Collectivisme

et de l’actualité même entre étrangers. De plus, entre amis, Médine croit fortement qu’il manque cette symbiose et cet échange que l’on retrouve partout au Maroc. En effet, le Maroc est une culture à contexte riche qui favorise davantage le collectivisme ainsi que les relations durables et fortes. De son côté, le Québec est une culture à contexte pauvre qui est tourné vers l’individualisme avec des relations interpersonnelles qui sont fragiles. Donc, ces deux cultures s’opposent en termes de

inhérente à l’homme : le travail . L’argent doit mesurer « la quantité » et « la qualité » du travail effectué par tout individu, dans un temps précis. Cette théorie marxiste trouve son écho dans le discours de Sigismond qui annonçant sa théorie du collectivisme à Saccard, conclue : « il n’y a plus, comme mesure de la valeur, que le travail ». (L’Argent, chapitre 1, page 55). L’ingénieur Hamelin, quant à lui, exalté, vante les mérites du travail, qui seul permettra d’exploiter l’infinie fécondité des mines

groupes de partisans. Il fait appel au patriotisme pour arrêter l’envahisseur. Staline a par ailleurs su réveiller le nationalisme russe et organiser « l’union sacrée » face à l’agresseur : il reçoit le soutien des Églises, met en veilleuse le collectivisme agraire et une partie du contrôle policier sur la société, et substitue les références patriotiques à celles au communisme, dès son discours du 3 juillet 1941 où il s’adresse à ses « frères et sœurs » soviétiques. Il ne néglige pas non plus de

l'acceptation de l'inégalité de pouvoir par celui qui y est soumis. • Le contrôle de l'incertitude : désigne le degré de tolérance qu'une culture peut accepter face à l'inquiétude provoquée par les événements futurs. • L'individualisme et le collectivisme : expriment le degré de liberté d'un individu par rapport à un groupe. Autrement dit, il exprime le degré d'autonomie par rapport au groupe et aux normes sociales, la plus ou moins grande solidarité du groupe et le degré d'attachement aux valeurs

expérimenté à grande échelle : le socialisme marxiste. A l’inverse du capitalisme, c’est un système social dans lequel les moyens de production et d’échange sont la propriété de la collectivité ; par conséquent, dans ses formes les plus « pures », le collectivisme supprime totalement la notion de propriété individuelle. Le système socialiste fait des travailleurs la force décisive de la société, puisqu’ils sont les propriétaires collectifs des moyens de production. Il se fonde sur la prééminence de l’intérêt

nature aussi doit se plier aux exigences du socialisme. Ü L’idéologique l’emporte sur le réel, Ü Mais un fonctionnement bureaucratique complètement sclérosant. 1°) La propriété collective des moyens de production et d’échanges a) Le collectivisme Ü Selon l’idéologie marxiste, la propriété privée, fondement du capitalisme, constitue la cause de l’exploitation de l’homme par l’homme, d’où la nécessité de faire disparaître celle-là pour éliminer celle-ci. Ü La collectivisation eut lieu

Distance au pouvoir (relations hiérarchiques). Evitement de l’incertitude (réaction face aux situations incertaines). Masculinité/Féminité (différenciation des rôles entre les sexes dans les sociétés). Individualisme/Collectivisme (primauté accordée à l’individu par rapport au collectivisme). Les composants de la culture sont les symboles, les mythes (histoire, anecdotes, imaginaire de l’entreprise), les valeurs (codes comportementaux qui forgent l’histoire et les pratiques de management), les tabou

relations entre les pays et qui constituent les civilisations majeures de notre planète. Il en résulte que la rivalité entre les différentes puissances a changé de nature : il ne s’agit plus d’une rivalité idéologique opposant le libéralisme au collectivisme, mais une opposition entre des civilisations, des modes de pensée différents reposant sur le fait religieux. Dans ce monde qui s’élabore, la politique locale est celle de l’ethnicité (ou des particularismes locaux) et la politique globale ou internationale

uniforme, mais pas pour leur conditions de vie, qui étaient lamentables. Hitler et Mussolini, par exemple, pensent qu’il faudrait régénérer la société avec les valeurs de la guerre : Le respect, le conformisme de groupe, la discipline militaire, le collectivisme, l’adoration du chef charismatique que l’on est disposés à suivre jusqu’à la mort. Selon eux, ces valeurs feraient une société meilleure ; il y a une vraie soumission au chef. Une minorité de combattants, ne partagent pas cette façon de voir la

des hommes les plus en vue de la commune (3500 habitants). En 1952, il se présente aux élections municipales. Le programme qu’il soutient annonce bien les thèmes futurs de l’UCDA : c’est une attaque contre la politique, les parlementaires et le collectivisme. Il mélange les thèmes, en jouant avant tout l’opposition aux institutions et le rassemblement des mécontentements. Après avoir été élu conseiller municipal, il tente de jouer un rôle de plus en plus actif dans la vie publique, en recherchant