Comment Protagoras Justifie T Il La Démocratie

GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE Chapitre 1 : introduction à la méthode et à l’histoire de la science économique Section 1: comment définir la science économique - Jusqu’en 1970-80 on parle en France d’économie politique - pas de définition universelle -les chercheurs avaient des objectifs différents: - comprendre la formation et la répartition de la richesse - analyser le choix des agents dont l’activité porte sur la production, l’échange et la consommation0 -on parle

politiquement. Cette soixantaine de familles ce sont les Géné. Ces Géné vont se considérés comme bien nés parce que appartenant à la descendance d'un demi-dieu, d'un héros grec. Ces Génés se considèrent donc comme des eupatrides, des bien nés ce qui justifie leur domination sur la Cité, ils imposent donc que tous les archontes soient des eupatrides or quand un archonte sort de charge et bien il est appelé à siéger dans un conseil qui a remplacé l'ancienne Boulê. À Athènes, ce conseil siège sur la colline

lois naturelles qu'on peut la maitrisée. -DESCARTE : 17ème siecle,grace à l'analyse et au respect de la nature on evolue. - Couple 2 : SUPERSTRUCTUREL : qui conditionne la vie politique et culturelle, ce que l'on voit ex: liberté, égalité, démocratie. La rationalité technique entraine une réalité capitaliste. liberté/ égalité : Dissocié elle ne sont pas moddernes ces valeurs, mais ensemble si. Le projet moderne est en faite la liberté égalitaire. la liberté doit etre égal pour tous et l'égalité

de sa vieNote 13,16,17. Athènes est au ve siècle le centre de la vie culturelle et est un lieu de passage obligé pour les personnalités du temps : l'historien Hérodote, les physiciens Parménide et Anaxagore, le médecinHippocrate, les sophistes Protagoras, Gorgias, Hippias, Prodicos14… On ignore quelle a été la formation de Socrate. Anaxagore et Archélaos de Milet lui ont été donnés comme maîtres par une tradition tardiveNote 14, mais ce n'est peut-être qu'une reprise du passage « autobiographique »

pluriel, se glisse dans toute la vie sociale, dans l’enseignement, l’exercice de la médecine, les relations au sein de la famille, etc. On parle même d’un pouvoir sur soi. - Comment le Pouvoir s’exerce-t-il ? Par quels moyens obtient-il une obéissance, qui peut aller parfois jusqu’à l’acceptation de sa propre mort ? Comment comprendre l’énigme de la domination par laquelle un homme devient le maître d’un autre ? D’où vient le désir de s’emparer du pouvoir et de dominer, si la domination est le noyau

Chapitre 4 : Quelle est l’origine des notions de bien et de mal ?Introduction : La morale selon l’opinion commune a mauvaise réputation. Pourquoi ? Parce qu’elle est souvent liée à des repressions, des interdits. « Faire la morale » ce n’Ets pas positif. Propos moralisateurs est également connoté comme péjoratif. Toujours dans l’aspect négatif de la morale ; parait extrêmement lié à la religion. Or, la religion et la morale sont discréditées car ne respecteraient pas la liberté humaine. Distinction

rationalité et où la croyance a sa place ? Comment la croyance peut-elle être sans raison, voire aller contre la raison et en même temps une nécessité vitale, spirituelle, indispensable et donc parfaitement raisonnable ? En quoi la croyance n’estelle pas l’ennemie de la raison ? Quels sont les limites justifiables, acceptables de la croyance ? La croyance et la raison s’opposent. Chercher à rendre raison, c’est chercher à savoir ce qui fonde, ce qui justifie nos connaissances et nos actes. La raison

beauté que par son esprit, de 441 av. J.-C. à 429 av. J.-C., menant ses discussions dans son jardin et sa maison. Socrate se serait instruit tout au long de sa vie : il dit être le disciple de Prodicos de Céos[4] , et il fréquenta les sophistes (Protagoras, Hippias d'Élis). Il aurait appris la poésie avec Événos de Paros, l’agriculture auprès d’Ischomaque et la géométrie avec Théodore de Cyrène, qui fut l'un des maîtres de Platon également. Il aurait été le disciple à Samos du physicien Archélaos

religions monothéistes. Renaissance de la philosophie avec Descartes le cogito « je pense donc je suis » la certitude d’être par la pensée est une vérité absolue aussi immuable et éternelle que la découverte de Platon. Le problème est de savoir comment est-ce qu’on peut articuler l’idée de théorie telle qu’on l’a exposée avec la politique ? 1. Le problème du rapport entre théorie et politique : la politique peut-elle être l’objet d’une théorie ? La politique est liée à une pratique et non

économie. Il n’y a pas d’économistes véritables. Il faudra attendre la moitié du XVIII° siècle avec les Physiocrates. Il n’y a pas non plus d’idées véritablement économistes. Il y a des philosophes, des grands chefs militaires, des commerçants (Protagoras, Xenon, Alexandre le Grand, Aristote, Platon). A partir d’une approche démocratique, culturelle, il y a des idées qui ont des conséquences économiques. Mais est-ce qu’on peut parler d’économie ? Deux grandes thèses s’opposent : □ Pour Polanyi