Club des Feuillants

infamantes et obscènes. La personne du roi n'a plus rien de sacré après cet épisode, qui fait considérer définitivement le pouvoir comme la résultante d'un rapport de forces. Le mouvement républicain : Jacobins et Feuillants Cette fermentation est aggravée par l'agitation sociale entretenue par le club révolutionnaire des Cordeliers, qui accepte en son sein des citoyens « passifs » désireux de jouer un rôle politique. Les tensions culminent le 17 juillet 1791, lorsqu'une manifestation contre la personne

des députés qui ont pris l’habitude de se réunir dans des clubs politiques qui se réunissent dans des couvents confisqués lors de la révolution comme le célèbre club des jacobins qui se réunit au couvent jacobins. Les plus modérés d’entre eux conduit par Lafayette se réuniront dans le couvent des feuillants. A l’opposé on trouve le club des girondins qui tiennent leur nom du fait que nombres de ses députés sont originaire de la gironde. L’attitude du roi  Elle conduit aussi à l’échec de cette

savent manier l’opinion publique. Ils s’expriment beaucoup au sein des clubs. On a le club des jacobins fondé à Versailles qui déménagent rue saint honoré, dans l’ancien couvent des saint dominicain qui étaient appelés Jacobins. Les jacobins sont extrêmement puissants car, très vite, des ramifications en province ont été créées. Le club se radicalise après la fuite de LXVI. A côté des Jacobins va se créer un autre club en mai 1790 qui est constitué de personnes qui n’étaient pas satisfaites de la modération

III). Petit à petit la droite de la Convention se renforce et la réaction ne cesse de s'amplifier. Le 16 octobre un décret de la Convention détache le club des Jacobins de ses filiales et interdit aux sociétés populaires de se confédérer. Le 9 novembre le club des Jacobins est attaqué par les muscadins, le 12 novembre (22 brumaire an III) le club était fermé sur ordre de la Convention. Le 2 décembre (12 frimaire an III) une habile amnistie était offerte à la Vendée. Pour donner le change, les Thermidoriens

sociétés de pensé : les 35 académies de province ou il y a des débats , des concours littéraire les salons qui sont des phénomènes parisiens organiser par des femmes, on y discute il y la noblesse libérale et la bourgeoisie -les clubs parisiens : ex le club de Valois diriger par le Duc d'Orléans, la société de l'avis de noirs mené par Lafayette, -loges fromaçconique : secrètes, orienter vers la réflexion et contribue à défendre les valeurs des Lumières Les mutations de la culture populaires

mais elle est très puissante dans les clubs. Il y a 2 clubs principaux. Le club des jacobins qui s'est constitué en 1789 : il est assez modéré et il est favorable à une monarchie limitée. L'opinion des jacobins se radicalisent au moment de la fuite du roi. On y trouve des gens du gouvernement : c'est un club bourgeois avec des règles (politesses, …) : Robespierre. Ce club permettait à l'extrême gauche de s'exprimer. Ce club est puissant car tous les patriotes de paris font partie de ces clubs. Il

(1789 - 1799). La France, qui est alors le pays le plus peuplé d'Europe, connaît, pendant près de quatre-vingts ans, la paix intérieure et la prospérité économique. A mesure que l'esprit philosophique se développe, dans les salons, les cafés ou les club, l'autorité monarchique se dissout, sapée par des tentatives de réformes sans lendemain, comme par l'opposition aristocratique. Forte de sa puissance financière, la bourgeoisie d'affaires manifeste son désir d'annexer le pouvoir politique, ambition

réclamer la mise en accusation du roi et l’instauration d’une république[27]en déposant une pétition au Champ-de-Mars. Cette pétition antilégaliste fournit, le 16  juillet  1791, un prétexte aux bourgeois libéraux pour rompre avec le club des Jacobins et fonder celui des Feuillants dont ils prennent le nom [28]. Le lendemain 17 juillet , à la suite d’incidents, la loi martiale est décrétée par la municipalité, néanmoins, les patriotes manifestant malgré tout, la tentative de maintien de l’ordre commandée

nation américaine par l'intermédiaire de ses principaux hommes politiques que sont George Washington et Benjamin Franklin) Les Girondins avec Brissot, les Montagnards avec Marat et Desmoulins, les Feuillants avec LaFayette et la Plaine avec Boissy d'Anglas et Cambacérès verront des frères dans leur club. Sous la Terreur et le Premier Empire la franc-maçonnerie aura peu d'influence. Cependant elle connait un renouveau pendant les trois Glorieuses et jusqu'en 1848. En effet de nombreux francs-maçons

« Vive le Roi, vive la Nation ». Le 1er octobre se réunir la nouvelle assemblée. Les Députés ont été élus au suffrage censitaire : ceux sont tous des Hommes nouveaux sans expérience. On distingue plusieurs groupes : à Droite, les Feuillants (du nom du club où ils se réunissent) : programme : stricte application de la Constitution de 1791 à Gauche, les Girondins (car Députés de la Gironde) : ils se situent à gauche toute ; mais, à l’Assemblée suivante ils sont à Droite ils sont enthousiastes