Collège des pontifes

donc bien au-delà de la question des nominations. 2.2.3. L'affirmation du rôle du pape à la tête de l'Église A partir du XIè, s'appuyant sur l'idée de la primauté du siège apostolique, le pontife de Rome met en place une structure centralisée qui vise à contrôler les Églises. En 1059 Nicolas II crée le collège des cardinaux qui élit le nouveau Pape. Pour assister ce dernier, la curie pontificale se développe. Enfin, le pape multiplie les interventions, quitte à entrer en conflit avec les intérêts

qu'il descend de Jupiter. Il y avait autour de Romulus des familles demi divines: les patriciens. Dans ce mythe on trouve cette idée de l'arché. Ces patriciens sont inspirés par les dieux, c'est a l'intérieur de ces familles que se devellope les pontifes( prêtres patriciens) (faiseurs de ponts): 1er classes de jusistes romains: la classe pontificale. Ils créent un droit qui est inconforable pour le reste de la population. le reste de la population est le Plebs (plébéiens) forment une deuxième cathégorie

prêtres romains qu’on appelait les « pontifes ». Tous issues de famille patricienne et ils avaient le monopole de l’interprétation du droit. De sortes que leur rôle était très important notamment leur rôle juridique. Concrètement, on devait faire nécessairement appel aux pontifes pour mettre en œuvre le droit et régler les litiges. Les pontifes gardaient le secret des formules juridiques qui devaient être prononcé pour ouvrir un procès. Le monopole des pontifes en matière juridique va être remis en

béatification (1338 Bienheureux) et à 51 de canonisation (482 Saints). Il a proclamé Docteur de l'Eglise sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus. Il a considérablement élargi le Collège des Cardinaux, en a créant 231 en 9 Consistoires, plus 1 in pectore, dont le nom n'a jamais été révélé. Il a également présidé 6 réunions plénières du Sacré Collège. Jean-Paul II a présidé 15 Synodes des Evêques: 6 Assemblées ordinaires (1980, 1983, 1987, 1990, 1994 et 2001), 1 générale extraordinaire (1985), 8 spéciales (1980

vos tombes. - Décembre à juillet 1949, publication dans Jazz Hot de la traduction de Young Man with a Horn sous le titre Le jeune Homme à la trompette. 1949 - Vian plaide pour Jean Cocteau au cours de l'émission radiophonique " Procès des pontifes". - Publication du recueil de poème Cantilènes en gelées. - Publication du recueil de nouvelles Fourmis. - Rencontre avec Miles Davis. - Interdiction Ministérielle de J'irai cracher sur vos tombes. - Été, période de crise morale, conjugale et

« Fas est » « Fas non est », ceci est voulu ou pas par les Dieux, la coutume des ancêtres devait répondre aux exigences du Dieu. Les pontifes (deux catégories : les flamines de Jupiter, pour ce qui était purement religieux, et les pontifes, ils faisaient le pont entre les dieux et les hommes, pour traduire il faisait le pont entre la loi divine et le droit.) Les pontifes étaient les juristes de l’époque. Un droit religieux appliqué par des religieux. Ces prêtres ont été créés par le roi sabin Numa Pompinus

étant chargé de la prise des auspices, ce qui signifie que celui-ci doit interpréter les signes envoyés par les dieux en réponse à des questions posées par les magistrats. On apprend que Cicéron l’est lui même (il le devient en -53),il fait partie du collège des augures. Le prêtre priait Jupiter de lui envoyer des signes favorables. Il existait plusieurs sortes d’augures, il fait notamment référence ici aux augures Marses, pour appuyer le fait que l’art augural romain n’est pas de prédiction, ces derniers

au milieu de la Plèbe par son oncle Caius Marius, il refusa de répudier sa femme, Cornélie, fille de Cinna, comme l'exigeait Sylla, un général et important homme d'état romain. Il se rendit à Rhodes où il étudia la rhétorique et fut élu au collège des pontifes. Rentré à Rome en 78 av J.C, après la démission de Sylla, il entreprit une brillante carrière politique: questeur en 69 av J.C, édile curule en 65 av J.C, puis gouverneur en Espagne, il se joignit aux forces de Pompée et de Crassus pour

Papes de Rome. Confondus dans les institutions de l’Antiquité, les pouvoirs temporels et spirituels ne faisaient qu’un, souvent dans la main d’une même personne. Moïse livrait les lois divines, le pharaon était roi et dieu tout ensemble, les pontifes créaient le droit à Rome et en Grèce le « prêtre du foyer public portait le nom de roi »[1]. Au témoignage d’Aristote (Politique VI, 5, 11) « Le soin des sacrifices publics de la cité appartient, suivant la coutume religieuse, non à des prêtres spéciaux

est le petit-fils de Numa Marcus, gendre de Numa Pompilius et premier pontife romain, donc lui aussi un Sabin. Ancus Marcius, appartenant à la gens Marcia, était donc le petit-fils ou l'arrière-petit-fils de Numa Pompilius. Un roi pieux Dès le début de son règne, Ancus charge le grand pontife de mettre par écrit les révélations des Commentaires de Numa, il agrandit le temple de Jupiter Férétrien et instaure le collège des fétiaux. Surtout, Ancus restaure les pratiques religieuses négligées