Comment Rentabiliser Un Rayon Dans La Grande Distribution

[pic] La grande distribution au Maroc est un ensemble d’enjeux à joindre et un ensemble de défis à relever, face à une persistance et une conviction d’un avenir prometteur, qui connaît aujourd’hui plus que jamais un essor extrêmement remarquable et jamais observé par le passé à travers ces quatres piliers à savoir : ASWAK SALAM qui prônent la différenciation par la non commercialisation des produits alcoolisés, les magasins ACIMA qui jouent sur la proximité, METRO qui cible une clientèle de

gamme. Cadencier: document de synthèse rempli par le chef de rayon qui permet de déterminer les commandes de réassortiment. Tête de gondole: extrémité des linéaires, où sont systématiquement présentés les produits d'une même famille afin d'augmenter l'impact visuel; Ilot: présentation de produits hors linéaire et hors de tête de gondole. Point chaud: zone de point de vente ayant 1 pouvoir d'appel élevé (ex: boucherie). Stop-rayon: matériel de pub sur le lieu de vente: affiches, banderolles

------------------------------------------------- I. ANALYSE COMMERCIALE DE L’UNITE COMMERCIALE A. Analyse de l'unité commerciale dans le contexte de son réseau H&M est une grande chaine de magasins de vêtements qui propose à prix bas des vêtements « tendances » pour femmes, hommes et enfants. H&M est devenue une référence de la marque populaire à faible prix. L’enseigne se distingue de ses concurrents en proposant des collections temporaires en collaboration avec différents stylistes

toujours affiché une ambition claire : rendre accessible au plus grand nombre le plaisir du sport. Cette volonté s’exprime aux 4 coins du globe. Avec les 65 sports organisés en 9 univers (montagne, cycle, forme…) les 374 magasins Décathlon sont construits autour du libre-service. Cette enseigne est 4ème sur la scène internationale avec 3 milliards d’Euros de chiffres d’affaires. Décathlon possède 18% de parts de marché de la distribution d’articles de sport dans le monde. I- CONTEXTE GEOGRAPHIQUE

autre la mise en valeur et la rentabilisation de l’espace de vente, il lui permet d’améliorer le chiffre d’affaire ainsi que le profit attendu par son organisation puisque l’espace de vente représente un investissement, chaque mètre carré doit être rentabilisé. Le merchandising sert aussi à offrir aux consommateurs ce qu’il attend, et enfin, il sert à négocier avec les fournisseurs, ce qui est essentiel. Il existe plusieurs autres raisons qui font que le merchandising est nécessaire pour le distributeur

environnementale (crise, naissance si la cible sont les bébés,..) 2. Etude de marché * Prix du marché : moyenne des prix * Le produit va être vendu à un public cible. Il faut donc d’abord s’assurer qu’il sera susceptible d’être acheté, comment ? Quand ? à quel prix ? Où ? * EDM : Offre / Demande Exemple de marché de référence (ici, yaourt) 1. Critère : Sexe 2. Critère : +45 ans 3. On choisit donc les femmes de plus de 45 ans comme public cible 3. STRATEGIE :

L’EXPANSION Arrivées en France dans les années 1990, les enseignes allemandes ont bousculé la grande distribution en proposant des prix imbattables. Leur modèle atteint aujourd'hui ses limites, malgré la crise et la baisse du pouvoir d'achat. Les hypers ont-ils trouvé la parade ? Le 24 octobre, Friedrich Fuchs ne se doute pas encore du séisme qu'il va provoquer dans l'univers de la grande distribution. Pourtant, en annonçant devant 3 000 cadres « l'abandon du hard discount », le nouveau patron de Lidl

premiers lecteurs de codes à barres « fait main » utilisant un rayon laser d’un milliwatt. Quatre ans plus tard, « l’Universal Product Code » développé par IBM aidé de Woodland, salarié de l’entreprise et inventeur du code à barres, standardise la codification. L’avènement de l’outil informatique permettant de stocker, traduire et manipuler cette codification permet alors aux fournisseurs des différents secteurs de la distribution de rentabiliser rapidement les investissements réalisés dans l’identification

assortiment large et peu profond, de nature à couvrir l’ensemble des besoins biologique des clients appartenant à sa zone de chalandise. Cette moyenne surface propose environ 7000 références de produits (non alimentaire compris), qui se répartissent en 4 grands univers: Le Sec (Épicerie, Liquide, Conserves, Vrac …) , Les Produits Frais, Les Fruits et Légumes, et Le Non Alimentaire / Cosmétique. 9o % des références sont issues de la centrale d’achat, et les 10 % restants sont négociés directement auprès

premiers lecteurs de codes à barres « fait main » utilisant un rayon laser d’un milliwatt. Quatre ans plus tard, « l’Universal Product Code » développé par IBM aidé de Woodland, salarié de l’entreprise et inventeur du code à barres, standardise la codification. L’avènement de l’outil informatique permettant de stocker, traduire et manipuler cette codification permet alors aux fournisseurs des différents secteurs de la distribution de rentabiliser rapidement les investissements réalisés dans l’identification