Cogito Ergo Sum

La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? Autrui est ce que je ne suis pas et aussi je ne peut être autrui puisque je suis. Alors comment la conscience de soi supposerait elle autrui s’il ne peut être ce que je suis et qu’autrui ne peut être moi ? Mais si la conscience que j’ai de moi admet autrui, alors je ne peut être ? Ainsi je peut me demander si j’ai réellement conscience de moi comme un individu unique s’il m’est impossible de me distinguer des autres ? Alors on se demande par quel

La conscience permet à l’être humain, de savoir qu’il subit une action ou en engendre une ; contrairement aux plantes qui ne savent pas quand elles subissent une action. Du latin cum-scire, « savoir avec », la conscience est une forme de savoir, une connaissance. « Le bonheur est la conscience vécue et affective, mais il est aussi la conscience pour soi que l'on prend de l'accord de soi-même, avec l'ordre du monde. » Polin. La conscience, cette forme de savoir, est il une source de bonheur chez

Titre de l'oeuvre : "I shop therefore I am" (j'achète donc je suis) Artiste : BARBARA KRUGER1987, sérigraphie sur vinyle, 287 x 287cm, Date : Date de réalisation : 1987 Technique artistiques utilisée : photomontage Dimensions : 281.90cm x 287cm Née le 26 juin 1945 à Newark dans le New Jersey, Barbara Kruger passe par l'université de Syracuse, dans l'État de New York, avant d'entrer, en 1966, à la Parsons School of Design de New York. Formée à la profession médiatique de graphiste publicitaire

conscience est un pont jeté entre le passé et l’avenir. La pensée c’est le ciment. C’est ce qui va forger ma personnalité a partir de lemprise qu’a sur moi le monde extérieur. II) La prise de conscience de soi A) Qui suis-je ? (le cogito DESCARTES) 1) La Révolution Cartésienne. * Contexte : une époque propice : la Renaissance avec ses grandes découvertes, sorties de l’obscurantisme moyenâgeux. * Elle consiste à révoquer l’ensemble des savoirs et à exiger une

si conscience et vie psychologique coïncident, cela signifierait que tout ce qui est inconscient dans l’esprit est ce qui a cessé d’exister. Vision dualiste : homme composé de corps et d’esprit mais ces deux substances étant séparées. Descartes : cogito, je pense donc je suis, l’esprit = substance pensante, corps = substance étendue. Conséquence : du coup, on conçoit l’esprit humain comme complètement désincarné. C’est un esprit angélique, absolument pas lié au corps et donc pas limité, et donc omniscient

Philosophie De par nature, l'homme pense, c'est fondamental. C'est impossible pour un Homme de s'arrêter de penser. La pensée est un ensemble d'idées propres à une unité. On peut décrire la pensée comme l'activité de l'esprit permettant à l'Homme de concevoir des concepts qui l'aideront à mieux comprendre le monde qui l'entoure. Dans Le Sophiste, Platon définit la pensée comme "discours intérieur que l'âme tient en silence avec elle-même", la pensée relève exclusivement du domaine mental et n'entretient

Si la vérité est libératrice, est-ce l'absence de vérité qui est contraignante ? Mais par rapport à quoi ? La morale, la conscience ? La vérité en elle-même n'est-elle pas un enfermement ? La question porte sur le cas de celui qui peut vivre heureux mais méchant. Le sujet pose que la vérité n'est pas forcément liée avec les agréments d'une conscience. Mais il faut aller plus loin : est-ce que la question du mensonge a affaire avec ces agréments ? Ne faut-il pas le juger a priori, et estimer que juger

I) Première partie A. Quelle est la définition de la raison selon l'auteur ? B. Quel regard porte-il sur les études auxquelles il s'est adonné ? II) Deuxième partie A. Quelle est la résolution prise par le philosophe ? B. Quelle définition du doute en résulte-t-il ? C. Comment définir la notion de méthode ? Quelles en sont les règles ? III) Troisième partie A. Qu'est-ce que la morale provisoire ? B. Quelles en sont les maximes ? C. Quelle différence faut-il faire entre le doute

réellement comprendre et ressentir la même chose qu’autrui pour prendre sa place et la nécessité de se mettre à la place de l’autre puisque nous partageons le même monde. Chaque sujet a un sens intuitif de lui-même. C'est ce qu'illustre le cogito de Descartes. Le cogito cartésien est une expérience personnelle aboutissant à la prise de conscience de soi « Je pense donc je suis », et sera développé sous la forme suivante : « Je suis, j'existe. ». Comment peut-on alors accéder à la connaissance de l'existence

Lors d'une de ses expérienceS, Descartes décide de tout remettre en question dans la mesure où toutes les choses qui soient ne pourraient être qu'illusions provoquées par exemple par un être malicieux. Finalement la seule chose qui résiste à l'épreuve du doute se trouve être le sujet pensant (d'où la célèbre citation de l'auteur : « Je pense donc je suis »). A partir de là, mis à part l'existence de notre « moi », une autre va être mise en évidence : l'existence d'Autrui, cet être qui dit « moi »