Comique Moderne

correspondant a une étape importante dans le déroulement de l’action (théâtres classiques : 5 actes) Scène : partie d’un acte dans lequel il y a une entre ou une sortie d’un personnages. Tableau : changement de décor (plus utilisé dans les pièces modernes) Epilogue : conclusion souvent sous la forme d’un texte ajouté. 2) Les phases de l’action dramatique. Exposition : (ressemble à l’incipit pour un roman) la ou les scènes qui fournissent des informations sur les personnages de l’action (in

répartit en plusieurs répliques accompagnées de remarques approbatrices, sans rupture de ton: gaieté, énergie du jeu théâtral par la vivacité du rythme, la brièveté des répliques, le rôle des didascalies. - Les éléments du registre comique soulignent la critique: comique de langage: trait d’esprit de Figaro (« les plus coupables sont les moins généreux; c’est la règle.») expressions en écho («Elle a raison !/ que trop raison !») ridicule du personnage de Brid’oison par son nom, son expression burlesque:

l'homme. I) Une satire du pouvoir Le but de Ionesco est de fait de dévoiler et détruire les arcanes du pouvoir. Pour ce faire, il choisit le pouvoir du professeur sur l'élève. 1) Le pouvoir professoral Ionesco utilise toujours les mêmes procédés comiques qui consistent à grossir les traits de ses personnages jusqu'à l'absurde. Ils sont dès lors déshumanisés et réduits à de simples marionnettes. Introduction Amorce : Le XXe siècle est marqué par les traumatismes de l'histoire (deux guerres mondiales

C'est un poète utilisant énormément le registre comique et pathétique. Connu tardivement, il est apprécié non seulement pour ses qualités de poète, mais aussi pour ses talents satiriques. Guillaume APOLLINAIRE : 20ème Siècle, (1880-1918). Poète auteur du Bestiaire (1911), Alcools (1913). Adepte de l’ « esprit nouveau », ami des peintres Picasso et Derain, et du poète Max Jacob, il met en scène dans ses poèmes la ville et les inventions modernes, adopte et adapte toutes les nouveautés et les audaces

mieux en appréhender les enjeux. Cette comédie en cinq actes et en vers soulève le problème de la condition féminine, le mariage forcé, le manque d'éducation donnée aux femmes et leur soumission passant de l'autorité du père à celle du mari, sujets modernes et controversées au 17ème siècle. Molière y raconte l'histoire d'Arnolphe, vieillard obsédé par la peur du cocuage, tuteur de sa future épouse Agnès qu'il élève et modèle à son goût : naïve, sotte, ingénue et innocente. Malgré tous ces efforts pour

adolescents. Aussi, de nombreux films sont sortis sur ce sujet que sont les conflits entre générations. Mais les films qui illustrent ce rapport sont surtout modernes tels que 15 ans et demi, où un père séparé de sa femme peine à avoir de bons rapports avec sa fille en pleine adolescence. Il ressort du lot une autre notion beaucoup plus moderne que sont les "parent-poules". Cependant, même si cela est beaucoup plus rare, il existe également les enfants qui, devenus adultes, refusent de quitter le nid

problèmes de société de l’époque comme la prostitution et l’endettement. Bien que les scènes soient anciennes, le spectateur trouve des liens avec la société d’aujourd’hui : l’esclavage moderne, le désir de l’argent… C’est une représentation théâtrale engagée qui dénonce ces pratiques immorales. La présence du registre comique et satirique dans les paroles condamne violement ces comportements humains. D’autres procédés prouvent la lutte contre l’esclavage et la traite des nègres : les costumes et le jeu

sur scène les fantaisies les plus débridées qu’il refuserait dans la vie réelle. Ouvrages consultés : Diderot, Paradoxe sur le comédien P. Larthomas, Le langage dramatique PUF M.C. Hubert, Le théâtre Armand Collin M. Lioure, Lire le théâtre moderne Dunod P. Brook, oublier le temps Seuil Un genre conventionnel:1.Au dix-septième siècle, les auteurs reprennent les règles aristotéliciennes : ·la vraisemblance : « l’esprit n’est point ému de ce qu’il ne croit pas » précise Boileau dans son

LEXICALE 1. le substantif {( rire» (source: Alain Rey, Dictionnaire historique de la langue française, 1995) • Le verbe " rire » est attesté en français depuis le XIe siècle. Dès son apparition, il signifie « rire », puis « sourire» dans le sens moderne que nous lui connaissons. Le substantif cc rire )} est attesté depuis le XIIIe siècle et traduit l'action de {( rire », • La lecture des notices de dictionnaire montre la multiplicité des emplois du verbe et du substantif " rire"; cela traduit à

les différents types de comique pour faire rire le spectateur. La farce et le théâtre de boulevard sont deux sous-genre encore plus spécialisés dans ce rôle de distraction. Ainsi, dans les Fourberies de Scapin, Molière met en œuvre différents moyens pour provoquer l'hilarité du spectateur : à la scène 7 de l'acte II, le comique de répétition est utilisé, avec la fameuse réplique de Géronte « Que diable allait-il faire dans cette galère » ; à la scène 2 de l'acte III, le comique de geste est utilisé