Disjonction logique

situé à la ligne 1et la suite qui sont des arguments et exemples. De plus, il y a des connecteurs logiques comme « car » qui est une conjonction de coordination à la ligne 2, « Mais » qui sont aussi une conjonction de coordination à la ligne 13 ou encore « en effet » qui est une conséquence à la ligne 4. Il est présent aussi des arguments et des exemples à partir de la ligne 2. Sur les connecteurs logiques, il y a tout d’abord des relations de cause avec « car » et « en effet » qui articule la proposition

Reno Périard Lundi 5 octobre 2015 L’organisation technique À quelle forme de légitimité ou logique d'action pourrait-on associer le propriétaire, Charles Bérubé, de l'entreprise Assurances ABC? A mon avis, le propriétaire Charles Berube, de l’entreprise Assurance ABC est associe à la logique d’action de la tradition. Premièrement, ayant acquis l’entreprise familiale, il est normal que Monsieur Berube entretient un regard positif (le sage)

augmentation corrélative de B). le fait que la résolution du problème direct de la double différence soit plus tardive que celle du problème inverse renforce l'hypothèse de départ. Le traitement figuratif semble nécessaire au traitement opératif ou logique : aussi bien les exercices figuratifs d'apprentissages qu'un déroulement de la tâche qui rend d'emblée la représentation de ses données plus aisée (problème inverse) favorisent la construction opératoire. Voilà l'expérience 3. on se voit demain

Acteur 4 Acteur 5 Flux3 Flux4 Flux 5 Flux 6 Acteur 6 Acteur 7 MCT Modèle Conceptuel de Traitement MODELES NIVEAUX Statique (données) MCD Dynamique (traitements) Conceptuel MCT MOT (QUI ? QUAND ?) Organisationnel ou logique Opérationnel ou physique MLD (OU ?) MPD MOPT MCT Représentation, sous forme schématique, de phénomènes de réactions et ceci indépendamment de toute préoccupation d'organisation interne : Évènement déclenchant Transformation du

de compréhension : 1. Pour quelle raison Ismène pense qu’Antigone est folle ? 2. Quels arguments utilise Ismène pour essayer de convaincre Antigone ? 3. D’après le débat entre les deux sœurs, qui semble la plus «rationnelle» ou logique ? Justifiez. 4. Quel est l’argument principal qu’Antigone utilise pour expliquer son geste ? 5. Qu’est-ce qui montre qu’Antigone ne veut pas convaincre sa sœur ? 6. Antigone veut-elle vraiment mourir ? Justifiez. Production écrite :

présence d’un plan aide grandement à la compréhension : même s’il ne comprend pas les détails, votre public est ainsi capable de suivre les idées principales. Pour construire le plan, il faut : [pic] choisir un type de plan reconnaissable ou logique, par exemple : plan chronologique, comparatif (avantages et inconvénients, situation actuelle et passée), du général au particulier (où l’inverse), ect. [pic] faire tout pour que votre public suive votre plan au fur et à mesure de l’exposé.

écrire la nomenclature une règle avec des formes géométriques pour être propre! 1ère partie : Un espace mondialisé 1 : Les grands centres d’impulsion et l’organisation géographique du monde (ou Mondialisation et organisation de l’espace ou logique centre/périphéries) cf plan p40 2 : inégalités et mondialisation ou un Sud, des Suds 2ème partie : Les trois grandes aires de puissance dans le monde 3 : La puissance des USA dans le monde (p94-95 mais elle est trop complexe, je vous propose

4 Acteur 5 Acteur 6 Acteur 7 Flux3 Flux4 Flux 5 Flux 6 Acteur 7 MCT Modèle Conceptuel de Traitement MODELES NIVEAUX Statique (données) Dynamique (traitements) Conceptuel MCD MCT Organisationnel ou logique Opérationnel ou physique MLD (OU ?) MPD MOT (QUI ? QUAND ?) MOPT MCT Représentation, sous forme schématique, de phénomènes de réactions et ceci indépendamment de toute préoccupation d'organisation interne : Évènement déclenchant

´matiques Cours de Mathe Ensembles, applications, relations Table des mati` eres I II III IV Page 1 Un peu de logique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.1 Assertions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . I.2 Op´erations sur les assertions . . . . . . . . . . . . I.3 Tableaux de v´erit´e . . . . . . . . . . . . . . . . . I.4 Quelques synonymies classiques . . . . . . . . . . I.5 Conditions n´ecessaires et/ou suffisantes . . . . . . I.6 Pr´edicats

Calcul propositionnel Les briques de base du bˆtiment math´matique sont les assertions. En Logique, on peut d´finir tr`s pr´cis´ment ce qu’on entend par une assertion. Comme ca nous ´loignerait trop de notre chemin, on se contentera d’une d´finition naive : une assertion est une phrase qui est vraie ou qui est fausse. Par exemple, la phrase “le nombre 6 est pair” est une assertion. Ou encore, la phrase “le nombre 141 est premier” est une assertion. Il n’est pas important de se souvenir