Commentaire Argumenté Germinal

des modèles pour l’Eglise. A la fin du 12ème siècle est publié le décret de Gratien qui regroupent et classent les textes qui régissent la vie de l’Eglise. A l’image des textes de Droit romain, ce Droit canonique devient un objet d’étude et de commentaire. Dès le 13ème siècle, on s’aperçoit que les textes adoptés par le Pape depuis le décret de Gratien sont tellement nombreux qu’il faut faire un nouveau recueil : le recueil de décrétales (regroupant 60 à 70 ans de réforme). A partir de la fin du

il devient permanent. Il représente une véritable juridiction avec les lieutenants et les conseillers. On va distinguer des personnes qui vont représenter l’intérêt du roi ou l’intérêt public : procureur et avocats du roi. Ils vont exposer leurs arguments debout ; ils annoncent le parquet. Ce tribunal va juger des causes importantes. Il juge des causes de la noblesse, il juge de certaines affaires qui sont considérées comme touchant aux intérêts du roi : les cas royaux (crimes de lèse majesté), il

codification ne parlent que de la forme et ils n’évoquent pas les buts de la codification. Or on peut aussi définir un phénomène en fonction de sa finalité. Les buts sont rarement évoqués dans la définition. II/ l’utilité de la codification Le premier argument qui est mi en avant c’est la clarté. La codification rend le droit plus clair, pck que au lieu d’avoir un droit éclaté, en de multiples textes, on dispose grâce au code d’un droit rassemblé, on a une vue d’ensemble, le droit est donc plus lisible

Bible (Lebrun, Le Cid d’Andalousie). Elaboration des théories du drame romantique La théorie du drame recevra son expression la plus vibrante dans la fameuse « Préface » de Cromwell de Victor Hugo. Ce qui a élargi le goût et fourni les arguments contre la tragédie classique, c’est surtout la connaissance plus précise de Shakespeare et des dramaturges allemands, acquise d’abord par les émigrés. Des traductions, précédées d’importantes préfaces, permettent de comparer les systèmes dramatiques

l'identité du juge choisi par les parties (nommé ensuite par le | |magistrat), les arguments de chacun des plaideurs, ainsi que l'autorisation accordée au juge de condamner ou | |d'absoudre. Une fois la formule au point, le choix devient définitif (litis contestatio). Dans la seconde phase | |du procès (apud judicem) le juge ne joue qu'un rôle d'arbitre. Il doit vérifier le fondement des arguments des | |parties et rendre un jugement équitable. Aussi est-ce le préteur qui dirige réellement

Ainsi le Suisse Bruno Frey est l'un des rares économistes contemporains à s'être demandé pourquoi étaient si mal comprises les lois de l'offre et de la demande, centrales dans toute réflexion économique. Il vaut la peine d'étudier ici les cinq arguments qu'il donne pour expliquer cette faible compréhension '. L'argument cognitif : les gens souffrent d'un déficit de connaissance sur les lois du marché. L'argument socio-politique : syndicats et lobbies font pression sur l'État pour fausser le

mise en œuvre s’appuie sur des supports documentaires aussi variés que possible. Thèmes généraux I. La construction de la République (8 – 10h) Questions (A) et sujets d’étude (B) A. Moments et actes fondateurs (1880-1946) Notions Commentaire A. On montre comment la République est fondée sur trois piliers en s’arrêtant sur quelques moments décisifs Nation État-Nation Nationalisme Colonisation Colonialisme Les années 1880-1914 font triompher une conscience nationale unitaire qui

B - Critiques  La critique centrale c’est qu’elle ne permet pas de justifier le caractère obligatoire de la Constitution. Kelsen nous dit que ce caractère obligatoire est un postula que tous les juristes doivent admettre. On a critiqué ce commentaire sur le postula par ce qu’il conduit à rendre obligatoire toutes les Constitutions (libérales ou dictatoriales, approuvées par referendum ou par coup d’Etat). Conclusion : Plutôt que d’opposer ces 2 théories il faudrait essayer des les concilier

encourt des sanctions pénales. Elle pourra être condamnée par le juge à une amende de 3 750 € (7 500 € en cas de récidive) et/ou à une peine d’emprisonnement de un an. En outre, l’entreprise devra rétablir l’égalité et indemniser Mme Durou. III. Commentaire de la solution 1. Une solution juste en droit et en équité de toute évidence l’entreprise doit être sanctionnée. – D’une part, l’infraction à la loi est évidente (à moins que l’entreprise démontre un élément objectif justifiant l’écart de salaire)

valide à une situation à laquelle il ne s'applique évidemment pas. Si les effets du poison étaient réversibles, le principe général selon lequel une bonne méthode pour faire disparaître un effet consiste à en éliminer la cause s'appliquerait et le commentaire de Homais serait légitime. Il donne au contraire un sentiment d'absurdité en glissant à l'intérieur d'un raisonnement solide dans sa forme une proposition implicite de validité très générale, mais inacceptable dans le cas d'espèce. Mais, comme toujours