Collège des pontifes

guide la société est désigné par le terme fas (étymologiquement ce que les dieux ont dits). Organisation générale du monde est donc celui qui doit guider la société romaine. Ce qui est permis et défendu aux hommes, contrôler par le collège pontifes. Les pontifes contrôlent aussi le ius (rituellement pure, conforme aux prescriptions rituels, idée de rectitude, c’est donc liée au religieux). Cette notion va servir à désigner au sein de l’ensemble des règles, celles qui sont permises par la cité

pour symboliser son pouvoir. --> œuvre de propagande • Auguste de la Via Libicana : retrouvé sur la Via Libicana qui était une voie romaine partant de Rome vers le sud en 1910, représenté en tant que Pontifex Maximus (grand prêtre au collège des pontifes) pour représenter son pouvoir religieux qu’il a en plus de son pouvoir politique • Augusti Aureus : première monnaie imprimée après qu'Octave adopte son titre d’Auguste et qu’il devienne empereur, sur la face est représenté la tête d’Auguste

à -509) : Commence avec la fondation légendaire de Rome par Romulus er Remus et s’achève avec la chute du dernier roi, Tarquin Le superbe. Durant cette période, dt et religion ne sont pas distinct : la connaissance du dt est entre les mains des pontifes (prêtres) qui ont la maîtrise du calendrier judiciaire, ils déterminent les jours fastes (fas : ce que les dieux ont dit ou permettent) durant lesquels ont peut plaider. A contrario, les jours néfastes, tout procès est impossible. Le droit est réservé

dans les lois au sens large. Paragraphe 2 : La force des lois : La loi des XII Tables, les lois publiques, les plébiscites, les sénatus-consultes et les constit impériales.Aux origines la loi était connue des seuls pontifs. Le droit civil était caché dans le sanctuaire des Pontifs. Cette situation est apparu comme anormale aux romains au bout d’un certain temps. Ils ont réclamé que soit rendus publiques toutes les règles qui régissaient leur vie sociale. C’est la plèbe romaine qui réclame cela

juridique « jus » qui ne sont pas clairement démarqués. Le droit primitif est un droit imprégné d'éléments religieux et c'est pourquoi sa connaissance et son interprétation sont entre les mains exclusives du collège des prêtres (parce que les plus compétents), ils sont appelés les « pontifes ». Ce droit archaïque est entièrement du droit civil « jus civilé » ce qui signifie que les règles du droit ne concerne que les seuls citoyens romains appelés aussi les « quirites » d'où l'appellation « droit

lynchage rituel B/ Les pontifes et la procédure des actions de la loi LES PONTIFES Le caractère sacré du droit se voit dans le fait que la vie juridique et religieux est contrôler par le même collège = les pontifes Les pontifes font partis des patriciens, c'est-à-dire les personnes qui constituent la classe supérieure à Rome et sont aussi prêtre *Le nom pontife désigne littéralement : faiseur de pont, ceux qui construisent le chemin 15 pontifes sont chargés de conserver

pour permettre d'entreprendre les réparations, l'État se portait caution, à moins qu'un particulier n'assure les couverture de ces frais. L'administration suprême des temples de Rome, et de tout ce qui s'y rapportait, était un privilège du collège des pontifes. On appelait Aeditui les hommes chargés de la gestion directe et quotidienne des temples.

disparait en 476 après JC et l’empire byzantin. Droit inspiré à ce moment.Le droit était le monopole des pontifes (prêtre monothéistes), à l’époque les romains leur religion : paganisme. Seulement eux pouvaient rendre justice. Les jour fastes (peu faire procés) et jours néfastes (peu pas faire de procès.) A cette époque on distingue le fas ( droit des pontifes) et le us qui va échapper aux pontifes. Cette évolution va être accéléré par la royauté qui ne trouvent pas normal que seul prêtre connaissent

de l'etat, un grand nombre de concession seront faite, et cela malgrès une oppositions du partie de gauche - La rente annuelle attribuée en dotation au pape ( 3 250 000 livres). - Le respect d'un grand nombre de "prérogatives du souverain pontife et du Saint Siége". - l'indépendance des prélats et la supression du placet. - La promesse d'une grande sévérité contre les outrages à a la personne du pape et des ministéres du cultes et la garantie de toute liberté de discussion religieuse

Cette bulle fut lancée à l'occasion d'un concile de prélats français réunis à Rome. Elle proclamait la suprématie de l'Église sur l'État, et ce qui en découlait, autrement dit l'obligation pour toute créature humaine de se soumettre au souverain pontife. Il ne semble pas que ce texte soit de nature normative. En effet, le contenu fut intégré au Corpus Iuris Canonici et reprend beaucoup de passages, d’extraits et d’idées de Thomas d'Aquin, Hugues de Saint-Victor et les lettres d'Innocent III