Clonazépam

Prévention de l’auto-médication * Pour les douleurs : privilégier le paracétamol * Benzodiazépines * A durée d’action intermédiaire: alprazolam(Xanax), bromazépam(Lexotan), lorazépam(Temesta) * A longue durée d’action: clonazépam(Rivotril), flunitrazépam(Rohypnol) * Risque de dépression respiratoire, d’hypotonie, d’hyporéflexie, d’hypothermie, et de manifestations de sevrage chez le nouveau-né * Si nécessaire, préférer BZD à courte durée d’action :

CEREBRALE OU SCANNER. TRAITEMENTS DE L’EPILEPSIE Lors d’une crise tonicoclonique généralisée (état de mal ou « grand mal »),on fait appel au traite- ment intraveineux (direct en perfusion) de : CLONAZEPAM (RIVOTRIL) chez le sujet âgé et l’insuffisant respiratoire on donnera demi – dose. Le Valium est beaucoup moins d’actualité sauf chez les enfants en intra rectal. On surveillera le surdosage , facteur aggravant de coma ou de confusion post-critique

topalgic, ixprim…) c. Palier 3 : opioïdes forts (morphine, actiskenan, moscontin, skenan, durogésic). 2. Douleurs neurogènes. a. Antidépresseurs : tricycliques (laxoryl), clomipramine (anafranil). b. antiépileptiques : carbamazépine (tégrétol), clonazépam (rivotril), gabapentine (neurotin). 3. Douleurs psychogènes. Elles sont traitées par le recours à des psychotropes et à la psychothérapie. La prise en charge des douleurs se fait au mieux d’une manière multimodale. Des centres spécialisées de

| | |Clonazépam | | |Rivotril

Traitement des Intoxications aigues par les Organochlorés Décontamination cutanée soigneuse a l’eau légèrement savonneuse Mesures de réanimation symptomatiques : intubation/ventilation assistée, oxygénothérapie, diazépam ou clonazepam IV Les amines sympathomimétiques sont contre-indiquées car favorisent l’apparition des troubles de l’excitabilité myocardique (extrasystoles ou fibrillation ventriculaires) La cholestiramine pour interrompre le cycle entérohépatique et augmenter

antalgiques Parfois appelés "co-antalgiques", ces médicaments, dont l'indication principale n'est pas le traitement de la douleur, peuvent être utilisés dans certains types de douleurs : - Anti-épileptiques, notamment carbamazépine (Tégrétol®) et clonazépam (Rivotril®) pour les douleurs d'origine neurologique (ex. névralgie du trijumeau). - Antidépresseurs tricycliques (ex. Anafranil®, Tofranil®), également pour les douleurs neurogènes. - Corticoïdes dans les douleurs inflammatoires. - Antispasmodiques

injection SC directe plutôt qu'une administration continue. Problème d'interaction avec les plastiques, si PSCC, changer tubulures ttes les 4h. Hors AMM* SC directe après reconstitution, ou bien dilué dans 100cc de G 5% en 30 minutes RIVOTRIL clonazepam ANTI EPILETIQUE SCD Anxiété, convulsions, troubles du sommeil, douleurs neuropathiques. 0,25 à 0,50 mg/inj à renouveler 4 à 6 fois par 24h, on peut aller usqu'à 1 à 4 mg/j voire 8 mg/j dans l'agitation terminale ROCEPHINE ceftriaxone ANTIBIOTIQUE

Locus coeruleus Noyau dorsal du vague Cortex • Plusieurs maladies ? DLB Corps de L ewy (dans la substance noire) Corps de L ewy (dans le cortex, anti-synucléine) T raitement • Anticholinestérasiques • L Dopa • Antidépresseurs, buspirone, clonazépam • Prise en charge globale L es démences vasculaires 8 sous types • Type 1 : démence multi infarct • Type 2 : démence par infarctus stratégique • Type 3 : infarctus lacunaires sous corticaux, multiples, en rapport avec l’occlusion de petits vaisseaux

non stéroïdiens. Les traitements médicamenteux de première intention sont d’action cen- 37 trale : antidépresseurs tricycliques (amitriptyline, clomipramine) pour la douleur quelle que soit son type,et les antiépileptiques (carbamazépine, clonazepam, valproate de sodium) pour la composante fulgurante. De même, on proposera des techniques de neurostimulation et on récusera les techniques anesthésiologiques ou neurochirurgicales de section. Ces dernières sont d’ailleurs parfaitement contre-indiquées

thérapeutiques. Tableau 2 Traitement étiologique des troubles du sommeil Apnée du sommeil lutte contre l’obésité élimination de l’obstruction naso-pharyngée application de pression positive d’air par le nez clonazépam, lévodopa/carbidopa hygiène du sommeil, photothérapie l’après-midi Clonazépam traitement de l’affection sous-jacente traitement de l’affection sous-jacente rationalisation de la pharmacothérapie éviter les benzodiazépines administration de neuroleptiques, si nécessaire Mouvements