Coefficient Multiplicateur

Fiche de synthèse : Les théories de la consommation Auteur : Pascal Corbel, http://www.ecogexport.com Quels sont les principaux facteurs influençant la consommation, l'un des moteurs de la croissance économique et la principale finalité de l'activité économique ? C'est évidemment une question qui intéresse au plus haut point les économistes. Voici les théories les plus fréquemment citées sur le sujet. La théorie néoclassique Le principe de la théorie néoclassique est simple : le consommateur

Une bonne répartition des gains de productivité réalisés est source de croissance (profits → épargne → autofinancement → investissement) L'investissement ainsi réalisé va avoir un effet plus que proportionnel sur la croissance économique (effet multiplicateur) Sur le long terme, le progrès technique dynamise la croissance (phase de prospérité de la « destruction-créatrice » selon Schumpeter). Exemples sur l'histoire économique (première RI, rôle des technologies de l'information et de la communication

Y=C+S Tous les économistes s’accordent à dire que le revenu se partage entre la consommation. Cependant il existe une discorde au sujet du rôle joué par le taux d’intérêt dans ce partage : -Selon les néoclassiques, le facteur qui détermine le choix des ménages entre épargner et consommer est le taux d’intérêt (Ti). En effet, d’après eux si le Ti est élevé les ménages auront plus tendance à épargner qu’à consommer et vice-versa. Ainsi l’Etat peut moduler le Ti en fonction de ce qu’il veut stimuler :

dit le document 2 et vont parfois même ne pas du tout remplacer le matériel obsolète. A l’inverse, en période de forte croissance les entrepreneurs vont investir pour profiter de la hausse de la demande. De plus ces investissements ont un effet multiplicateur qui lui-même se traduit par une augmentation de la consommation ce qui offre des débouchées aux entreprises et leur permet donc de rentabiliser leurs dépenses. Le taux d’investissement est donc fortement corrélé avec la demande anticipée. Par

politique budgétaire est devenue un instrument essentiel de régulation du niveau d'activité de l'économie. Plus particulièrement, ce rôle est apparu pour relancer la production lors des phases de moindre croissance ou de récession du fait de l'effet multiplicateur joué par les dépenses publiques. L'échec de ce type de politique pour répondre à la crise consécutive au premier choc pétrolier (limites soulignées notamment par les théoriciens néo-classiques) conduira à la contestation de l'efficacité de la

les politiques conjoncturelles en cas de récession ? 4) Discuter : Quelles conditions doivent être réunies pour que se produisent les effets prévus par Keynes ? Le multiplicateur de dépenses publiques Objectifs : - comprendre comment l’Etat peut influer sur la croissance par le biais du budget public - connaître la notion de multiplicateur keynésien Document 1 – Les dépenses publiques prises dans le circuit économique L'idée que l'Etat peut stimuler l'activité économique en jouant sur la demande est

auront un revenu leur permettant de consommer et d’épargner. Et ainsi de suite… Il faudra faire preuve de vigilance, pour ne pas que la croissance effective deviennent supérieur à la croissance potentiel, et donc créer de l’inflation. Effet multiplicateur Keynésien. I. L’épargne : frein de la croissance A. L’épargne n’est pas toujours investissement L’épargne crée de l’investissement et de la croissance mais ce n’est pas toujours le cas dans la réalité. Elle ne se transforme pas automatiquement

courantes, nous nous intéresserons uniquement à elles. Composition de l’éolienne : La nacelle supporte : * Les pales, le moyeu et le rotor : captent l’énergie produite par le vent et la transforme en énergie mécanique de rotation. * Le multiplicateur : augmente la vitesse de rotation d’un second rotor avec un système d’engrenages au delà de 1000 tours/minute pour la génératrice électrique. * La génératrice : transforme l’énergie mécanique de rotation du second rotor en énergie électrique

80% de la population étudiée perçoit un revenu ≥ à D2 D9 signifie que 10% de la population perçoit un revenu au moins égale à D9. On utilise à partir des déciles, l'écart inter décile qui est le rapport D9/D1. Le résultat fournit un coefficient multiplicateur par exemple X qui signifie «  le plis pauvre » des 10% « les plus riche » perçoit un salaire au moins x fois plus grand que « le plus riche » des 10% » les plus pauvres » . La courbe de Lorenz . En abscisse , on trouve les effectifs

qui explique que le nombre de ch�meurs a consid�rablement baiss�. Par contre si un ch�meur refuse un emploi ses indemnit�s sont r�duites, cela permet de recr�er des incitations � l'emploi. En France la cr�ation des ZEP a pour objectif d'�tre un multiplicateur social de valoriser les populations, ceci a un effet vertueux. Egalement des mesures favorisant les minorit�s les plus fragiles devant la crise commencent comme cela se passe aux USA � b�n�ficier des principes de la discrimination positive (cas