Comique Moderne

le plan de roman de chevalerie : naissance (chapitre 6= dimension mythologique, démesure), enfance (chapitre 11= manque d'éducation), éducation( chapitres 14- 16, 21-24 ), expérience (chapitre 17= Paris) et prouesses du héros (chapitre 36= effet comique). -Naissance= 2 chapitres (VI et VII) c'est peu pour une partie. .25 premiers chapitres= Gargantua mit au centre : naissance, enfance, éducation. On peut alors faire un parallèle

Misanthrope, Dom Juan, le Malade imaginaire, etc.) ; Corneille et Racine, des tragédies non moins fameuses (par exemple, le Cid, pour le premier, Phèdre, pour le second). • Le théâtre baroque, lui, n'hésitait pas à mélanger dans une même pièce le comique et le tragique. C'est ce qui s'est fait à nouveau, à l'époque romantique, époque à laquelle Victor Hugo a créé le drame. Au xxe siècle, Antonin Artaud a appelé de ses vœux un théâtre total qui associe tous les arts : musique, chant, danse, cinéma…

écriture de ces textes n ont rien changé à la définition des registres. Ce qui faisait pleurer à l époque de Molière fait toujours pleurer aujourd’hui, et c’est équivalent pour le registre comique .Il est donc évident que les pièces qui ont été écrites au 17eme siècle sont toujours d actualité et que leur aspect comique ou dramaturgique soit encore valable à notre époque. Les auteurs des pièces ne donnaient pas de précision sur les décors de la pièce, les costumes ou encore les gestes des acteurs dans

Bruyère est un écrivain classique, qui a pris le parti des Anciens contre les Modernes. Son œuvre majeure est « Caractères », où il critique son époque et les genres humains, puisqu'il les présente tous dotés d'un défaut. Son texte est un portrait caricatural, qui s'achève par une anecdote, caricature du bavard frimeur, mais qui est aussi une distraction pour le lecteur par sa chute. 1-le personnage 2-l'intérêt comique I. LE PERSONNAGE A. Son omniprésence ~ L'auteur met l'accent sur le

situations ? Pouvons-nous traiter de sujets graves et sérieux sur le mode plaisant ou humoristique en faisant abstraction de nos émotions ? Ce symptôme non moins digne de remarque, l’insensibilité qui accompagne d’ordinaire le rire. Il semble que le comique ne puisse produire son ébranlement qu’à la condition de tomber sur une belle âme humaine. L’indifférence est son milieu naturel. Le rire n’a pas de plus grand ennemi que l’émotion. Je ne veux pas dire que nous ne puissions rire d’une personne qui

langues sont mélangés car l’on peut passer de la vulgarité (« salaud » Hamm) a un langage plus soutenu voire philosophique (« petit plein perdu dans le vide pour toujours dans le noir » Hamm). A ceci s’ajoute le fait que l’auteur mélange les registres comique et tragique. On peut illustrer cela par la blague que fait Nagg sur le tailleur alors que lui et sa compagne sont cul-de-jatte. Et certaine fois, la logique se perd et les paroles perdent leurs sens comme le fait que Mme Pegg serait morte, faute de

scène d'exposition surprenante et originale On s'attend à un registre tragique mais on a beaucoup de comique dans cette scène. A. Décors · Importance de l'éclairage : "nuit d'orage" et "éclair de chaleur" => atmosphère sinistre, presque irréel. · Décors anachroniques : "hautes murailles", "tam-tam" => il n'y avait pas ces décors dans l'Antiquité (rappelle les débuts de Hamlet). B. Comique · Attitude des personnages : o Le soldat est paternel : "allons... allons... ne pleurons plus...Calmons

péripéties et le dénouement. Elle com­porte ordinairement un, trois ou cinq actes ; un langage proche de la conversation : que la comédie soit en vers ou en prose, chaque person­nage s'exprime selon sa profession et son rang social ; un registre comique ; l'exploitation de thèmes liés à l'amour, au mariage, à l'éducation, à l'argent, à l'évolution de la société ; une attention portée par l'auteur aux jeux de scène ; des fonctions de divertissement, des fonctions pédagogiques et morales. La comédie

inconscient on peut dire que Alfred Jary le transforme en personnage grotesque par le biais de différents procédés comiques. Tout d'abord, on peut rappeler que cette pièce devait être jouer par un théâtre de marionettes (de guignols) où la gestuelle et les répétitions occupent une place importante dans le jeu de la farce. Dans cette scène on assiste donc à une insistance particulière sur le comique de geste d'Ubu, excessif dans sa violence, mais aussi de la part des nobles "qui se débattent en vain". Les

il m'a fait l'effet d'un clown ! C'était pitoyable... Et surtout dans la scène 2 lorsqu'il baigne dans un éclairage verdâtre tout en hochant et répétant ce « Monsieur » à Oronte... A.- Ah, mon cher, c'est une mise en scène peut-être un peu trop moderne pour une institution comme la Comédie française. II fallait bien montrer d'une manière ou d'une autre que le misanthrope est hanté par ce code de l'honneur de la sincérité absolue, et que toutes les déambulations des personnages ne sont que l'expression