Cognitivisme

express beliefs or desires” (1987, 285); they “do not (literally) tell us anything, but they do make us notice things...They do not have cognitive content, but they are responsible for a lot of cognitions” (1987, 290).5 One way to motivate non-cognitivism about metaphor – though not one that either Davidson or Rorty themselves endorse – is to claim that sentences like (1) through (3) are so deviant if construed literally that they can’t enter into the sorts of rational inferences that are essential

non-responsable de ses actes. La perversion n’est pas une pathologie qui fait que l’on n’est pas responsable de ses actes. PLAN DU COURS. I. 4 théories psychologiques. 1) Comportementalisme : Skinner – expériences en laboratoire. 2) Cognitivisme : Piaget – méthode naturaliste. (évolution naturelle de l’enfant) + méthode expérimentale en labo ou en milieu naturel. 3) Systémique psychologique : Watzlawik – ne s’intéresse pas au comportement individuel mais aux interactions entre les

des individus dont on a la charge en EPS, et notamment des conditions de leurs apprentissages. Les écrits scientifiques fleurissent à ce sujet dans les années 70-80, et pour l’éducation des « corps », on fait de plus en plus souvent référence au cognitivisme et donc à l’influence de la connaissance sur les conduites. Selon Chatillon (1985), l’activité cognitive réside dans les mécanismes par lesquels un individu extrait des informations du milieu pour organiser les conduites qu’il y produit. On y

institutionnelles dans lesquelles on se trouve en tant qu’enseignant, etc. Bien sûr, les travaux en psychologie du développement et de l’apprentissage, et des sciences humaines en général, tendent à valoriser – dans notre culture tout au moins – le cognitivisme à la Piaget ou le sociocognitivisme à la Vygotski. Mais, nous venons de l’indiquer, les travaux de la psychologie ne sont pas directement normatifs par rapport aux pratiques d’enseignement. Mais il n’est ni suffisant, ni satisfaisant, dans une

systémique, la non directivité, l’humanisme, la psychanalyse, puis le comportementalisme et le cognitivisme. Ces doctrines n’ont toutefois pas été fondues dans une théorie unique mais ont représenté des courants de la Psychologie Clinique, courants parfois en conflit ouvert. Il est vrai que les principes de base de la psychanalyse, par exemple, ne sont pas compatibles avec ceux de la phénoménologie ou du cognitivisme. LA MÉTHODE CLINIQUE EN PSYCHOLOGIE La méthode clinique est avant tout destinée à répondre

UE 1.1Développement de la personne et de la personnalité(Développement de l’enfant)Introduction  : Cognitif = connaître, c’est donc tout ce qui concerne l’intelligence Psychologues qui s’occupent du cognitivisme : Lev Vytgoski, Wallon, PiagetIl s’agit pour les trois méthodes de modèle théoriqueDéveloppement cognitif= l’évolution des grandes fonctions : l’intelligence, mémoire langage, numération, capacité de raisonnement et d’abstraction. 1. Psychologie

fondamentale pour expliquer l’origine de la relation directe entre motivations, comportement et besoin. Selon Allport le concept d’attitude dérivait donc de ces deux sources principales ;psychologie expérimentale et psychanalyse pour donner naissance au cognitivisme, en intégrant une variable intermédiaire: l’attitude. Cette variable permis de représenter l’évaluation et la préférence entre plusieurs alternatives. Allport définissait l’attitude comme « un état mental et neural de préparation, organisé au travers

groupe de ceux qui apprennent la plus simple réponse « tourner à droite ».Il semble que le sujet s’oriente d’après des sortes de représentations globales de l’environnement, construites par le sujet au cours de son apprentissage. 2) Le cognitivisme Pour rendre compte du comportement d’un sujet, il est nécessaire d'étudier les mécanismes sous jacents du comportement Par rapport aux auteurs allemands, on va utiliser la méthode expérimentale. Modèle de la boîte noire (esprit humain) Les

du 20ème siècle, concomitamment à l’essor de l’informatique et en lien avec ce domaine, notamment pour la question du traitement de l’information. ‌ Edward Tolman (1886-1959) : Au départ behavioriste puis orienté vers le cognitivisme, car selon lui, irréductibilité chez tout individu à un lien « stimuli – comportement»  • Alors, pour tout comportement d’un individu (humain ou animal), nécessité de tenir compte de son but, de la visée de son acte : *Exemple du rat cherchant

proposer une vision du fonctionnement cognitif qui restait somme toute très mécanique : l'individu réduit à une « machine à penser », un ordinateur. Ce qu'on a appelé la cognition « froide ». Le courant constructiviste s'est ainsi démarqué d'un cognitivisme radical en soulignant combien le fonctionnement cognitif était variable d'un individu à l'autre, en fonction de son développement et de son histoire personnelle. On s'est ainsi mis à s'intéresser notamment à l'importance des représentations des