mélide en 1629 Clitandre ou l'Innocence persécutée en 1631 La veuve en 1632 La Galerie du Palais en 1633 La suivante en 1634 La Place royale en 1634 Médée en 1635 L'Illusion comique en 1636 Le Cid en 1636 Horace en 1640 Cinna ou la Clémence

personnages de cette pièce sont représentatifs de la tragédie, car ce ne sont pas de valets, comme Scapin (Les fourberies de Scapin) ou de petits bourgeois comme M. Jourdain (Le Bourgeois gentilhomme). Il s’agit de petits marquis (par exemple: Clitandre et Acaste), qui représentent la Cour. On apprend par Alceste qu’Oronte est à la cour, « le nom que dans la cour vous avez d’honnête homme » (v. 370). Oronte le dis lui-même, « On sait qu’auprès du roi je fais quelque figure… » (v. 290-291). On apprend