Comique Sérieux

l’acte II, scène 2 de Boubouroche, texte de registre comique écrit par Georges Courteline au XIXème siècle. L’auteur écrit pour le théâtre et a un véritable talent de caricaturiste. Ce passage nous montre le personnage principal, Boubouroche, entrant en scène, après avoir appris qu’il était trompé, pour surprendre Adèle avec son amant. Comment cette scène permet-elle de faire une critique de la bourgeoisie ? Cette scène est une scène de théâtre comique classique mais qui grâce à la satire permet une

depuis l'Antiquité. Elle a désormais perdu de sa signification religieuse pour remplir pleinement d'autres fonctions : divertir et instruire. est ce que la conception du genre t"de" Beaumarchais est la même que celle de toutes les pièces de théâtre comique. Pour répondre a cette problématique Nous verrons d'abord la comédie "de Beaumarchais", puis nous étudierons la comédie en général. Nous utiliserons pour cela Le mariage de Figaro de Beaumarchais, pièce écrite au milieu du XVIIème siècle : l'âge d'or

mécanique plaqué sur du vivant »  L’homme rit de personnifications d’objets, de choses (l. 10-11)  Bergson évoque le personnage du clown qui fait sourire (XIXème siècle) (l.25-30)  Bergson évoque la topologie des différents comiques : comique de situation, comique de geste, comique de caractère  Le rire a besoin d’un public (l.26-28)  Le rire est associé aux éléments de la vie « le mécanisme plaqué sur du vivant » Daniel SIBONY 22 août 1942 Ecrivain et psychanalyste français « Le sens du

LE RIRE, de Bergson. Chapitre 1 Du comique en général Dans ce premier point du premier Chapitre, Bergson rappelle et montre que le rire est proprement humain, qu'il n'y a que lui qui sache rire ou faire rire. Si l'on rit d'un animal, ou d'un objet c'est d'après lui parce qu'on lui trouve une ressemblance dans son attitude ou dans son apparence. L'homme est donc définit comme un "animal qui sait rire" et qui fait rire. Bergson va également dans ce chapitre, montrer l'importance de "l'insensibilité"

représentations de celui-ci, le public s'esclaffe beaucoup. Nous allons donc étudier le comique dans cette pièce, c'est à dire en quoi elle fait rire le spectateur, l'amuse et le divertit. Nous analyserons dans un premier temps les différentes formes de comique présentes. Dans un deuxième temps, nous montrerons que Don César est le personnage comique par excellence. Pour finir, nous verrons pourquoi un drame peut être comique. De nombreux éléments appartenant au genre théâtral qu'est la comédie

entreprise dans l’écriture du roman et dans lequel il demande au lecteur de ne pas se fier aux apparences. Quel mode de lecture et de pensée demande le narrateur ? Dans un premier temps nous verrons que ce prologue est l’introduction d’une œuvre comique, puis dans un second temps, nous travaillerons sur les intentions sérieuses de ce prologue, et enfin nous traiterons que Rabelais propose ici un modèle de lecture humaniste. Comme le rappel l’auteur dans son avis à l’attention des lecteurs, « Le

maîtres pour un moment. Dans cette partie de l’œuvre, Arlequin ( valet de Dorante ), entre chez Silvia et demande à la voir elle et son père. Alors en quoi ces deux scènes montrent le comique de la pièce ? Dans un premier temps je parlerai du comique de situation, et enfin dans un second temps j'exposerai le comique de caractère des personnages. Dans cette pièce les déguisements de chacun sont inversés, et tous essayent de jouer leur rôle à la perfection. Cependant, tous gardent une partie de leurs

caractères gothiques (utilisés jusqu’au XVIème siècle) ce qui le présente comme un vieux roman. I. Contexte historique Toute tragédie repose sur des thèmes + généraux. Ouvrages comiques vieillissent moins bien. Comique = ce qui fait rire. Donc suppose vue commune entre celui qui fait rire et celui qui rit > comique d’initié. Rabelais évoque beaucoup les œuvres de droit. II. Rire jamais gratuit Fait rire sur un prof de droit, défend une vision du droit. Retour aux sources. Humanisme évangélique

linéaire exhaustive et une conclusion.Extrait:Au fond Alceste n'est qu'un rôle – rôle dont il n'a pas conscience – et qui, au regard desautres, est comique, quand lui se croit un personnage tragique. Il y a donc une sorte d'héroï-comique (contraire du burlesque) : Molière fait en sorte qu'Alceste prenne au sérieux ce qui ne le mérite pas. Ce comique qui frappe Alceste permet à Molière d'exprimer la supériorité de Célimène sur Alceste et d'aggraver le malentendu fondamental entre les deux personnages

(parodie = imitation moqueuse) dans une scène galante. Problématique : comment cette scène s’inscrit-elle dans le cours d’humanité, c’est à dire en quoi peut-elle corriger les maîtres ( et le public). En quoi cette leçon reste-t-elle dans le registre comique ? Méthode : nous allons étudier cet extrait, assez long, en lecture méthodique suivie . LECTURE ORALE. Composition : cet extrait comporte deux parties : d’abord, les valets mettent en place le jeu et imposent leurs règles ( jusque Arlequin : « Remarquez-