Codon

cytoplasme L’ARNm : Copie des instructions génétiques. L’ARNe : ARN de transport traduit en language des acides aminé (Codon) Pour l’ARN il existe 4 lettre : A, G, C et U Les bases azotées constituant le codon se lisent de 5’ à 3’.

signal de terminaison de la transcription en aval de la séquence clonée  Un site de fixation au ribosome en aval du start site de la transcription NB: la force de fixation au ribosome → ?  La séquence d’ADN clonée doit avoir un codon d’initiation AUG au début et un codon de terminaison à la fin (ORF) III- SYSTEMES D’EXPRESSION EUCARYOTES  Bien que de nombreuses protéines eucaryotes puissent être exprimés avec succès ds des systèmes bactériens →certaines protéines exprimées sont instables ou biologiquement

ppm. Ce résultat était -il prévisible ? Pourquoi ?La taille en octet du fichier « .ppm » est trois fois supérieur à celle du fichier « .pbm ». Cela est normal car sur le fichier « .ppm » nous codons chaque pixel sur trois octets : trois couleurs (Rouge, Vert et Bleu) alors que sur le fichier « .pbm » nous codons chaque pixel sur un octet : une couleur.Ouvrez le fichier avec le bloc-note, et regardez la suite des 255 et des 0.Question 11Pourquoi a-t-on maintenant des groupes de trois 0 à la suite ?On

aminés dans l'ordre donné par l'ARN messager. 3 nucléotides de l'ARN messager (codon) correspond à 1 acide aminé. Cette correspondance est donnée par le code génétique. Ce dernier est universelle car il est valable chez tout les êtres vivants mais également redondant car plusieurs codons de l'ARN messager peuvent désigner 1 même acide aminé. La lecture commence toujours par un codon d'initiation et se termine par un codon stop. La chaîne d'acide aminé ainsi constitué est appelé protéine. Chapitre

référencement de la séquence est : NM_002880.4Ensuite est chercher la partie codante du génome avec Orffinder qui fournit aussi d’autres informations. Sur le brin sens, le cadre de lecture commence à partir du deuxième nucléotide. Le codon start est au nucléotide 332 et celui stop au nucléotide 2278. La taille de la séquence codante est donc de 1947 nucléotides (Annexe 2) correspondant à 648 acides aminés.En complément, il faut s’assurer avec l’outils NEBcutter que les enzymes de restriction

Les (ET) peuvent apporter de nouveaux gènes à la bactérie impliqués dans : - la résistance aux antibiotiques ou la virulence ou le métabolisme, dans le cas des Tn, - la transcription (promoteurs, terminateurs) ou la traduction (codon d’initiation, codon stop…) Ils affectent, donc, l’expression génétique  - Négativement lorsqu’ils s’insèrent dans le gène codant (mutation polaire) ou dans une séquence régulatrice positive en inactivant la protéine régulatrice et en modifiant la topologie

structure et à la fonction de la protéine, la conséquence sera plus ou moins importante. Une mutation non-sens : Apparition d’un codon-stop et formation d’une protéine écourtée, souvent non fonctionnelle. Les mutations par addition ou délétion : Elles sont décalantes et modifient ainsi profondément la séquence des acides aminés issus de la traduction. Souvent un codon-stop apparait. Les conséquences des mutations sont variables les mutations vont avoir une conséquence sur le phénotype, car

G, C, U 3 formes ARNt/ ARNr / ARNm se forment sur l’ADN è transcription Transcription : ADN se divise, 1 chaine sert de matrice pr synthèse ARN Chaque triplet = codon ARN quitte le nx ARNm se lie à 1 ribosome reconnait bases de l’ARNr - traduction : ARNt intervient ARNt intervient è transport AA Reconnait codon ARNm è code pr son AA Ribosome avance le long de l’ARNm Chaque x AA se lie, ARNt est libéré V. les matériaux extra- cellulaires 1 grand nombre de substances è extra

Exemple de transactions complémentaires: | La personne 1 communique dans le sens P – E (Parents – Enfants). | La personne 2 répond selon le canal E – P. | Nous codons cette transaction par : PE – EP ou plus simplementEP.   | | Exemple de transactions croisées :  La personne 1 communique P–E La personne 2 répond A-P | Nous codons cette transaction:  PE – AP. | En développant, nous avons la personne 1 en état du Moi Parent s’adresse à l’état du Moi Enfant de la personne 2, qui lui répond

chaque associations sont appelées un codon. Chaque codon est codé par l’ARN de transfert, cette association permet le codage d’acide aminé (chaque codon spécifique d’un acide aminé) c’est ce qu’on appelle le code génétique. (Pour qu’il y ait initiation c’est-à-dire début d’association d’acides aminés entre eux, il faut que le 1er codon (codon d’initiation) soit un codon AVG qui correspond à l’acide aminé méthionine. Pour arrêter ce processus, il faut des codons stop : UAA, UAG, et UGA : la synthèse