Cocuage

fait se faisaient par l’oreille. » là encore on nous prouve une certaine stupidité et naïveté de la part d’Agnès. Tous ces éléments font que l’innocence d’Agnès et sa stupidité pourrait être bénéfique au problème d’Arnolphe qui nous rappelons est le cocuage. Conclusion :

cocu, serait qu’elle soit sotte et soumise. 2. Quelles peurs cache ce mépris des Femmes intelligentes ? Arnophe a peur, honte de son propre amour, pour lui les femmes intelligentes « est un mauvais présage », si il est victime d’un acte de cocuage, il se rend donc puérile, ridicule et inférieur. Il a une peur extrême de l’humiliation « Epouser une sotte est pour n’être point sot » c’est-à-dire, ici, pour n’être point cocu qu’il épouse une innocente. Vers 113-116 « Une femme d’esprit peut trahir

principaux pour dénoncer un caractère de société qui est la jalousie. Arnolphe élève Agnès dans l’ignorance pour sois disons la préservée des perversités de la société et se marier avec elle par la suite, mais la naïveté de cette dernière la mène vers le cocuage avec un certain Horace. Le quiproquo entre Arnolphe et Horace constitue tout le comique de la scène 6de l’acte IV qui nous est été proposé. En effet Horace se confie à Arnolphe et avoue ses plans avec Agnès sans qu’il sache que celui-ci est finalement

contexte, émouvoir, prend ici des allures de farce tant le personnage est ridicule et antipathique - comique de la situation dans lequel Arnolphe est pris : au début, fait des gorges chaudes sur les maris trompés, se pose en « spécialiste du cocuage » croyant savoir les précautions à prendre pour ne pas être cocu, mais... retournement de situation ! Lui qui voulait ravaler Agnès à un rôle végétatif et soumis devra se ravaler lui-même au rang de mari soumis et complaisant, faire des concessions

corps des femmes, À votre nez et barbe, aura l'air moins infâme !Et vous peut-être un jour, à mes genoux serez,Car de mon cher métier, c'est vous qui dépendrez...Croyez-vous. L ’école des femmes de molière est une pièce de théatre qui traite du cocuage; nous allons étudier Agnès dans son évolution remarquable et rapide de la jeune gourde à la femme émancipée. Explicable certes par sa naissance qui l’a dotée d’intelligence, par son absence d’éducation qui a maintenu jusque là son intelligence

avec les précieuses précédemment critiquées par le dramaturge pour dénoncer la condition féminine. L’Ecole des femmes met en scène la libération par l’amour d’une jeune fille, enfermée depuis son enfance par un barbon, Arnolphe pour prévenir du cocuage qu’il redoute La scène 3 de l’acte V s’inscrit dans le dénouement de la pièce Cette scène présente la versatilité du personnage d’Arnolphe et l’affirmation du caractère d’Agnès. Arnolphe tente désespérément de convaincre Agnès de l’épouser. Enjeux

développant toutes ses virtualités. c) Sur le problème traité. S'il n'y a pas de thèse à proprement parler, un problème très sérieux fait l'objet de la pièce : le problème du mariage, problème pratique qui a hanté Molière. Plus précisément le thème du cocuage, sa probabilité lorsque l'écart de l'âge est trop grand entre les époux. Mais ici cas un peu particulier de ce thème, l'épouse élevée en vase clos, qui pose des questions plus générales : jusqu'à quel point peuton forcer la nature, brider l'instinct

tromperie, les femmes ne sont motivées que par le fait de séduire « coqueter ». Arnolphe a une image totalement négative des femmes, et les généralise : elles sont toutes pareilles « légères ». De plus toutes ses pensées se rapportent à sa peur du cocuage, il a une vision fataliste de l’amour et ne sait pas ce que c’est. Pour lui les femmes sont des êtres intéressés par l’argent, manipulateurs et infidèles, c’est pour cela qu’il veut garder Agnès dans l’innocence. On peut aussi remarquer qu’il n’utilise

Molière présente une comédie-ballet, Le Mariage forcé, dans laquelle il reprend son personnage de Sganarelle — un vieux Sganarelle à qui vient subitement le désir de se marier et qui entreprend une quête à la Panurge pour savoir s'il est promis au cocuage — et où le roi danse, costumé en Égyptien. On conçoit que cette satire de la dévotion ait plu au roi, excédé par les admonestations des dévots à l'égard de sa conduite et, en particulier de ses amours adultères. Il entreprit alors de remanier sa

les effets pour plaire au parterre. Les écrivains reprochent à la composition de la pièce de ne pas respecter les maximes d'Aristote. Les mondains, que Molière ne s'était encore guère soucié de ménager, sont choqués de la vulgarité du thème, le « cocuage ». Les cercles religieux les plus austères s'indignent du laxisme moral. Pour répondre à ses adversaires, il compose en 1663 deux comédies de salon : « La Critique de L'Ecole des Femmes » et « L'Impromptu de Versailles ». En 1664, Molière écrit Tartuffe