Comité interministériel des villes

sont étrangères à leur propre culture : éléments de doute venant troubler une construction basée sur des certitudes et irriguée par celles-ci. De plus, la composante technique du Droit (réglementation, et surtout les arrêtés ministériels et interministériels pris au niveau national) est souvent élaborée par des ingénieurs, et cela peut occasionnellement poser problème au niveau de la forme en raison de l’inégale maîtrise de la dimension littéraire par cette corporation. A défaut de prétendre combler

L’AFD soutient, avec le ministère des Affaires étrangères d’en contrôler l’application. L’expérience française montre et le Groupe de recherches et d’échanges technologiques que, loin d’une solution unique, il existe en ce domaine une (GRET), le Comité foncier et développement11, qui réunit variété de solutions. L’AFD appuie une grande diversité des acteurs divers et pluridisciplinaires, en vue de la de montages, le réalisme imposant d’ajuster les objectifs reconnaissance et de la sécurisation

réseaux d’éducation prioritaire (REP)(19). Les CLAS s’articulent dans certains cas, depuis la rentrée 2007, avec le dispositif d’accompagnement éducatif géré par les écoles élémentaires et les collèges. Ce dispositif interministériel et contractuel est encadré par un comité de pilotage national et se décline au niveau départemental. Les associations et les collectivités locales qui souhaitent y prendre part (et donc bénéficier de financements dans ce but) présentent un projet chaque année

risque de non fonctionnement et un coût de l’augmentation publique. Donc les services publics doivent être géré par une logique de performance, et les pouvoirs publics s’interroge sur les départements qui sont sous l’œil du pouvoir. Le rapport du comité Balladur n’envisage pas le rôle du département qui va diminuer considérablement, au profit des régions et Métropole. L’idée des pouvoirs publics est de valoriser les régions françaises pour les mettre au même niveau des grandes régions des autres

a provoqué d’énormes problèmes dans les infrastructures et dans l’approvisionnement des services dans les villes qui ne disposaient pas de fortes assises économiques (Rousseau et Al, 1998). En Haïti, le contraste existant entre l’urbanisation et la désarticulation de l’économie semble être à la base de la dégradation de l’environnement et de l’éclatement du tissu urbain des grandes villes et de la région métropolitaine en particulier. En effet, la crise économique sévissant dans le pays, depuis

attractives pour les start-up et entreprises TI offrant une M infrastructure et des services généraux et d’accompagnement de qualité ; •  l’image du Technopark de Casablanca, 8 nouvelles implantations potentielles ont été identifiées A dans les villes suivantes : Casablanca, Rabat, Agadir, Oujda, Tanger, Marrakech, Fès et Meknès. * cf. Pacte National pour l’Emergence Industrielle, mesure 57 M a r o c N u m e r i c 61 Stratégie nationale pour la société de l’information et l’économie numérique

de l’administration de l’Etat. Il a aujourd’hui récupéré une direction qui lui permet de piloter l’ensemble des systèmes d’information de tous les ministères. De plus, il a récupéré la gestion des directeurs et des directions départementales interministérielles. c. Le Conseil d’Etat C’est la juridiction supérieure de l’ordre administratif ; c’est l’ordre juridique du gouvernement. Tout projet de loi, d’ordonnance, de décret doit être soumis pour avis au Conseil d’Etat mais les formations qui

œuvre. Cette info s'appuie principalement sur 2 outils : bulletin d'info générale des collectivités territoriales : ne doit pas poursuivre un but autre que l'intérêt public local ; les conseils de quartiers : rendus obligatoires au sein des villes de 80 000 habitants et plus (loi de démocratie de proximité 27 février 2002). → faire renaître le lien social, désenclaver certains quartiers. Ces conseils portent l'info municipale. On espère qu'ils puissent faire remonter les préoccupations des

56 nouveau avec les établissements d’enseignement supérieur, tandis que le ministère de la Recherche et de l’enseignement supérieur s’efforce d’apporter des éléments de simplification de la gestion des laboratoires. Les crédits de la mission interministérielle Recherche et enseignement supérieur (MIRES) ont connu une progression considérable depuis le début de la législature. Entre la loi de finances initiale pour 2007 et le projet de loi de finances pour 2011, l’augmentation a été de 4,14 milliards

nationaux. Deux facteurs au moins justifient cette situation. Premièrement, le processus des privatisations est conduit exclusivement par les appareils de l’État : le comité interministériel mis sur pied par le Chef de l’État est composé uniquement de membres représentant divers départements ministériels et, dans une certaine mesure, le comité technique de la Mission de réhabilitation des entreprises publiques, organe permanent. Dès lors, le processus de privatisation est mené essentiellement par des personnes