Coefficient Budgétaire

la macroéconomie ? a) Croissance forte, plein-emploi, stabilité des prix et solde commercial équilibré ou excédentaire. b) Politique budgétaire, politique monétaire, politique de revenus et politique de commerce extérieur. c) Équilibre budgétaire, faible fiscalité, lutte contre le chômage et solde commercial équilibré ou excédentaire. d) Équilibre budgétaire, croissance forte, plein-emploi et stabilité des prix. Q.3. Dans l’équation de consommation ࡯ ൌ ࡯૙ ൅ ࢉࢅࢊ où "࡯" désigne la consommation

Les politiques macro-économique : Les politiques budgétaires et monétaires du Maroc depuis cinquante ans et perspectives pour les vingt prochaines années M’HAMED SAGOU Résumé ....................................................................................................................17 Liste des tableaux et graphiques .........................................................................19 I. Éléments d’introduction, définitions, problématique et devenir des politiques macro-économiques

mais moins vite qu’avant. 1.2 Comment mesure t’on l’inflation ? En France, c’est l’Indice des Prix à la Consommation (IPC), qui est publié chaque mois par l’INSEE, qui fait la moyenne de 200 000 prix collectés/mois répartis en 305 indices et coefficients selon la part dans la consommation des ménage. Cependant, elle fait l’objet de contestations car il y a un sentiment de suivre toujours l’alimentaire et tous les français ne consomment pas tous pareil (problème des nouveaux produits). Dans l’Union

publics Justice sociale et solidarité nationale Les objectifs : (selon Kaldor) La croissance Le plein emploi L’équilibre extérieur La stabilité des prix Les instruments : La politique de l’emploi qui va agir sur les salaires Politique fiscale et budgétaire : agir sur les revenus des gens Politique monétaire B. L’emploi : Le chômage est déséquilibre entre l’offre et la demande : l’O supérieur à la D O : émane des ménages et D entreprise ou l’état Conditions pour être considéré chômeur : 1) Etre sans

l’impôt Budget, politique budgétaire et limites des politiques budgétaires Intro La croissance forte et régulière des trente glorieuses semblait avoir conjure la fatalité des crises Les politiques économiques keynésiennes permettaient aux pouvoirs publics de stimuler la croissance et ce grâce au budget Le choc pétrolier de 1973 va nous démontrer que ces politiques vont devenir progressivement inopérantes Actuellement la dette se creuse, 7,5% de déficit budgétaire. Ce dernier ne doit pas excéder

de reprise de la demande étrangère de produits nationaux). Si une reprise spontanée de la consommation ne se produit pas, on peut mener une politique de relance de la consommation, soit en distribuant des revenus supplémentaires (politique budgétaire, des revenus, fiscalité...), soit en facilitant l’octroi de crédits (politique monétaire). Toute politique de relance de la consommation connaît des limites : • les stocks ne doivent pas être déjà trop importants, • les anticipations des

jour le jour à 0,25% et définit pour objectif 1% du PIB, soit 5000 miliards de Yen pour le montant des avoirs en compte courant des banques aurpès de la banque centrale. (Source : OCDE) POLITIQUE BUDGETAIRE La politique budgétaire assume quant à elle une volonté de réduction des coûts budgétaires et d'élimination des mauvaises créances. Il décide, contre de l'opinion de la bureaucratie Japonaise, de privatiser la Poste japonaise ainsi que le réseau autoroutier. Il met également en place des

243-278.qxp 21/11/2005 11:38 Page 243 POLITIQUE BUDGÉTAIRE ET TAUX D’INTÉRÊT Bruno Ducoudré * Doctorant au Département économie de la mondialisation de l’OFCE Depuis les années 1970, la montée des déficits et des stocks de dette publique a conduit les économistes à soulever la question de leurs effets sur les taux d’intérêt. La dette croissante et les déficits récurrents auraient engendré des pressions inflationnistes, ce qui aurait contraint les banques centrales à augmenter le

classique. Il y a eu un renouveau de l’analyse néoclassique à partir des années 1960/1970, sous l’impulsion de Milton Friedman et le monétarisme, dans un contexte de crise du keynésianisme. On a constaté une certaine impuissance de la politique budgétaire, une montée des PO, l’augmentation des déficits publics, et l’échec des politiques de relance, très forte instabilité de la courbe de Phillips. Le monétarisme a été relayé à partir des années 1980 par le monétarisme II, que l’on a appelé

intervention se fait par le biais de 2 politiques : une politique monétaire (baisse des taux d’intérêt) qui permet aux ménages de consommer car ils peuvent s’endetter à moindre cout et l’investissement des entreprises est stimulé ; et une politique budgétaire qui consiste à augmenter les dépenses publiques selon le principe de l’effet multiplicateur qui permet d’augmenter les revenus des agents économiques. L'analyse libérale préconise de concentrer ses efforts sur l'investissement afin de soutenir