Comme un seul homme

d’espérer pour entreprendre » p. 48 : « Se vaincre soi-même plutôt que le monde » (Descartes) Troisième partie (p. 51-56) : l’existentialisme prône l’action p. 51 : « l’homme n’est rien d’autre que l’ensemble de ses actes » p. 52 : « Un homme s’engage dans sa vie, dessine sa figure, et en dehors de cette figure, il n’y a rien. (...) Le génie de Proust, c’est la totalité des oeuvres de Proust » (sous-entendu : Proust n’est pas plus que l’ensemble de ses actes, c’est à dire, pour ce qui est

Un bébé … Un homme … Le reconnaissez vous ? Il s'agit de Guy Georges. Surnommé «le tueur de l'est parisien», il est identifié par des analyses génétiques, après plusieurs mois de psychose dans les quartiers de la Bastille et de la place de la République. Interpellé à Paris le 26 mars 1998, il est mis en examen notamment pour sept meurtres précédés de viols, commis entre 1991 et 1997. En avril 2001, il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Constant, il soumet ses

Singen. Il est étudiant à l’école des arts décoratifs de Dresde quand la guerre éclate en 1914. Il va s’engager comme volontaire dans l’armée allemande .IL va recevoir une rapide formation de mitrailleur et va participer aux batailles en Champagne, dans la Somme et en Russie et il sera blessé plusieurs fois. Après la guerre il va devenir professeur d’art. Ses œuvres sont considérés comme « dégénérés ». Il est persécuté par les nazis. Elles sont retirées des musées voir brûlées et certaines exposées

toujours, il semble que l'homme soit à la quête du bonheur ! Car en effet, c'est le bonheur et lui seul qui pourrait nous rendre heureux. Ainsi l'on remarque que cette quête tant convoitée soit l'affaire de tous, cependant elle n'en demeure pas moins égoïste. Il est vrai que chaque individu recherche son propre bonheur et non celui de son voisin. Néanmoins, on remarque par l'inverse que l'Homme ne vit jamais seul. Ainsi on se demande comment pourrait-il trouver son bonheur sans trouver celui de sa famille

arrivé à cette situation de solitude lorsqu’il a assassiné sa femme, ses deux enfants et ses parents, car ils allaient découvrir qu’il leur mentait depuis 18 ans  Carrère montre la solitude de son personnage (JCR) en évoquant les journées qu’il passait seul, dans sa voiture, dans des lieux isolés («passer toutes ses journées sans témoin» ; «devant lequel se trouve un parking où il stationnait souvent»). / L’évocation d’une lettre d’instructions de la part de JCR pour guider Carrère montre la présence

1) Le vieil homme est sortit dehors pour prendre l'air, voir la ville, en sortant l'une des femmes lui dit de faire attention aux voleurs d'enfants. Il trouve la ville immense et il a peur de se perdre. Dans son ancien village il n'y avait qu'une rue ce qui du coup lui change. Au bout d'une heure il s'assoit sur un banc en face d'un parc. Soudain un homme s'assoit sur le banc, et il regarde monsieur linh et sa petite fille. L'homme parle à monsieur linh mais il ne comprend pas du coup l'homme lui

découvre la personne de Georges Duroy, un homme pauvre, simple ouvrier de chemin de fer, réduit à compter son argent en fin de mois pour manger, comme il l'est précisé dans l'incipit, à la ligne 17 « ...il lui restait trois francs quarante pour finir le mois. Cela représentait deux dîners sans déjeuners, ou deux déjeuners sans dîners, au choix. ». Par ailleurs, Duroy est un homme seul, à la recherche « d'une rencontre amoureuse », (l.63 de l'incipit.) et dont les seules aventures surviennent avec des prostituées

fortuites, dispensées et appropriées : l’homme, c’est différent d’un homme même si chaque homme est un exemplaire du genre homme - l’inconscient n’est pas l’inconscience I. la conscience une caractéristique distinctive, essentielle et commune : si l’ensemble des choses se réduit à une matière inconsciente , si l’animal existe en soi, avec une conscience immédiate plus ou moins claire de ce qui l’entoure, l’homme est le seul être doué d’une conscience réfléchie, d’une conscience de soi, débouchant

s’est jusqu’ici guère interrogé sur le sens de sa vie, et Jean, son ami, homme d’ordre, qui lui reproche son laisser-aller. Soudain, surgit, au galop, un rhinocéros qui écrase un chat et disparaît. Puis, en sens contraire, passe un autre rhinocéros - à moins que ce ne soit le même (les avis des témoins - le patron du café, la ménagère qui a perdu son chat, l’épicière, un vieux monsieur – sont flous et contradictoires)-. Seul, Jean est formel et prétend que le premier, avec deux cornes sur le nez,

dépend pas de l'autre, et même plus, que l'un entrave, voire paralyse l'autre. La liberté est parfois vue comme une indépendance, une faculté d'agir selon sa volonté, supposant une absence d'obstacle et de règles. L'éducation, quant à elle, entend un enseignement, une intégration des lois sociales ainsi qu'une dépendance de formation du maître à élève. De même, la liberté est tantôt exprimée comme une satisfaction totale de ses désirs tandis que l'éducation attends une maîtrise de soi qui passe par