Commentaire Arret 12 Décembre 2002

en même temps une faute au sens de l’article 1383 du Code civil. Il a été posé par un vieil arrêt du 18 décembre 1912 (S. 1914,1. 249 note Morel ; D. 1915,1.17 note L.S.; Gaz. Pal. 1913, 1 .107) revenant sur la position antérieure des juridictions qui distinguaient les deux types de faute (voir notamment Civ 15 avril 1889, S. 91.292 et Req 31 octobre 1906 – S. 1907.I.126 cité par Merle et Vitu). Cet arrêt a affirmé que le juge répressif ne peut pas, sous peine de contradiction de motifs, relaxer

LES EFFETS DE L ARRET D'ANNULATION En Droit de l'Union européenne le recours en annulation est un contrôle directe de la légalité des actes des institutions communautaires effectué par la Cour de justice de l'Union européenne (article 263 TFUE). Les pouvoirs du juge de l'Union sont de déclarer « nul et non avenu » l'acte attaqué. Cette portée déclaratoire de l'arrêt en annulation ressort des article 264 TUFE et 266 TFUE. Ainsi le juge ne peut pas dicter à une institution auteur de l'acte les

ou de celui qu'il représente, et qui rend vraisemblable le fait allégué ". Les réponses jurisprudentielles sont partielles La jurisprudence est rare en matière d'écrits électroniques. Cependant, un arrêt très remarqué de la chambre commerciale de la Cour de cassation, rendu le 2 décembre 1997, Société Descamps contre Banque Scalbert Dupont, a affirmé qu'" un acte peut être établi et conservé sur tout support, dès lors que son intégrité et l'imputabilité de son contenu à l'auteur désigné ont

par lequel il est procédé au recrutement d’un agent public non titulaire ,le contrat est alors si proche de l’acte unilatéral que le Conseil d’Etat a admis que des tiers puissent demander l’annulation par voie de REP(recours pour excès de pouvoir) :Arrêt Ville LISIEUX de 1998. • Inversement il y a des actes unilatéraux « qui ont des allures de contrat »(ce que l’on appelle parfois des actes unilatéraux négociés)Cela ne pose pas de problème en principe car une négociation en cours de procédure n’empêche

D’EVENTUELLES ENTRAVES AUX LIBERTES FONDAMENTALES DANS LA JP DE LA CJCE Arrêt CJCE CARBONATI 9 SEPTEMBRE 2004 AFFAIRE C-72/03 Les faits : «Une taxe sur les marbres extraits sur le territoire de la commune de Carrare et transportés hors de ce territoire est instituée au profit de ladite commune. Cette taxe est appliquée et perçue par la commune lorsque les marbres sortent de ses limites, sur la base d’un règlement spécial qui est arrêté par le conseil municipal, après consultation des partenaires sociaux

44-1 à 11 Arrêtés 07/09/99 DASRI entreposage élimination CFC (fluides frigorigènes) Décret n°92-1271, 07/12/92 récupération, destruction HUILES USAGÉES Décret n°79-981, 21/11/79 Arrêtés 28/01/99, ramassage récupération élimination AMALGAME DENTAIRE Arrêté 30/03/98 élimination VEHICULES hors d'usage Accord-cadre du 10/03/93 AMIANTE Circulaires n°96/60, 19/07/96 n°97/15, 09/01/97 élimination PCB-PCT Décret n°87-59, 02/02/87 utilisation élimination PILES ACCUMULATEURS Décret n°99-374, 12/05/99 élimination

aux fruits de l’entreprise. Les événements de Mai 1968 vont marquer une nouvelle étape importante. En effet, c’est sous l’impulsion de ce mouvement que le législateur reconnaît la liberté d’exercice du droit syndical dans l’entreprise (Loi du 27 Décembre 1968). C’est aussi à cette période que la négociation collective se voit valorisée dans l’espoir d’encadrer les explosions sociales (Loi du 13 Juillet 1971). En 1973, la loi du 13 Juillet soumet pour la première fois le licenciement du salarié

l’occasion de commenter la liste des IDD potentiels proposés par le Département de l’environnement du Ministère du Développement durable et des Infrastructures sur base de jeux d’indicateurs nationaux et internationaux. Face à la diversité des commentaires reçus et face à l’impossibilité naturelle pour une CIDD composée de divers départements ministériels et de diverses administrations d’arriver à identifier un nombre limité d’IDD clés, le Département de l’environnement a pris l’initiative d’instaurer

p. 1269) et n° 2002-535 du 18 avril 2002 (Journal Officiel 19 Avril 2002 ; Comm. com. électr. 2002, comm. 101, obs. L. Grynbaum. – A. Penneau, La certification des produits et systèmes permettant la réalisation des actes et signatures électroniques : D. 2002, chron. p. 2065) qui définissent les exigences techniques pour établir une signature électronique fiable. Un arrêté a également apporté des précisions complémentaires sur l'agrément des prestataires techniques (A. 31 mai 2002 : Journal Officiel

De la prévention à l'expertise…….………….…………………………………….. DISCUSSION…….………………………………………………………………….. CONCLUSION………………………………………………………………………. BIBLIOGRAPHIE – SOURCES DE RENSEIGNEMENTS………….…………. ANNEXES…….……………………………………………………………………… page 7 pages 9 à 12 pages 13 à 17 pages 19 à 22 page 23 page 24 pages 26 à 31 pages 32 à 35 page 36 pages 37 à 49 pages 51 à 54 pages 55 et 56 page 57 page 58 pages 59 à 65 pages 66 à 68 page 70 page 72 pages 74 et 75 page 77 INTRODUCTION INTRODUCTION