Cogito De Descartes

sentiment de soi » KOJèVE Le cogito, DESCARTES Le sujet prend conscience de lui-même par le fait qu'il pense d'où « je pense donc je suis » = cogito ergo sum; cela signifie que le sujet possède une conscience et c'est à partir de celle ci que l'on peut connaître la réalité. Le cogito représente l'évidence de la réflexion, il revèle une liaison nécessaire, indépendante de moi, et fournit le modèle de la vérité. Unité de la conscience Le cogito est unité et effort de synthèse. C'est

Descartes Le travail qui suit va porter sur Descartes, il définira quatre questions fondamentales à comprendre, afin d’interpréter la philosophie de ce philosophe reconnu. Premièrement, ce texte expliquera la méthode du doute hyperbolique. Deuxièmement, ce texte donnera les premiers résultats auxquels parvient Descartes, en ce qui concerne les trois sources de connaissances. Troisièmement la signification du mot; cogito et quatrièmement de quelle manière Descartes fait pour prouver l’existence

conscience est un pont jeté entre le passé et l’avenir. La pensée c’est le ciment. C’est ce qui va forger ma personnalité a partir de lemprise qu’a sur moi le monde extérieur. II) La prise de conscience de soi A) Qui suis-je ? (le cogito DESCARTES) 1) La Révolution Cartésienne. * Contexte : une époque propice : la Renaissance avec ses grandes découvertes, sorties de l’obscurantisme moyenâgeux. * Elle consiste à révoquer l’ensemble des savoirs et à exiger une certitude

question du soi L1 texte; DESCARTES, Méditations métaphysiques, Méditation seconde. « Je suis une chose qui pense » R. Descartes L'âme est pour Descartes une substance indépendante, et seul les êtres pensants ont une âme. Il y a pour Descartes une grande différence entre

principe même qui est adopté que dans le fait de se mettre en recherche d’un 8 : Remarquons comment ici Alain s’oppose à la thèse de Freud selon laquelle la conscience peut me tromper en devenant le jouet de l’inconscient. Pour Alain, fidèle à Descartes sur ce point, il n’y a rien d’inconscient en moi si ce n’est éventuellement ce qui provenant du corps affecte mon âme. Ce point pourrait faire l’objet d’une discussion… principe. Ceci n’est pas simple, car il faut étudier chaque situation au

nature , sa fonction 1) La conquête du « Je pense » ou le cogito cartésien : Descartes est le premier qui, dans l’histoire de la philosophie va montrer la structure réflexive de la conscience. Il se propose de montrer comment à travers le phénomène de la pensée, le sujet en arrive à avoir une connaissance sur lui-même. Descartes part du doute, activité qui a pour but de l’amener à remettre en cause l’existence du monde sensible. Pour Descartes le doute doit être hyperbolique (exagéré), méthodique (il

d'une réalité qui n'est pas la conscience. Telle est la distinction fondamentale entre le sujet et l'objet, le sujet désignant toujours l'être pensant et l'objet l'être pensé. I- DESCARTES (1596 - 1650) : Cette notion d'être pensant a été approfondie par Descartes dans l'expèrience du douteuniversel. En effet, Descartes constate au sortir de ses études que la plupart des connaissances sont incertaines. Qu'est-ce donc qui peut être tenu pour certain ? Sous l'exigence d'une telle question,

réductible à la pensée ? La pensée chez Descartes est une faculté intellectuelle permanente chez l’être humain qui parvient à découper la réalité, les sens, en concepts. La pensée est l’esprit, sa conscience, tout est constaté par la pensée dont le corps, le rendant second de priorité, et donc l’existence de l’être humain est sa pensée, d’où vient son « Cogito ergo sum : Je pense, donc je suis ». Ce cogito présume que la pensée, distincte du corps, doit être

Contexte de la naissance du cartésianisme[modifier]Pour bien comprendre les caractéristiques de la philosophie de Descartes, il est nécessaire de revenir sur le contexte dans lequel cette philosophie a été élaborée. Au début du XVIIe siècle, le monde scientifique et philosophique se trouvait plongé dans la controverse ptoléméo-copernicienne. La théorie émergente de l'héliocentrisme bouleversait certains principes établis dans les universités. Les plus grands scientifiques et philosophes de

conditionnement socio culturel L’habitude La peur et l’angoisse (belle âme chez Hegel) Subversion de la raison par l’imagination (pascal) Suprématie des intérêts personnels et des désirs (sensibilité pathologique chez Kant) L’appareil perceptif et les sens (Descartes) 2 Dialectique descendante : lorsque le bon philosophe revient à la caverne pour convaincre les prisonniers de sortir. 23. obscurantisme : Selon Platon, à travers l’allégorie de la caverne, le véritable philosophe est celui qui délivre les hommes