Comique Critique Religion

d’idées Opinion de l'auteur exprimer directement Genres : l'essai, le traité, la lettre ouverte, l'article, la préface, le manifeste, le discours. Faire l'éloge, le blâme, le réquisitoire, le plaidoyer. Les registres Registres non comiques Un registre épique (glorifie un héros dont ses exploits suscitent l’admiration, le thème du combat est essentiel). L'épopée (présent partout). Indices : champ lexical du combat ; antithèses; procédés d’amplification comme les hyperboles, les

connu comme l’auteur de L’Autre Monde 1655: mort á Sannois, chez son cousin. Le curé de Sannois déclare dans le certificat de décés qu’il est mort ’en bon chrétien’ Un précurseur des philosophes de lumières Différents éditions: 1657: L’Histoire comique contenant les Etats et Empires de la lune son ami a expurgé le texte originale de ses passages les plus scandaleux (raisons réligieuses)  ainsi: c’est seulement grâce á deux manuscrits conservés á Paris+Munich que nous connaissons á quelque variantes

le poète et le prince ? Dans l'histoire de la littérature française, Boileau réalise un fantasme, celui de devenir poète princier, au service du prince. Tout comme Racine et Molière. Molière écrit toutes ses pièces pour le roi. C'est le premier critique au sens moderne. Il fait un méta-discours, de la méta-poésie. → Cette oeuvre n'est pas aussi admirée que celle de Racine. Mais pourtant Boileau est l'ami de ces gens. Son oeuvre a le privilège d'incarner le classicisme. Il incarne un art non-personnel

telles que l’ironie et le burlesque pour critiquer entre autres la société de l’Ancien Régime et les institutions religieuses. Par exemple, dans la scène de l’autodafé, l’auteur ridiculise cette cérémonie sacrée en y introduisant des antiphrases (« bel autodafé ») et en présentant l’événement de manière vulgaire (« fessée »). En général on se demandera quelles armes littéraires un auteur peut utiliser dans une « composition légère » pour critiquer la religion, la politique et la société. Nous étudierons

l’Univers. Ils souhaitent se détacher de l’influence de la religion et opèrent ainsi une transition avec le Moyen-Age. Parmi eux, François Rabelais s’interroge notamment sur une certaine forme d’éducation, celle utilisée dans les Universités au Moyen-Age. Il publie Gargantua en 1534. Dans le roman, Rabelais nous fait suivre les aventures de Gargantua, un géant grotesque. Le roman suscite de nombreuses réactions. Un critique déclare notamment que « Tout en donnant la parole à une

et au statut même de la comédie chez les théoriciens classiques. On distingue habituellement trois périodes au dix-septième siècle. De 1590 à 1623, c’est une période relativement faste pour le théâtre et le genre comique en particulier : la fin des guerres de religion, le renouveau de la création, une plus grande liberté sociale et politique laissent libre cours à un théâtre relativement varié, avec en tout cas très peu de règles, et une place importante donné au théâtre de foire, itinérant 

bien qu’absents, semblent bien être les véritables protagonistes de la pièce. Cette scène d’exposition est originale et fantaisiste, peu conventionnelle, construite à la fois sur des effets de symétrie et d’opposition. Elle est aussi une scène comique puisqu’elle présente deux personnages grotesques, deux fantoches, Maître Blazius et Dame Pluche. Mais des ombres planent : les portraits des protagonistes semblent trop parfaits et l’éducation de chacun d’eux semble les éloigner l’un de l’autre. En

Tartuffe | | Le mot satire vient du mot latin satura qui désigne une macédoine de légume. La satire a un double but : faire rire et critiquer. Il y a donc une idée de mélange (comique et sérieux). Il s’agit de corriger les mœurs en souriant. La satire est à son apogée au XVIIe siècle car il y a une volonté, une indignation. Le Tartuffe : plaire et instruire Mélange de comique et de sérieux que l’on retrouve dans les 3 fils principaux de l’intrigue : ▪ L’amour des 2 jeunes gens ▪ L’amour de

classique : comique avec Molière et tragique avec Racine, deux des dramaturges les plus renommés de l’époque. Cet art, bien que réputé, voit souvent naître des querelles à son sujet, et il n’est pas rare que les dramaturges est à faire avec la censure qui interdit la représentation de leurs œuvres. C’est le cas de l’Ecole des femmes de Molière, qui connaît de vives critiques dès sa première représentation en 1662. Les dévots s’insurgent contre une forme d’irrespect envers la religion et des allusions

célébrité. Molière obtient du roi la salle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. « Tartuffe », jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, « Dom Juan » suscite également des remous (accusé d'athéisme militant par la Compagnie du Saint-Sacrement)