Club des Feuillants

des loges, bien que lui aussi élitiste, est-il un peu plus ouvert que celui des académies. Doc. 5 : Le recrutement des académies et des loges maçonniques DOSSIER - La diffusion des idées des Lumières (p. 170-171) Doc. 1 : Le club de l’Entresol Dans sa description du club de l’Entresol, le marquis d’Argenson présente une sorte de raccourci de la sociabilité des Lumières. Celle-ci s’inscrit dans un cadre confortable, qu’assurent « toutes sortes de commodités ». Elle permet l’expression du raisonnement

défilés, souvent scandaleux, de députations à la barre. Elle ne voulut pas davantage fermer les clubs, les sociétés populaires qui étaient le levain de la Révolution. Elle-même avait pour centre le club des Jacobins d'où partait toute sa politique : ceux qui se sépareront de cette cellule-mère, les Feuillants, les Girondins, seront isolés, puis écrasés. La majorité avait besoin de la rue : elle laissa toujours des possibilités à l'émeute. La garde nationale, confiée à La Fayette, avait été fondée pour

défilés, souvent scandaleux, de députations à la barre. Elle ne voulut pas davantage fermer les clubs, les sociétés populaires qui étaient le levain de la Révolution. Elle-même avait pour centre le club des Jacobins d'où partait toute sa politique : ceux qui se sépareront de cette cellule-mère, les Feuillants, les Girondins, seront isolés, puis écrasés. La majorité avait besoin de la rue : elle laissa toujours des possibilités à l'émeute. La garde nationale, confiée à La Fayette, avait été fondée pour

deux moments de gloire : - au début de la Vème République pendant la crise politique qui touchait la France. - après le 10 mai 1981 (élection de François Mitterrand) se constituent surtout à droite de nombreux clubs. On citera par exemple le club 89 [aujourd’hui rebaptisé « horizon 89 » et notamment dirigé par Mme Dounot.] Existent aussi les groupes de pression. Ce sont les fameux lobbies très développés dans les pays anglo-saxons où ils sont officialisés. En Europe occidentale ces groupes

la faute de son Maître. Empruntons l'un des escaliers latéraux qui permettent de rejoindre le jardin des Tuileries) contournons la pièce d'eau circulaire et dirigeons-nous vers la station de métro Tuileries. C'est là. au pied de la Terrasse des Feuillants, que nous trouverons le monument à la mémoire de Jules Ferry, président du Conseil et initié en 1875 à la loge « La Clémente Amitié » à l'Orient de Paris. Le piédestal cubique de l'æuvre du sculpteur Gustave Michel est orné, aux angles, des sempiternels

classique Chapitre 8 - De la rigueur avant toute chose Enfin Malherbe vint… Les récréations dans la cour Le grand ménage Les bons élèves François Maynard : d’excellents résultats Honorat de Racan, la voix de son maître Le temps des académistes Le club de Richelieu Vaugelas verrouille les tours Balzac, le grand épistolier Descartes : le moi doute des idées Une nuit au poêle en Allemagne Son discours de l’âme étonne Chapitre 9 - Le goût de la démesure Le fiévreux, le généreux baroque Mathurin Régnier

Chapitre 8 - De la rigueur avant toute chose Enfin Malherbe vint… Les récréations dans la cour Le grand ménage Les bons élèves François Maynard : d’excellents résultats Honorat de Racan, la voix de son maître Le temps des académistes Le club de Richelieu Vaugelas verrouille les tours Balzac, le grand épistolier Descartes : le moi doute des idées Une nuit au poêle en Allemagne Son discours de l’âme étonne Chapitre 9 - Le goût de la démesure Le fiévreux, le généreux baroque Mathurin

plan. Ils n’ont pas le droit de vote mais participent activement à cette fête révolutionnaire qui se déroule dans les villages comme dans les quartiers des villes. Question 2 : La scène représente l’affrontement oral entre plusieurs orateurs du Club des Jacobins. L’organisation de la salle semble « singer » celle d’une assemblée comme la Chambre des Communes. Hormis des symboles révolutionnaires au-dessus de la tribune, on ne note aucun ornement mais la présence étrange d’un poêle au milieu

en trois camps, et non trois partis : la droite, formé d’abord des membres du clud des Feuillants, monarchistes constitutionnels ( La Fayette, Duport, Barnave, Sieyès ) puis des Girondins, grands bourgeois partisans d’une république libérale censitaire ( Brissot, Condorcet, Isnard, Pétion, Roland, Vergniaud ), le Centre et la Gauche, formée de membres du club des Jacobins ( Barras, Fouché, Robespierre ) et du club des Cordeliers ( Marat, Hébert ). Sur les grandes questions du moment, le Centre apporta