Cocuage

personnage comique ou est-il un personnage tragique ? Dans un premier temps nous allons voir le coté comique du personnage puis dans un deuxième temps sont coté tragique.   Arnolphe est hanté par la crainte d’être cocu. Pour échapper aux misères du cocuage, il a décidé d’épouser Agès, recueillie dès l’âge de 4 ans et qu’il a pris soin d’élever dans une complète ignorance des réalités de l’amour et du monde qui caractérise le comique de caractère du personnage. Il y a un autre comique de caractère dans

le mariage forcé, le manque d'éducation donnée aux femmes et leur soumission passant de l'autorité du père à celle du mari, sujets modernes et controversées au 17ème siècle. Molière y raconte l'histoire d'Arnolphe, vieillard obsédé par la peur du cocuage, tuteur de sa future épouse Agnès qu'il élève et modèle à son goût : naïve, sotte, ingénue et innocente. Malgré tous ces efforts pour la garder à l'écart du monde Agnès fait une rencontre. Arnolphe vient de le découvrir et le prrétendant, Horace,

bas et grossier. Le personnage de la pièce, L’école des femmes qui semble venir de cet univers semble être Arnolphe. La farce est présente dans la pièce avec par exemple les textes satiriques de Molière sur l’éducation des femmes ou encore sur le cocuage.

parlé de sa hantise du cocuage et à cette époque, l'avis de Chrysalde paraissait alors le même que celui ci-dessus. Celui-ci a donc pour but de faire comprendre à Arnolphe, que, même si il « devine à peu près quel est son supplice », « le sort en cela ne vous est que propice ». Ce qui veut dire que cette leçon, bien qu'elle puisse lui être un supplice, lui est en fait favorable puisqu'il pourra enfin comprendre que ce n'est pas la peine de se marier si on redoute tant le cocuage. Chrysalde paraît

découvrir l’amour après avoir tout fait pour l’étouffer. Trois visages d’Arnolphe se superposent : • Le barbon jaloux, figure du ridicule. • L’homme qui tombe éperdument amoureux et souffre profondément. • Le monomaniaque, obsédé par le cocuage, monomaniaque utopiste qui veut, contre tout et tous affirmer que son système est le bon Mais ce type comique du barbon ridicule va bien au-delà du stéréotype et possède déjà dans ses différentes facettes une psychologie complexe loin du personnage

l’école des femmes.) Exploitation par Molière du motif / Ar de la farce : dialogue avec confrontation entre naïveté et sévérité.( 571-581) Hésitations d’Agnès portent à confusion : grivoiserie implicite qui vient de l’obsession d’Arnolphe ( cocuage) vers 573. Quiproquo 1 : sur le plan de la théâtralité, le public ne connaît pas l’épisode raconté par Agnès, régit dans le sens d’Arnolphe, mais lorsqu’il découvre la vérité en même temps qu’Arnolphe, peut accuser l’auteur de lui avoir insufflé

autrement M.de la souche : Arnolphe à décider de changer de nom car il trouvait que de la souche fessait plus aristocratique. Trois visages d’Arnolphe : l’homme jaloux, figure du ridicule. L’homme qui tombe amoureux et souffre et l’homme obséder par le cocuage qui veut a tous pris avoir raison.

que pour la dépendance" et qui doit faire preuve de "docilité", "obéissance", "humilité" envers "son mari, son chef, son seigneur et son maître" (acte III - scène 2). Arnolphe a en fait une peur fondamentale de la femme qui provoque l'obsession du cocuage. Il veut se prémunir de tout risque d'infidélité. Sa stratégie est aberrante et il la croit sans faille. Il veut épouser sa pupille qu'il a façonnée comme un objet. Cette extravagance repose en fait sur des présupposés idéologiques anciens : puisque

Angléique, Cléante, Béralde, Toinette. Sujet : Cette ultime comédie de Molière est à la fois une satire du monde des médecins et l'étude du cas moral posé par un respectable bourgeois, Argan, qui s'imagine être un grand malade. Après l'obsession du cocuage avec Arnolphe (L'École des femmes), l'obsession de la dévotion avec Orgon (Le Tartuffe), ou de l'argent avec Harpagon (L'Avare), voici celle de la maladie et des médecins avec Argan. Les extravagances de ces maniaques pourraient n'être que dérisoires

l’éducation des femmes. La comédie donne finalement raison à Ariste, qui fait le choix d’élever librement sa pupille et de l’ouvrir à l’école du monde, contre Sganarelle qui, comme Arnolphe, est convaincu que le seul moyen de se mettre à l’abri du cocuage est d’enfermer sa femme dans la sottise et l’ignorance. Dans L’Ecole des femmes, le personnage de Chrysalde n’est pas impliqué dans une intrigue parallèle à celle d’Arnolphe. La pièce ne se constitue pas en laboratoire où deux expériences se dérouleraient