Comique La Bruyère

n’entrent en jeu. Ce récit relate l’histoire d’une vieille dame qui, toute à ses dévotions, pose une bougie sur le front d’un soudard endormi dans une église. Il s’agira principalement d’étudier le comique du récit et quelle place celui-ci occupe-t-il dans l’économie de l’ouvrage. I Un récit comique A/ Chronotope Toutes les indications sur le temps et le lieu du récit nous sont données (alors que le récit est en lui-même très court), et celles-ci sont importantes. • Le temps : l’été (« au

· Pb : Pourquoi peut-on dire ce tx vise non seulement à plaire mais aussi à instruire ?2) Faites les repérages et remarques nécessaires pour compléter l’explication . I. Un récit divertissant, comique a) La disproportion entre l’infiniment grand et l’infiniment petit (Pascal, Pensées , cf étude chap I)  : ProcédésCitationsAnalyse

seize ans lorsqu’il passe son baccalauréat. L’année suivante, Edmond Rostand écrit une pièce restée inédite, Les Petites manies, où il dresse une série de portraits de personnes ridicules et insupportables, ainsi qu’une nouvelle intitulée Mon La Bruyère. Pendant ses études de droit, Rostand, commence à écrire des poésies lyriques. Pour avoir disserté sur Honoré d'Urfé et Émile Zola, deux romanciers de Provence, il remporte en 1887 un prix de l'Académie de Marseille. Il a vingt ans, lorsque le théâtre

Qu'est ce que le classicisme ? Dans l’histoire littéraire Française, l’époque classique se limite à la période du règne de Louis XIV. Cette période est illustrée par Molière, La Fontaine, Boileau, Racine, Bossuet et La Bruyère. Les caractéristiques du classicisme sont l'admiration des anciens (humanistes), la rigueur de la composition, la recherche de naturel et du vraisemblable, le goût de la juste mesure, la finesse de l’analyse morale et psychologique, la pureté et la

conversation » maxime 9 ; LB = moraliste et noble Date – Mouvement littéraire 1688 – XVIIe => Classicisme Genre Romanesque ; argumentation Type(s) Narratif ; descriptif (caricatural + blâme = portrait péjoratif) Tonalité(s) dominante(s) Comique ; satirique ; polémique Résumé et premières impressions (4-8 l. max.) À faire dans le cahier avec des phrases telles que : « ce texte est… » ; « ce texte parle de… » ; « Je ressens dans le texte » ; « j’ai l’impression que… »Rappel : le Classicisme

produit du classicisme qui n'a rien à voir avec les tragédies antiques. Corneille, c'est surtout un tragique comique ( Honneur et gloire ) + proche de la société baroque. La Fontaine, modèle parfait du classicisme. ( Plaire et instruire ) 17ème : Le statut individuel à l'intérieur d'une société humaine. L'âge des moralistes ( mœurs des contemporains). La Rochefoucauld , Pascal, La Bruyère ( moraliste avec de l'humour ) 17ème : grand siècle de la morale. Le comportement individuel dans une société

entièrement comme pour un commentaire. ⇨ Pb : Pourquoi peut-on dire ce tx vise non seulement à plaire mais aussi à instruire ? 2) Faites les repérages et remarques nécessaires pour compléter l’explication. I. Un récit divertissant, comique a) La disproportion entre l’infiniment grand et l’infiniment petit (Pascal, Pensées, cf étude chap I) : |Procédés |Citations |Analyse / effets produits

sociales ? Maîtres et esclaves peuvent-il s’aimer ? Il s’agit d’une comédie sociale qui souligne les tensions entre l’aristocratie et les domestiques. Marivaux atténue cependant la violence de sa critique sociale par la distanciation via l’utopie, et le comique farcesque, cette pièce étant ponctuée par les plaisanteries grivoises d’Arlequin. Analyse issue de L’île des esclaves : L’île des esclaves, scène 1 L’île des esclaves, scène 6 L’île des esclaves, scène 10 L’île des esclaves, scène 11 Qui est Marivaux

synthétique. 5) Comment l’écriture théâtrale de ces trois extraits incarne-t-elle l’affrontement ? 6) Caractérisez ces textes destinés à la scène, et précisez succinctement ce qui les distingue. 7) Etudiez les différentes formes de comique présente dans cette scène. 8) Quels sont les éléments communs aux trois textes (situation, personnages, …) ? 9) Comment s’établit dans chacun d’eux la complicité avec le spectateur ? 10) Après avoir montré comment Anouilh joue ici

plus que parfait / on a aussi du futur de l’indicatif, du participe présent, du participe passé et du plus que parfait du subjonctif è les différents temps des verbes donne une grande vivacité au texte è aucune descriptions lente C. La dimension comique du récit - Le loup est obligé de se conduire en courtisan face au chien alors que sa nature implique plus de noblesse, d’agressivité et d’instinct - Rime « humblement » / « compliment » è rabaisse le loup - Répétition de sens « aborder »