Cocuage

Angélique à Thomas Diafoirus pour avoir un gendre médecin, Philinthe, la femme savante qui usurpe le rôle de chef de famille, veut marier Henriette à Trissotin. La fille mal mariée trompera son mari, car le mariage mal assorti mène inévitablement au cocuage. Les comédies de Molière prennent la défense de l’amour et des enfants opprimée par leurs parents. En conclusion, bien que l’œuvre de Molière, Tartuffe, soit une comédie théâtrale magnifiquement écrite, accompagnée d’un humour très développé, cette

Représentée un an après L'École des maris, pièce à laquelle son titre semble faire écho, L'École des femmes lui fut évidemment comparée, d'autant plus que les deux pièces présentent une intrigue similaire (un mari jaloux qui tente de se préserver du cocuage, thème déjà abordé par Molière dans La Jalousie du barbouillé et dans Le Cocu imaginaire.) Évaluant les mérites de l'une et de l'autre pièce, les détracteurs de Molière suggérèrent que la seconde n'était qu'une redite moins convaincante de la première

en moins valorisantes : « prier Dieu, m’aimer, coudre et filer ». Elles doivent donc s’effacer et être soumise (à Dieu et à leur époux). Finalement, Arnolphe apparaît comme naïf et prétentieux, il fait un lien entre l’éducation des femmes et le cocuage et se montre extrêmement sûr de ce qu’il avance (« je crois », « je sais », « moi », « je ne veux point », « je prétends », « je veux »). Ces formules insistent sur son caractère autoritaire, à l’image de la religion chrétienne à l’époque. Au vers

personne qui est totalement fragilisé, submergé par ses sentiments, on est loin du personnage fort et autoritaire du début. Face à  cet Horace rayonnant, le ridicule d’Arnolphe est renforcé. Lui qui ne cherchait en Agnès qu’une « assurance contre le cocuage » au mépris de sa vie et de sa liberté à elle, se révèle terrassé par l’Amour auquel ce « Pygmalion diabolique » est obligé, malgré lui,  de céder la première place. Ce monologue nous révèle d’autant plus le grand gagnant de cet extrait qui est bien

B : ne pas oublier la formule de politesse et la signature.Quelques pistes pour écrire votre lettre : -rappeler l’avis d’Arnolphe sur les maris et les femmes-insister sur son aigreur -rappeler son avis sur les femmes intelligentes/ sottes -peur du cocuage, folie, comportement tyrannique

séducteur et calculateur pour lequel Arnolphe voudrait le faire passer aux yeux d’Agnès. b) Arnolphe ridiculisé Face à cet Horace rayonnant, le ridicule d’Arnolphe est renforcé. Lui qui ne cherchait en Agnès qu’une « assurance contre le cocuage » au mépris de sa vie et de sa liberté à elle, se révèle terrassé par l’Amour auquel ce « Pygmalion diabolique » est obligé, malgré lui, de céder la première place. c) La victoire définitive de l’amour Le grand victorieux de cet extrait est

dans la chambre d’Agnès par la fenêtre. 1182 1215 7 Dans la journée Devant le logis d’Agnès Arnolphe 1216 1324 8 Dans la journée Devant le logis d’Agnès Chrysalde, Arnolphe Chrysalde essai de le réconcilier en expliquant le cocuage 1325 1351 9 Dans la journée Devant le logis d’Agnès Arnolphe, Alain, Georgette Arnolphe dit à Georgette et a Alain qu’Horace va faire une embuscade et qu’il faut l’empêcher. 1354 165 Acte V 1 A tombé de la nuit Devant la

comédie. Mais Jean Baptiste Polequin connu sous le pseudonyme de Molière écrit la première grande comédie classique, L’École des femmes (1660-1685). Dans l’extrait de tirade, à la scène 2 de l’acte III, Arnolphe, un riche bourgeois, obsédé par le cocuage, inculque à Agnès, sa pupille et future épouse, sa vision du mariage. D’abord en lui démontrant la chance qu’elle a de le marier, puis en lui imposant sa perception du rôle des époux dans le mariage et finalement en utilisant le principe de péché

la jeune fille pour se préserver du cocuage. Pourtant Agnès et Horace tombe amoureux L'intrigue amoureuse: Arnolphe se découvre amoureux d'Agnès, or celle-ci ne l'aime pas. La confidence imprudente: Horace confie son amour à Arnolphe ne sachant quil est aussi M. de la souche. IV- Les personnages principaux * Arnolphe est un bourgeois riche de quarante ans, un homme jaloux, à un tel point qu'il est la figure de ridicule avec son obsession de cocuage. C'est un être ridicule, qui souffre

et l'éducation qu'elles doivent avoir reçu. (V.26-27)« Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme, il est obsédé par la crainte du cocuage. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme lorsqu'il se mari : l'infidélité des femmes. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut) . En revanche Chrysalde essaye de détourner