Cognition sociale

Intelligence Le mot Intelligence vient du latin intellegentia, la faculté de comprendre. L'intelligence est l'ensemble des facultés mentales permettant de comprendre les choses et les faits, de découvrir les relations entre eux. Autrement dit avoir de la réflexion sur les problèmes et les choses qui nous entourent. De s’adapter à toutes les situations, Devant un problème nouveau, être capable de trouver la réponse. Notre intelligence est favorisée par le langage, et notre faculté à utiliser des

C'est au congrès de Dartmouth en 1956 que l'expression intelligence artificielle a été proposée pour désigner le domaine de recherche qui s'ouvrait alors. Le succès de cette appellation provient sans doute de ce qu'elle énonce avec une remarquable économie d'expression une problématique fondamentale : la possibilité de concevoir une machine intelligente. Cela ne signifie pas pour autant que tous les chercheurs de ce domaine s'accordent sur ce que l'on entend par cela. Que signifie en effet construire

L'attention L 'attention est la concentration active de la conscience sur un objet déterminé. Il s'agit de l'attitude de l'esprit concernant l'activité mentale qui est concentrée sur une situation ou sur un objet précis. L'attention est étudiée en neuropsychologie c'est-à-dire la spécialité médicale s'intéressant aux perturbations de fonctionnement du cerveau et consécutivement aux symptômes liés aux lésions cérébrales. On distingue l'attention volontaire (réfléchie) qui est obtenue grâce à un

Situation n°2 : Situation d’un personne présentant une maladie d’Alzheimer Qui est la personne ? Mme H a 75 ans, 3 enfants et un mari médecin à la retraite. Elle est mère au foyer à la retraite, autoritaire et coupée du contact de ses enfants. A son arrivé, elle n’a apparemment aucun antécédent médical, et n’a pas eu de consultation spécialisée. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer mais est encore continente. Elle est sujette à la déambulation, a des troubles du sommeil et alimentaires

apprendre. Ils permettent de connaître la motivation de l'élève pour le contenu mathématique. Les devoirs à la maison permettent d'une part de juger la classe de manière générale sur ses méthodes de travail,d'autre part d'avoir un indicateur social. Si l'élève ne travaille pas, cela peut être dû à des problèmes familiaux ou alors à un appel à l'aide. Malgré tout, il faut émettre une réserve pour le travail à la maison qui peut être du copiage sans que l'on s'en rende forcément compte.

LA FINANCE COMPORTEMENTALE OU LA PSYCHOLOGIE DE L’INVESTISSEUR La remise en cause de la théorie d’efficience des marchés est le point de départ de la finance comportementale. Selon l’hypothèse classique, les agents sont pleinement informés et rationnels, ils interprètent donc correctement ces informations, et ont pour seule motivation de maximiser leur « utilité financière ». Ils agissent en toute indépendance et leurs décisions mènent à un équilibre des prix. La théorie traditionnelle considère

logico-mathématiques. Il y a donc changement cognitif ave une pensée formelle. Il y a aussi les changements identitaires liés à leurs convictions. On construit son identité avec leurs propres pensées (un auteur parle d’âge caméléon). Il y a aussi un changement social. Tous ces changements s’inscrivent dans des processus longs qui durent plusieurs années. De plus les changements culturels influent sur l’acquisition des changements cognitifs. Pour conclure, l’enfance peut être une succession d’étapes mais on

l’élaboration de la stratégie va au-delà des valeurs et de la vision, des compétences et des potentiels, pour embrasser aussi les forces armées et les adeptes de Moon, les crises et l’engagement social, l’apprentissage au sein de l’entreprise et l’équilibre ponctué, l’organisation industrielle et la révolution sociale. Nous évaluons cette littérature telle qu’elle se présente. Mais notre but n’est pas de l’étudier à fond (nous avions aussi peu envie d’écrire un livre de plusieurs milliers de pages que la

présence simultanée de deux cognitions (idées, opinions, perceptions, croyances, sanctions, sensations de douleur, comportements, …) psychologiquement inconsistantes ». Cette théorie considère que deux éléments de cognition sont en rapport ou pas (un lien pertinent les relie ou non). Deux cognitions liées sont soit consonantes (ou cohérentes) soit dissonantes (incohérentes). Elles sont dites consonantes si l'une entraîne ou supporte l'autre. A l'inverse, deux cognitions sont dites dissonantes si l'une

travaux de James Pennebaker valident l'idée déjà très populaire de la liason quasi mécanique entre l'émotion et la parole. Au cours des dernières années E.Zech et Bernard Rimé ont procédé à un bon nombre d'expericence dont le partage social de l'émotion. Dans le partage social de l'émotion ressentie on relève deux points : - Le rappel de l'épisode, ni changé, ni réduit et ni modifié, par le partage. -Parcontre, il y a d'autres aspects comme la satisfaction, le sentiment d'avoir eu de l'aide etc... Dans