Comment Naissent Les Partis Politiques

Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, dont l’article 1er dit que « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 qui établit dans ses deux premiers articles que « tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits (.. .) sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, d’opinion politique ou de toute autre opinion… ». Le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1945 qui

confédéral quelques uns de ses traits spécifiques : la lutte des classes, la lutte quotidienne pour des améliorations immédiates mais aussi la lutte pour la disparition du salariat et du patronat, ainsi que son indépendance vis-à-vis des organisations politiques. Cette Charte est reprise aujourd'hui comme référence par la plupart des syndicats Idées-clés : Fin des conflits ? D’un côté, on observe une baisse de la conflictualité traditionnelle par la baisse du nombre de jours de grève, la désyndicalisation

_________________ __ L’homme est un être de désir. Hobbes, le fondateur de la philosophie politique, définit le désir comme un effort par lequel nous essayons toujours à rechercher ce qui contribue à la préservation de notre existence. Cela signifie qu’il y aurait nécessairement un conflit entre les individus. Puisque ce conflit est inévitable, il faut avoir ce qu’on appelle l’Etat, un corps politique qui assure le bon fonctionnement de la vie active les hommes entre eux. Mais si l’Etat a un pouvoir

livre : toute la présentation des journées de 1848. A l’époque, Marx est à Paris, il vient de publier son manifeste du parti communiste. Il agit dans la révolution mais il arrive en mars à Paris alors que la révolution a lieu en février. Il n’est jamais là au bon moment. Il donne des raisons économiques et sociales à ces journées 1848. Février 1848 à Paris et ses conséquences, comment s’est mise en place la Seconde République puis le printemps des peuples étendu à l’Europe. Enfin, échec de la République+Coup

(alors âgé de 41 ans) Naissance 28 juin 1712 République de Genève, Ancienne Confédération suisse Décès 2 juillet 1778 (à 66 ans) Ermenonville, Royaume de France École/tradition Contractualisme, précurseur du romantisme Principaux intérêts Politique, éducation, éthique, religion, musique, botanique Idées remarquables État de nature, contrat social, perfectibilité Influencé par Plutarque, Machiavel, Hobbes, Descartes, Locke, Malebranche A influencé Kant, Maistre, Robespierre, Wollstonecraft

stable et durable. Nous verrons successivement comment la Constitution apparaît comme un principe autoritaire qui permet de garantir la stabilité juridique (I) puis comment la Constitution apparaît comme un principe « miroir » de la société qui lui permet de s'inscrire dans une logique de durabilité (II). I – La Constitution : Un principe d'autorité au nom de la stabilité juridique : Dans cette partie, nous envisagerons successivement comment les règles de répartition des compétences (A) ainsi

moral avec un sentiment n'est pas complètement judicieux. Comment dans cette citation, Rousseau peut il soutenir l'infaillibilité de ce sentiment, « juge infaillible », parce qu'un sentiment anime l'empathie envers la souffrance de l'autre. Pourtant de nombreux évènements nous montrent que ce sentiment n'est pas toujours animé chez tout les hommes. En effet encore une fois si on affirme ce sentiment etant inné chez tout les Homme, comment expliquer alors la barbarie, les violences et la cuauté dont

ont affectées les structures sociales de la société médiévale à nos sociétés plus civilisées nous explique que les sources de la violence donc d’une des composantes de la structure émotionnelle de l’homme au même titre que d’autres étaient en grande partie due à la structure sociale même au sein de laquelle il évoluait. « Le caractère émotionnel du comportement était dans une certaine mesure, conditionné par des faits sociaux. On agissait en fonction de la société et on y trouvait son plaisir ». Ainsi

ca/index.htm Émile Durkheim (1910), “ La femme dans l’histoire.” 2 Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi à partir de : Émile Durkheim (1910) “ La femme dans l’histoire ” Une édition électronique réalisée à partir d'un texte d’Émile Durkheim (1910), « La femme dans l’histoire. » Texte extrait de la l’Année sociologique, n˚ 11, 1910, pp. 369 à 371. Texte reproduit in Émile Durkheim, Textes. 3. Fonctions sociales

Le roi tient une place à part dans la société médiévale occidentale, en effet, la complexité de son pouvoir réside dans le fait qu’il est à la fois roi et seigneur. En sa personne de roi, il ne fait pas vraiment partie de la société féodale, alors qu’en tant que suzerain premier, il se trouve complètement inséré dans cette organisation de la société. Il semble important de préciser que les statuts de roi et de seigneur, pourtant bien distincts, ne sont pas si éloignés : les puissants