Cognitivisme

Insight : reproduction nouvelle, répétition = capacité à identifier le problème pour trouver la solution, processus discontinu, restructuration, réorganisation de la pensée. Nouvelles structures et non associations. Influence sur : bases du cognitivisme (apprendre ce n’est pas seulement mémoriser, rôle de l’activité du sujet, influences sur les théories de l’intelligence, sur Piaget) Module III : histoire de la folie Enfermer les fous (ou les gens) * Moyen-âge : absence d’une médecine

a un comportement qui n’est pas adapté). On recherche un comportement particulier. On peut faciliter ce comportement, accélérer le processus avec des éléments qui l’amène plus vite. C) L’orientation cognitivo-constructiviste : Piaget Le cognitivisme prend le contre-pied du béhaviorisme en s’intéressant à ce qui existe entre le stimulus et le comportement, au fonctionnement mental de l’individu (« boite noire »). Qu’est-ce qui se passe entre la stimulation et la réponse ? Qu’est-ce qui se passe

de la coaction, contraire à l’exp précédente. Différence selon taille gpe, contexte. * 30’ : dvlpt de la discipline * 40 et 50’ : explosion de la psychosocio * 60 et 70 : passage du behaviourisme (stimulus-rép) au cognitivisme (émotions, pensées) * 80 et 90 : psychosocio appliquée = étude systématique sur le terrain. Ex : les motiv au W 2. CHAMPS D’ETUDE Psychosocio appliquée = voir plus haut, on veut améliorer les comportements. Psychosocio expérimentale

cognitif et linguistique de Noam Chomsky. Ceci, bien sûr, est devenu le mouvement de la psychologie cognitive. Comme l'âge d'or de l'humanisme semble conduire à un peu plus de l'abus de drogues, l'astrologie, et l'indulgence de soi, à condition que le cognitivisme étudiants sol scientifiques de la psychologie ont été nostalgie. Mais le message ne doit pas être perdu: La psychologie est, d'abord et avant tout, des gens, des personnes réelles dans la vie réelle, et non sur des modèles informatiques, les analyses

deuxième source de motivation pour expliquer le comportement. L’incitation tire le comportement alors que le drive pousse le comportement. III) Quelques repères généraux : 1) Tentatives de définition : * Dans les années soixante, le cognitivisme prend le relais du béhaviorisme. * Définition de la « motivation » selon Vallerand et Thill : « le concept de motivation représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les forces internes et/ou externes produisant le déclenchement

approches de la psychologie clinque : Outre les théories qu’elle produit, elle se fonde sur des théories générales extérieures à elle : - Psychanalyse → Invention de Freud / Procédé d'investigation des processus psychiques inconscients - Cognitivisme → La théorie a pour but de modifier les réponses comportementales par la mise en place de contre-conditionnement. - Phénoménologie → Comprendre l’« être-au-monde », le « vécu » du sujet en mettant de côté l’objectivisme - Humanisme →

permettent aux élèves de se sentir acteur, en ce sens qu'après la manipulation, ils construisent la règle qu'ils viennent de découvrir par eux-mêmes, ce qui a un aspect motivant pour continuer à s'investir dans les apprentissages. Le constructivisme, le cognitivisme, ou encore le socio-constructivisme sont autant de théories sur l'apprentissage sur lesquelles peuvent s'appuyer les enseignants, pour mettre en œuvre les conditions qui permettent à l'élève d'apprendre par lui-même. Outre ses « nouvelles pédagogies »

soin avec des enfants par exemple). La thérapie comportementale pourra être associée à des séances de relaxation (pour traiter l'angoisse, les troubles sexuels, les phobies...) ainsi qu'à des thérapies de groupe, ou de couple. Diapo 37 Vers le cognitivisme Diapo 38 L’approche cognitiviste est beaucoup plus complexe que l’approche béhavioriste et son évolution débute avec les apports des néo-béhavioristes. 11 Diapo 39 Les postulats néo-béhavioristes de Tolman Les premiers postulats cognitivistes

accéder au statut de science. C’est d’ailleurs le cinquième postulat de définition du positivisme proposé par Hart : les jugements de valeur ne peuvent être défendus par des arguments rationnels ou des preuves. C’est ce que l’on appelle le « non-cognitivisme éthique » qui n’est qu’un avatar matiné d’agnosie de la séparation du droit et de la morale inaugurée par Kant. À côté de la science juridique, dont les énoncés empiriques sont susceptibles de vérification, Ross est contraint d’admettre l’existence

question des valeurs. La nuance que nous voudrions faire observer consiste à relativiser l’ampleur de ce relativisme kelsénien et, chemin faisant, la pureté du positivisme du maître, en insistant dans une seconde partie sur la part évidente de cognitivisme que renferme le normativisme. Voilà une représentation du droit qui prête à la norme, à l’instar de ce que Platon imputait aux Idées, une essence et une identité ontologique qui ne réside, bien évidemment, que sans sa structure formelle. Il